Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture nettement pessimiste ce vendredi, dans l'expectative de résultats nationaux, tandis que l'ambiance se trouvait alourdie par l'impasse dans laquelle semblent se trouver les négociations entre élus.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 1.33%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 1.43% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.4%.
Le moral est retombé après que John Boehner, à la tête de la chambre des députés des Etats-Unis, ait abandonné son "plan B" de contournement du mur fiscal, ne comportant d'augmentation d'impôts que pour les contribuables gagnant plus d'un million de dollars par an, en raison du manque de soutien des membres de son parti.
Les bourses auront beau ouvrir aujourd'hui, la session du parlement américain est ajournée pour les fêtes de noël, laissant à penser que le "fiscal cliff" ne pourrait être circonvenu.
En l'absence d'un terrain d'entente, le pays risquerait du coup de subir au premier janvier la conjugaison de la fin de réductions d'impôts et l'activation de coupes draconiennes dans les dépenses, et de retourner alors en récession.
La technologie était en première ligne, après que Research in Motion ait avoué hier la première baisse du nombre de ses abonnées de son histoire, le poussant à revoir le modèle commerciel lié au Blackberry, son vaisseau amiral, et lui faisant dégringoler de 9.63% en pré-ouverture.
Apple a pour sa part demandé à une cour d'appel américaine de revoir la décision mettant fin à l'interdiction préventive d'avant-procès des ventes de produits Samsung, dans le cadre de sa guerre juridique pour violation de propriété intellectuelle, dérapant de 1.74% avant le lancement des hostilités.
Les logiciels étaient aussi à l'honneur, Red Hat ayant engendré des revenus supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre, grace à une forte progression de ses abonnements, engrageant 6.99% en prévision des premières transactions.
Le service de partage de photos Instagram, désormais inféodé à Facebook, a quand à lui tourné casaque face à la colère de ses utilisateurs découlant en début de semaine de changements dans ses conditions d'usage, faisant tout de même trembler le géant des réseaux sociaux de 1.39% dans le même temps.
Les entreprises faisant partie du complexe militaro-industriel étaient aussi sur le qui-vive, après que les députés américains aient donné hier leur feu vert à la loi de finances annuelle pour la défense, représentant 633.3 milliards d'USD de dépenses pour 2013.
ConocoPhillips, poids lourd des hydrocarbures, a grignoté 0.03% après la clôture suite à l'aveu de sa volonté de vendre ses succursales nigérianes à Oando Energy Resources pour environ 1.79 milliards d'USD.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.63%, le CAC 40 français de 0.48%, le DAX 30 allemand de 0.73% et le FTSE 100 britannique de 0.79%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0.68%, et le Nikkei 225 japonais de 0.99%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le baromètre corrigé du moral des consommateurs établi par l'université du Michigan, sans oublier des informations de source gouvernementale portant sur les revenus et les dépenses personnels.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 1.33%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 1.43% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.4%.
Le moral est retombé après que John Boehner, à la tête de la chambre des députés des Etats-Unis, ait abandonné son "plan B" de contournement du mur fiscal, ne comportant d'augmentation d'impôts que pour les contribuables gagnant plus d'un million de dollars par an, en raison du manque de soutien des membres de son parti.
Les bourses auront beau ouvrir aujourd'hui, la session du parlement américain est ajournée pour les fêtes de noël, laissant à penser que le "fiscal cliff" ne pourrait être circonvenu.
En l'absence d'un terrain d'entente, le pays risquerait du coup de subir au premier janvier la conjugaison de la fin de réductions d'impôts et l'activation de coupes draconiennes dans les dépenses, et de retourner alors en récession.
La technologie était en première ligne, après que Research in Motion ait avoué hier la première baisse du nombre de ses abonnées de son histoire, le poussant à revoir le modèle commerciel lié au Blackberry, son vaisseau amiral, et lui faisant dégringoler de 9.63% en pré-ouverture.
Apple a pour sa part demandé à une cour d'appel américaine de revoir la décision mettant fin à l'interdiction préventive d'avant-procès des ventes de produits Samsung, dans le cadre de sa guerre juridique pour violation de propriété intellectuelle, dérapant de 1.74% avant le lancement des hostilités.
Les logiciels étaient aussi à l'honneur, Red Hat ayant engendré des revenus supérieurs aux attentes pour le troisième trimestre, grace à une forte progression de ses abonnements, engrageant 6.99% en prévision des premières transactions.
Le service de partage de photos Instagram, désormais inféodé à Facebook, a quand à lui tourné casaque face à la colère de ses utilisateurs découlant en début de semaine de changements dans ses conditions d'usage, faisant tout de même trembler le géant des réseaux sociaux de 1.39% dans le même temps.
Les entreprises faisant partie du complexe militaro-industriel étaient aussi sur le qui-vive, après que les députés américains aient donné hier leur feu vert à la loi de finances annuelle pour la défense, représentant 633.3 milliards d'USD de dépenses pour 2013.
ConocoPhillips, poids lourd des hydrocarbures, a grignoté 0.03% après la clôture suite à l'aveu de sa volonté de vendre ses succursales nigérianes à Oando Energy Resources pour environ 1.79 milliards d'USD.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.63%, le CAC 40 français de 0.48%, le DAX 30 allemand de 0.73% et le FTSE 100 britannique de 0.79%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0.68%, et le Nikkei 225 japonais de 0.99%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec le baromètre corrigé du moral des consommateurs établi par l'université du Michigan, sans oublier des informations de source gouvernementale portant sur les revenus et les dépenses personnels.