Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en retrait ce mercredi après-midi, dans l'expectative des statistiques économiques des Etats-Unis, la mise en vete des emprunts italiens de la fin de matinée ayant aussi jeté une ombre.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.21%.
La nervosité était en effet exacerbée après que l'Italie ait vu les taux appliqués à ses emprunts à trois ans grimper à leur plus haut niveau depuis décembre au cours de leurs premières mises aux enchères depuis la dégradation la semaine passée d'un cran de la notation attribuée par l'agence Fitch suite à des élections sans résultats tranchés.
Dans le secteur aéronautique, Boeing était sous les feux de l'actualité, après avoir reçu le feu vert des autorités fédérales pour commencer à tester la nouvelle conception des batteries de son 787 Dreamliner, faisant ainsi un pas vers le retour en service après de nombreuses avaries.
L'agence de presse Bloomberg a également signalé qu'il avait reçu une commande de la compagnie Ryanair Holdings se montant à 15.1 milliards d'USD, cette dernière devant remplacer 170 appareil 737 par leur nouvelle version Max, revue de fond en comble.
Le constructeur a du coup gagné 0.74% en pré-ouverture.
L'industrie pharaceutique n'était pas en reste, après que Spectrum Pharmaceuticals ait déploré des projections de rentrées très inférieures aux espérances pour l'année en cours, dégringolant de 39.66% avant le lancement des hostilités.
Il ne fallait pas non plus négliger l'informatique, Oracle empochant 0.82% dans le même temps après que Canaccord Genuity Corp. en ait revu son appréciation depuis la neutralité vers le conseil d'achat.
Samsung Electronics serait d'autre part sur le point de dévoiler son nouveau téléphone Galaxy S4, à quelques pâtés de maison de la plus grosse boutique de son concurrent Apple à New York, et sa conférnce devrait être retransmise en direct sur écran géant à Times Square, faisant déraper la firme à la pomme de 0.4% en anticipation de l'ouverture.
Il était aussi à noter que le projet de l'allemand Deutsche Telekom de fusionner sa branche T-Mobile USA avec MetroPCS Communications, dont l'envergure est moindre, aurait reçu l'approbation des autorités américaines chargées de réguler la concurrence et les télécommunications.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.55%, le CAC 40 français de 0.43%, le DAX 30 allemand de 0.13% et le FTSE 100 britannique de 0.87%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 1.46%, et le Nikkei 225 japonais de 0.61%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler en fin de journée le volume des ventes auprès des particuliers, ainsi que les variations des prix à l'importation, l'état de stocks des entreprises et celui des réserves pétrolières nationales.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.21%.
La nervosité était en effet exacerbée après que l'Italie ait vu les taux appliqués à ses emprunts à trois ans grimper à leur plus haut niveau depuis décembre au cours de leurs premières mises aux enchères depuis la dégradation la semaine passée d'un cran de la notation attribuée par l'agence Fitch suite à des élections sans résultats tranchés.
Dans le secteur aéronautique, Boeing était sous les feux de l'actualité, après avoir reçu le feu vert des autorités fédérales pour commencer à tester la nouvelle conception des batteries de son 787 Dreamliner, faisant ainsi un pas vers le retour en service après de nombreuses avaries.
L'agence de presse Bloomberg a également signalé qu'il avait reçu une commande de la compagnie Ryanair Holdings se montant à 15.1 milliards d'USD, cette dernière devant remplacer 170 appareil 737 par leur nouvelle version Max, revue de fond en comble.
Le constructeur a du coup gagné 0.74% en pré-ouverture.
L'industrie pharaceutique n'était pas en reste, après que Spectrum Pharmaceuticals ait déploré des projections de rentrées très inférieures aux espérances pour l'année en cours, dégringolant de 39.66% avant le lancement des hostilités.
Il ne fallait pas non plus négliger l'informatique, Oracle empochant 0.82% dans le même temps après que Canaccord Genuity Corp. en ait revu son appréciation depuis la neutralité vers le conseil d'achat.
Samsung Electronics serait d'autre part sur le point de dévoiler son nouveau téléphone Galaxy S4, à quelques pâtés de maison de la plus grosse boutique de son concurrent Apple à New York, et sa conférnce devrait être retransmise en direct sur écran géant à Times Square, faisant déraper la firme à la pomme de 0.4% en anticipation de l'ouverture.
Il était aussi à noter que le projet de l'allemand Deutsche Telekom de fusionner sa branche T-Mobile USA avec MetroPCS Communications, dont l'envergure est moindre, aurait reçu l'approbation des autorités américaines chargées de réguler la concurrence et les télécommunications.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.55%, le CAC 40 français de 0.43%, le DAX 30 allemand de 0.13% et le FTSE 100 britannique de 0.87%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 1.46%, et le Nikkei 225 japonais de 0.61%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté dévoiler en fin de journée le volume des ventes auprès des particuliers, ainsi que les variations des prix à l'importation, l'état de stocks des entreprises et celui des réserves pétrolières nationales.