Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce lundi, le sourire étant revenu suite à l'annonce du plan de secours au secteur bancaire espagnol déficient.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.67%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.68% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.67%.
L'Union Européenne a en effet octroyé samedi à Madrid un prêt plafonné à 100 milliards d'euros destiné à renflouer des banques en pleine déliquescence.
La prudence demeurait de mise, les détails du plan de sauvetage demeurant obscurs, concernant notamment le montant exact que recevra le pays, qui devrait être déterminé par les audits indépendants du secteur devant être publiés au cours du mois.
Les incertitudes entourant les résultats des élections législatives grecques du 17 juin, qui pourraient déterminer si le pays restera ou non membre de la zone euro, étaient elles aussi au premier plan.
La finance était attendue au premier plan, Goldman Sachs ayant annoncé être proche d'un accord de vente de sa branche de gestion de fonds d'investissement State Street Corp. qui pourrait, selon le quotidien Financial Times, donner naissance au plus gros acteur mondial du secteur.
Le fabricant français de systèmes d'images Technicolor a pour sa part rejeté l'offre révisée du fonds d'investissement JP Morgan-Chase, visant 30% pour 179 millions d'euros, préférant une offre préédente, plus basse, l'estimant mieux structurée.
Dans le domaine d'Internet, LinkedIn Corp. s'est retrouvé sous les feux de la critique, se retrouvant accusé de laxisme dans la sécurité de son réseau après que des pirates aient diffusé les mots de passe de millions de ses utilisateurs, et déclarant dimanche avoir fini de désactiver tous les comptes affectés et penser les autres hors de danger.
Les compagnies aériennes ne seront pas non plus à négliger, American Airlines ayant déclaré compter se sortir de la faillite avant l'année prochaine, sans se concentrer sur une fusion malgré la pression des syndicats, favorables à une union avec US Airways.
Boeing devrait pour sa part atteindre d'ici fin 2012 une total de 1 000 commandse pour son 737 MAX remmis au goût du jour, et ainsi défendre bec et ongles ses 50% de parts du marché des appareils à fuselage étroit face à son rival européen Airbus.
Turkish Airlines pourrait d'après certaines rumeurs acheter des moyen-courriers modernisés, qui pourraient provenir de l'un ou de l'autre des protagonistes.
Parmi les compagnies faisant l'actualité, General Electric Co. a annoncé l'investissement de 900 millions d'USD dans des projets de développement des infrastructures turques sur les trois année à venir.
Les bourses européennes étaient elles aussi engrande forme, l'EURO STOXX 50 bondissant de 1.99%, le CAC 40 français de 1.59%, le DAX 30 allemand de 1.83% et le FTSE 100 britannique de 0.96%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong a engrangé 2.4%, et le Nikkei 225 japonais 2%.
Les acteurs des marchés fait peu de cas aujourd'hui des résultats chinois décevants concernant l'inflation, la production industrielle et les ventes au détail de mai, après que des chiffres des importations d'une vigueur inattendue aient dissipé le spectre d'un "atterrissage en catastrophe" de la seconde économie mondiale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.67%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.68% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.67%.
L'Union Européenne a en effet octroyé samedi à Madrid un prêt plafonné à 100 milliards d'euros destiné à renflouer des banques en pleine déliquescence.
La prudence demeurait de mise, les détails du plan de sauvetage demeurant obscurs, concernant notamment le montant exact que recevra le pays, qui devrait être déterminé par les audits indépendants du secteur devant être publiés au cours du mois.
Les incertitudes entourant les résultats des élections législatives grecques du 17 juin, qui pourraient déterminer si le pays restera ou non membre de la zone euro, étaient elles aussi au premier plan.
La finance était attendue au premier plan, Goldman Sachs ayant annoncé être proche d'un accord de vente de sa branche de gestion de fonds d'investissement State Street Corp. qui pourrait, selon le quotidien Financial Times, donner naissance au plus gros acteur mondial du secteur.
Le fabricant français de systèmes d'images Technicolor a pour sa part rejeté l'offre révisée du fonds d'investissement JP Morgan-Chase, visant 30% pour 179 millions d'euros, préférant une offre préédente, plus basse, l'estimant mieux structurée.
Dans le domaine d'Internet, LinkedIn Corp. s'est retrouvé sous les feux de la critique, se retrouvant accusé de laxisme dans la sécurité de son réseau après que des pirates aient diffusé les mots de passe de millions de ses utilisateurs, et déclarant dimanche avoir fini de désactiver tous les comptes affectés et penser les autres hors de danger.
Les compagnies aériennes ne seront pas non plus à négliger, American Airlines ayant déclaré compter se sortir de la faillite avant l'année prochaine, sans se concentrer sur une fusion malgré la pression des syndicats, favorables à une union avec US Airways.
Boeing devrait pour sa part atteindre d'ici fin 2012 une total de 1 000 commandse pour son 737 MAX remmis au goût du jour, et ainsi défendre bec et ongles ses 50% de parts du marché des appareils à fuselage étroit face à son rival européen Airbus.
Turkish Airlines pourrait d'après certaines rumeurs acheter des moyen-courriers modernisés, qui pourraient provenir de l'un ou de l'autre des protagonistes.
Parmi les compagnies faisant l'actualité, General Electric Co. a annoncé l'investissement de 900 millions d'USD dans des projets de développement des infrastructures turques sur les trois année à venir.
Les bourses européennes étaient elles aussi engrande forme, l'EURO STOXX 50 bondissant de 1.99%, le CAC 40 français de 1.59%, le DAX 30 allemand de 1.83% et le FTSE 100 britannique de 0.96%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong a engrangé 2.4%, et le Nikkei 225 japonais 2%.
Les acteurs des marchés fait peu de cas aujourd'hui des résultats chinois décevants concernant l'inflation, la production industrielle et les ventes au détail de mai, après que des chiffres des importations d'une vigueur inattendue aient dissipé le spectre d'un "atterrissage en catastrophe" de la seconde économie mondiale.