Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture négative ce mercredi, les craintes concernant la gestion de la crise financière espagnole et l'absence de nouvelles mesures stimulatrices chinoises assombrissant l'atmosphère.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.9%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.96% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.01%.
La prudence était de mise au vu de la situation de l'Espagne, où l'augmentation des taux des bons du trésor, ainsi que des capitaux dévolus aux sauvetages de banques, pesant sur une économie durement touchée par la récession, ont contribué à faire redouter un recours à un programme de secours international.
Les dividendes décennaux de Madrid se sont hissés à 6.54% ce matin, se rapprochant du niveau crucial des 7% ayant précédé l'adoption des bouées de sauvetage de la Grèce, de l'Irlande et du Portugal.
Le moral s'était déjà trouvé affaibli par l'agence de presse officielle Xinhua News Agency, déclarant hier que la Chine ne comptait pas "mettre en place d'énormes encouragements destinés à déclencher une forte croissance économique" comme cela avait pu être le cas en 2008.
Le secteur technologique était en ébullition, Apple laissant échapper 0.62% en pré-ouverture après que Tim Cook, son directeur général, ait concédé que les télévisions "l'intéressaient fortement", tout en soulignant que l'actualité de l'entreprise serait dévoilée progressivement, sur fond de rumeurs selon lesquelles l'assembleur de l'iPad et de l'iPhone serait sur le point de dévoiler une iTV.
Ces proppos survenaient au lendemain du lancement par le sud-coréen Samsung Electronics de son Galaxy S 3 en Europe, dans l'espoir de détrôner la firme à la pomme en tant que premier fournisseur mondial d'intelliphones.
Research In Motion, inventeur du BlackBerry, a pour sa part fait connaître l'embauche d'analystes financiers afin de revoir sa stratégie et chercher des partenaires, ayant averti que son premier trimestre fiscal avait toutes les chances d'indiquer des pertes opérationnelles, le faisant déraper de 5.61% avant les premiers échanges.
Leur concurrent taïwanais HTC s'est pour sa part félicité que sa dernière génération de produits ait réussi son examen par les douanes des Etats-Unis, lui donnant ainsi le feu vert pour faire exploser ses ventes en Amérique du Nord.
Facebook restait aussi sur le devant de la scène, dégringolant de 2.01% avant l'ouverture, pour tomber bien au-dessous des 38 USD de son introduction, après que l'autorité chargée de lutter contre les monopoles ait déclaré qu'elle étudierait de près sa proposition d'achat d'Instagram, éditeur d'une application à succès de partage d'images.
Parmi les autres compagnies faisant l'actualité, il se disait que Stanley Black & Decker pourrait se trouver parmi les acquéreurs potentiels de l'entreprise industrielle privée singaporéenne Infastech, fabricant de systèmes de fixation générant plus de 500 millions de rentrées.
Bloomberg a pour sa part ssouligné que l'évaluation en baisse de Chesapeake Energy renddait l'entreprise vulnérable à un achat de la part d'acteurs des marchés prêts à parier que les cours du gaz naturel vont s'extraire de leur gouffre des dix années écoulées.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.29%, le CAC 40 français de 1.28%, le DAX 30 allemand de 1.01% et le FTSE 100 britannique de 1.4%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dévissé de 1.7%, et le Nikkei 225 japonais de 0.4%.
Les experts en immobilier des Etats-Unis comptaient quand à eux dévoiler dans l'après-midi leur nombre des ventes de logements en cours.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.9%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.96% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.01%.
La prudence était de mise au vu de la situation de l'Espagne, où l'augmentation des taux des bons du trésor, ainsi que des capitaux dévolus aux sauvetages de banques, pesant sur une économie durement touchée par la récession, ont contribué à faire redouter un recours à un programme de secours international.
Les dividendes décennaux de Madrid se sont hissés à 6.54% ce matin, se rapprochant du niveau crucial des 7% ayant précédé l'adoption des bouées de sauvetage de la Grèce, de l'Irlande et du Portugal.
Le moral s'était déjà trouvé affaibli par l'agence de presse officielle Xinhua News Agency, déclarant hier que la Chine ne comptait pas "mettre en place d'énormes encouragements destinés à déclencher une forte croissance économique" comme cela avait pu être le cas en 2008.
Le secteur technologique était en ébullition, Apple laissant échapper 0.62% en pré-ouverture après que Tim Cook, son directeur général, ait concédé que les télévisions "l'intéressaient fortement", tout en soulignant que l'actualité de l'entreprise serait dévoilée progressivement, sur fond de rumeurs selon lesquelles l'assembleur de l'iPad et de l'iPhone serait sur le point de dévoiler une iTV.
Ces proppos survenaient au lendemain du lancement par le sud-coréen Samsung Electronics de son Galaxy S 3 en Europe, dans l'espoir de détrôner la firme à la pomme en tant que premier fournisseur mondial d'intelliphones.
Research In Motion, inventeur du BlackBerry, a pour sa part fait connaître l'embauche d'analystes financiers afin de revoir sa stratégie et chercher des partenaires, ayant averti que son premier trimestre fiscal avait toutes les chances d'indiquer des pertes opérationnelles, le faisant déraper de 5.61% avant les premiers échanges.
Leur concurrent taïwanais HTC s'est pour sa part félicité que sa dernière génération de produits ait réussi son examen par les douanes des Etats-Unis, lui donnant ainsi le feu vert pour faire exploser ses ventes en Amérique du Nord.
Facebook restait aussi sur le devant de la scène, dégringolant de 2.01% avant l'ouverture, pour tomber bien au-dessous des 38 USD de son introduction, après que l'autorité chargée de lutter contre les monopoles ait déclaré qu'elle étudierait de près sa proposition d'achat d'Instagram, éditeur d'une application à succès de partage d'images.
Parmi les autres compagnies faisant l'actualité, il se disait que Stanley Black & Decker pourrait se trouver parmi les acquéreurs potentiels de l'entreprise industrielle privée singaporéenne Infastech, fabricant de systèmes de fixation générant plus de 500 millions de rentrées.
Bloomberg a pour sa part ssouligné que l'évaluation en baisse de Chesapeake Energy renddait l'entreprise vulnérable à un achat de la part d'acteurs des marchés prêts à parier que les cours du gaz naturel vont s'extraire de leur gouffre des dix années écoulées.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.29%, le CAC 40 français de 1.28%, le DAX 30 allemand de 1.01% et le FTSE 100 britannique de 1.4%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dévissé de 1.7%, et le Nikkei 225 japonais de 0.4%.
Les experts en immobilier des Etats-Unis comptaient quand à eux dévoiler dans l'après-midi leur nombre des ventes de logements en cours.