Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en recul ce lundi, les investisseurs demeurant inquiets dans l'attente du vote crucial du parlement italien, sur fond de craintes persistantes causées par l'aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.42%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.56% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.41%.
Les coûts des emprunts italiens à dix ans ont établi de nouveaux sommets jamais vus depuis la mise en place de l'euro, sur fond de dissensions non dissimulées au sein de l'équipe du premier ministre Silvio Berlusconi à l'approche du scrutin parlementaire sur les finances de demain.
Ce chaos a fait oublier l'annonce de la démission prochaine de George Papandreou, premier ministre de la Grèce, pour laisser sa place à un nouveau gouvernement d'unité nationale, chargé de s'assurer de recevoir les aides financières internationales, et ainsi éviter un éventuel défaut de paiement.
La finance se trouvait en mauvaise posture, suivant la voie tracée par le vieux continent, la Bank of America s'est ainsi effondrée de 6.08%, Goldman Sachs de 2.45%, Citigroup et JP Morgan de respectivement 1.43 et 1.19%.
Les valeurs cycliques ont également été touchées, la fournisseur de processeurs Intel laissant échapper 1.54%, et les géants des logiciels Oracle et Cisco Systems 1.9 et 0.83%.
Parmi les compagnies faisant l'actualité, General Motors a plongé de 1.75%, et ce bien qu'ayant l'air d'être sur la bonne voie pour doubler ses 5 millions de ventes annuelles de véhicules à la Chine d'ici 2015, et ce malgré le ralentissement de la croissance du premier marché automobile mondial.
Warner Chilcott a par ailleurs dégringolé de 7.4% après avoir avoué vendredi un total des rrevenus au troisième trimestre de 655 millions d'USD, soit 7% de moins que l'année dernière.
Tout n'était cependant pas désespéré, le revendeur Best Buy gagnant 1.11% alors qu'il s'apprêtait à acquérir son partenaire britannique Carphone Warehouse Group pour 1.3 milliards d'USD, en raison d'une percée sur le marché en forte croissance des téléphones mobiles aux Etats-Unis, abandonnant du même coup l'idée d'une chaîne d'hypermarchés européens.
Le CME Group a repris 1.04% et Intercontinental Exchange a trébuché de 0.25%, ayant profité de la fin de semaine pour limiter les conséquences de la faillite de MF Global Holdings sur les marchés à terme en rabaissant les marges initiales sur certains comptes.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.61%, le CAC 40 français de 0.52%, le DAX 30 allemand de 0.34% et le FTSE 100 britannique de 0.69%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0.6%, et le Nikkei 225 japonais de 0.31%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.42%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.56% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.41%.
Les coûts des emprunts italiens à dix ans ont établi de nouveaux sommets jamais vus depuis la mise en place de l'euro, sur fond de dissensions non dissimulées au sein de l'équipe du premier ministre Silvio Berlusconi à l'approche du scrutin parlementaire sur les finances de demain.
Ce chaos a fait oublier l'annonce de la démission prochaine de George Papandreou, premier ministre de la Grèce, pour laisser sa place à un nouveau gouvernement d'unité nationale, chargé de s'assurer de recevoir les aides financières internationales, et ainsi éviter un éventuel défaut de paiement.
La finance se trouvait en mauvaise posture, suivant la voie tracée par le vieux continent, la Bank of America s'est ainsi effondrée de 6.08%, Goldman Sachs de 2.45%, Citigroup et JP Morgan de respectivement 1.43 et 1.19%.
Les valeurs cycliques ont également été touchées, la fournisseur de processeurs Intel laissant échapper 1.54%, et les géants des logiciels Oracle et Cisco Systems 1.9 et 0.83%.
Parmi les compagnies faisant l'actualité, General Motors a plongé de 1.75%, et ce bien qu'ayant l'air d'être sur la bonne voie pour doubler ses 5 millions de ventes annuelles de véhicules à la Chine d'ici 2015, et ce malgré le ralentissement de la croissance du premier marché automobile mondial.
Warner Chilcott a par ailleurs dégringolé de 7.4% après avoir avoué vendredi un total des rrevenus au troisième trimestre de 655 millions d'USD, soit 7% de moins que l'année dernière.
Tout n'était cependant pas désespéré, le revendeur Best Buy gagnant 1.11% alors qu'il s'apprêtait à acquérir son partenaire britannique Carphone Warehouse Group pour 1.3 milliards d'USD, en raison d'une percée sur le marché en forte croissance des téléphones mobiles aux Etats-Unis, abandonnant du même coup l'idée d'une chaîne d'hypermarchés européens.
Le CME Group a repris 1.04% et Intercontinental Exchange a trébuché de 0.25%, ayant profité de la fin de semaine pour limiter les conséquences de la faillite de MF Global Holdings sur les marchés à terme en rabaissant les marges initiales sur certains comptes.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.61%, le CAC 40 français de 0.52%, le DAX 30 allemand de 0.34% et le FTSE 100 britannique de 0.69%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong reculait de 0.6%, et le Nikkei 225 japonais de 0.31%.