Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture plutôt positive ce mardi, dans l'expectative d'une série de résultats américains, ceux en demi-teinte de la zone euro poussant toutefois à la circonspection.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de à.14%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.13%.
La nervosité était de mise après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait déclaré que le produit intérieur brut de la région avait comme prévu reculé de 0.2% d'avril à juin, entraînant une contraction de 0.4% d'une année sur l'autre.
D'autres chiffres officiels avaient auparavant signalé que l'Allemagne avait connu 0.3% d'expansion dans le même temps, au lieu des 0.2% espérés, et que la France avait de son côté stagné sur la même période, alors qu'une contraction de 0.1% était crainte.
Le centre de recherches économiques ZEW a quand à lui fait savoir que son baromètre de l'humeur économique des allemands avait plongé de -19.6 à -25.5 pour août, alors qu'une timide remontée à -19.3 était envisagée.
La finance était attendue sur le devant de la scène, au vu de ses bons résultats sur le Vieux Continent, alors que Peter Sands, le directeur général de Standard Chatered, était arrivé à New York pour son audience de la semaine.
Joe Echevarria, son homologue chez Deloitte LLP, avait nié hier les accusations selon lesquelles son entreprise l'aurait aidé à disimuler ses transactions avec l'Iran, affirmant que les reproches faits par les autorités financières new-yorkaises constituaient des "manipulations des faits".
Home Depot faisait l'actualité parmi les proclamations, grâce à des profits trimestriels supérieurs aux espérances, la première chaîne de magasions de bricolage du monde ayant serré les vis des dépenses afin de compenser la faiblesse des ventes, engrangeant du coup 2.52% en pré-ouverture.
Le site d'achats de masse Groupon a pour sa part dégringolé de 18.68% pour se retrouver à 6.05 USD, son plancher historique, ses bénéfices ayant été décevants, malgré des rentrées dépassant les attentes.
Jason Child, son directeur financier, a invoqué la faiblesse de l'économie européenne et les variations des taux de change, ajoutant que l'amélioration de ses performances dans cette région était à l'étude.
Cisco, plus gros fabricant d'infrastructures de réseaux informatiques de la planète, était aussi sous les feux de la rampe, en raison de rbuits selon lesquels ses marges pourraient être rabotées par de nouveaux logiciels visant à permettre aux clients de gérer leur trafic de données avec moins de relais et de routeurs.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 gagnant 0.5%, le CAC 40 français 0.44%, le DAX 30 allemand 0.87% et le FTSE 100 britannique 0.47%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1.05%, et le Nikkei 225 japonais de 0.5%.
Les Etats-Unis comptaient conclure de leur côté la journée avec leurs ventes au détail, les variations dans leurs coûts de production et l'inventaire des stocks de leurs entreprises.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de à.14%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.13%.
La nervosité était de mise après que l'agence Eurostat, chargée des statistiques européennes, ait déclaré que le produit intérieur brut de la région avait comme prévu reculé de 0.2% d'avril à juin, entraînant une contraction de 0.4% d'une année sur l'autre.
D'autres chiffres officiels avaient auparavant signalé que l'Allemagne avait connu 0.3% d'expansion dans le même temps, au lieu des 0.2% espérés, et que la France avait de son côté stagné sur la même période, alors qu'une contraction de 0.1% était crainte.
Le centre de recherches économiques ZEW a quand à lui fait savoir que son baromètre de l'humeur économique des allemands avait plongé de -19.6 à -25.5 pour août, alors qu'une timide remontée à -19.3 était envisagée.
La finance était attendue sur le devant de la scène, au vu de ses bons résultats sur le Vieux Continent, alors que Peter Sands, le directeur général de Standard Chatered, était arrivé à New York pour son audience de la semaine.
Joe Echevarria, son homologue chez Deloitte LLP, avait nié hier les accusations selon lesquelles son entreprise l'aurait aidé à disimuler ses transactions avec l'Iran, affirmant que les reproches faits par les autorités financières new-yorkaises constituaient des "manipulations des faits".
Home Depot faisait l'actualité parmi les proclamations, grâce à des profits trimestriels supérieurs aux espérances, la première chaîne de magasions de bricolage du monde ayant serré les vis des dépenses afin de compenser la faiblesse des ventes, engrangeant du coup 2.52% en pré-ouverture.
Le site d'achats de masse Groupon a pour sa part dégringolé de 18.68% pour se retrouver à 6.05 USD, son plancher historique, ses bénéfices ayant été décevants, malgré des rentrées dépassant les attentes.
Jason Child, son directeur financier, a invoqué la faiblesse de l'économie européenne et les variations des taux de change, ajoutant que l'amélioration de ses performances dans cette région était à l'étude.
Cisco, plus gros fabricant d'infrastructures de réseaux informatiques de la planète, était aussi sous les feux de la rampe, en raison de rbuits selon lesquels ses marges pourraient être rabotées par de nouveaux logiciels visant à permettre aux clients de gérer leur trafic de données avec moins de relais et de routeurs.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 gagnant 0.5%, le CAC 40 français 0.44%, le DAX 30 allemand 0.87% et le FTSE 100 britannique 0.47%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1.05%, et le Nikkei 225 japonais de 0.5%.
Les Etats-Unis comptaient conclure de leur côté la journée avec leurs ventes au détail, les variations dans leurs coûts de production et l'inventaire des stocks de leurs entreprises.