Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce mardi, la nervosité étant palpable à l'approche des proclamations des performances des entreprises, bien que le moral ait été renforcé par les propos tenus hier par le chef de la Réserve Fédérale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.14%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.23% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
Ben Bernanke, à la tête de l'autorité monétaire des Etats-Unis, a en effet déclaré hier lors d'un discours sur la politique qu'elle mène qu'il n'était pas satisfait des performances de l'économie, malgré les quelques signes récents d'amélioration.
Le directeur de la Réserve Fédérale de San Francisco avait auparavant déclaré s'attendre à ce que les acquisitions d'actifs se prolongent "pendant une bonne partie du second semestre 2013".
Mais la circonspection restait de mise, à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever le plafond d'endettement du pays le mois prochain.
La finance était une fois de plus en première ligne, après que les gendarmes boursiers américains aient ordonné à JP Morgan-Chase de renforcer le contrôle de ses prises de risques suite à sa perte de milliards d'USD découlant de paris hasardeux engagés par son opérateur surnommé "la baleine de Londres".
JP Morgan a du coup reculé de 0.39% en pré-ouverture, et la Bank of America l'imitait avec 0.35%.
La grande distribution n'était pas en reste, après que RadioShack ait fait savoir que son partenariat dans la téléphonie mobile avec Target avait été abandonné, les deux compagnies ne réussissant pas à trouver un accord mutuellement profitable.
La première a du coup bondi de 7.79% avant le lancement des hostilités.
La technologie n'était non plus à négliger, l'assembleur d'ordinateurs Dell engrangeant 3.66% avant les premières transactions, alors qu'il était question d'un rachat avec effet de levier de la part de TPG Capital et de Silver Lake.
Le diffuseur câblé Liberty Global avait revendiqué avoir remonté sa participation dans le belge Telenet depuis 50.2 vers 58%, lequel était déjà sous son contrôe depuis 2007.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'entrepreneur Lennar, dont les résultats devraient être révélés avant l'ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.26%, le CAC 40 français de 0.04%, et le DAX 30 allemand de 0.2%, tandis que le FTSE 100 britannique arrachait 0.07%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong glissait de 0.14%, et le Nikkei 225 japonais s'élevait de 0.72%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi leur volume de leurs ventes au détail, ainsi que l'évolution de leurs coûts de production, sans oublier un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.14%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.23% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
Ben Bernanke, à la tête de l'autorité monétaire des Etats-Unis, a en effet déclaré hier lors d'un discours sur la politique qu'elle mène qu'il n'était pas satisfait des performances de l'économie, malgré les quelques signes récents d'amélioration.
Le directeur de la Réserve Fédérale de San Francisco avait auparavant déclaré s'attendre à ce que les acquisitions d'actifs se prolongent "pendant une bonne partie du second semestre 2013".
Mais la circonspection restait de mise, à l'approche des tractations politiques américaines visant à relever le plafond d'endettement du pays le mois prochain.
La finance était une fois de plus en première ligne, après que les gendarmes boursiers américains aient ordonné à JP Morgan-Chase de renforcer le contrôle de ses prises de risques suite à sa perte de milliards d'USD découlant de paris hasardeux engagés par son opérateur surnommé "la baleine de Londres".
JP Morgan a du coup reculé de 0.39% en pré-ouverture, et la Bank of America l'imitait avec 0.35%.
La grande distribution n'était pas en reste, après que RadioShack ait fait savoir que son partenariat dans la téléphonie mobile avec Target avait été abandonné, les deux compagnies ne réussissant pas à trouver un accord mutuellement profitable.
La première a du coup bondi de 7.79% avant le lancement des hostilités.
La technologie n'était non plus à négliger, l'assembleur d'ordinateurs Dell engrangeant 3.66% avant les premières transactions, alors qu'il était question d'un rachat avec effet de levier de la part de TPG Capital et de Silver Lake.
Le diffuseur câblé Liberty Global avait revendiqué avoir remonté sa participation dans le belge Telenet depuis 50.2 vers 58%, lequel était déjà sous son contrôe depuis 2007.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter l'entrepreneur Lennar, dont les résultats devraient être révélés avant l'ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.26%, le CAC 40 français de 0.04%, et le DAX 30 allemand de 0.2%, tandis que le FTSE 100 britannique arrachait 0.07%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong glissait de 0.14%, et le Nikkei 225 japonais s'élevait de 0.72%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi leur volume de leurs ventes au détail, ainsi que l'évolution de leurs coûts de production, sans oublier un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York.