Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive sans précipitation lors des échanges raréfiés de ce vendredi, malgré la série de déceptions provenant hier de la zone euro et des Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.36%.
La Réserve Fédérale de Philadelphie a en effet déclaré hier que son indice manufacturier était tombé de -5.8 à -12.5 pour février, son dérapage le plus important depuis juillet.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que celui du pays entier avait fléchi depuis 55.8 vers 55.2 sur la même période, alors qu'une rétraction à 55.6 était déjà redoutée.
Le département d'état au travail américain avait pour sa part dénombré 20 000 demandes d'allocations chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 16 février, pour un total de 362 000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 13 000 pour un total de 355 000 était crainte.
D'autres études avaient aussi souligné que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire du bloc euro était passé de 48.6 à 47.3 pour ce mois-ci, et que celui du secondaire passait de 47.9 à 47.8 après ajustement saisonnier dans le même temps, alors que les experts pensaient le voir à 48.4.
La technologie était à l'honneur, l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard ayant revendiqué des revenus trimestriels et des projections dépassant les attentes, bondissant de 5.61% après la clôture.
Le fournisseur de composants Texas Instruments était aussi sur le devannt de la scène, ayant augmenté son dividende trimestriel d'un tiers, et annoncé le rachat de 5 milliardss d'USD d'actions supplémentaires.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas non plus à négliger, Newmont Mining, premier extracteur d'or américain, ayant affirmé hier que la discipline dans les investissements et la réduction des frais était sa priorité, engrangeant 1.73% après la fin des hostilités.
Gary Goldberg devrait d'ailleurs y prendre la place de directeur général le premier mars.
Les assurance étaient aussi sous la lorgnette, l'American International Group ayant empoché 4.64% dans le même temps grâce à des résultats dépassant les espérances pour les trois derniers ois de l'année.
du côté de la finance, Citigroup a annoncé dans la soirée avoir revu le plan de rémunaration de ses hauts dirigeants, auparavant rejeté par ses actionnaires en raison de sa générosité excessive, afin de lier de manière plus ferme les paiements des bonifications avec les performances des actions et la rentabilité.
Celles-ci ont d'ailleurs arraché 0.35% en pré-ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 1%, le CAC 40 français de 1.31%, le DAX 30 allemand de 0.58% et le FTSE 100 britannique de 0.77%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait encaissé 0.54%, et le Nikkei 225 japonais 0.68%.
Le volume des transactions d'aujourd'hui semblait devoir rester limité en l'absence de résultats économiques majeurs provenant des Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.34% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.36%.
La Réserve Fédérale de Philadelphie a en effet déclaré hier que son indice manufacturier était tombé de -5.8 à -12.5 pour février, son dérapage le plus important depuis juillet.
Le groupe de recherches économiques Markit avait auparavant fait savoir que celui du pays entier avait fléchi depuis 55.8 vers 55.2 sur la même période, alors qu'une rétraction à 55.6 était déjà redoutée.
Le département d'état au travail américain avait pour sa part dénombré 20 000 demandes d'allocations chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 16 février, pour un total de 362 000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 13 000 pour un total de 355 000 était crainte.
D'autres études avaient aussi souligné que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire du bloc euro était passé de 48.6 à 47.3 pour ce mois-ci, et que celui du secondaire passait de 47.9 à 47.8 après ajustement saisonnier dans le même temps, alors que les experts pensaient le voir à 48.4.
La technologie était à l'honneur, l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard ayant revendiqué des revenus trimestriels et des projections dépassant les attentes, bondissant de 5.61% après la clôture.
Le fournisseur de composants Texas Instruments était aussi sur le devannt de la scène, ayant augmenté son dividende trimestriel d'un tiers, et annoncé le rachat de 5 milliardss d'USD d'actions supplémentaires.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas non plus à négliger, Newmont Mining, premier extracteur d'or américain, ayant affirmé hier que la discipline dans les investissements et la réduction des frais était sa priorité, engrangeant 1.73% après la fin des hostilités.
Gary Goldberg devrait d'ailleurs y prendre la place de directeur général le premier mars.
Les assurance étaient aussi sous la lorgnette, l'American International Group ayant empoché 4.64% dans le même temps grâce à des résultats dépassant les espérances pour les trois derniers ois de l'année.
du côté de la finance, Citigroup a annoncé dans la soirée avoir revu le plan de rémunaration de ses hauts dirigeants, auparavant rejeté par ses actionnaires en raison de sa générosité excessive, afin de lier de manière plus ferme les paiements des bonifications avec les performances des actions et la rentabilité.
Celles-ci ont d'ailleurs arraché 0.35% en pré-ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 1%, le CAC 40 français de 1.31%, le DAX 30 allemand de 0.58% et le FTSE 100 britannique de 0.77%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait encaissé 0.54%, et le Nikkei 225 japonais 0.68%.
Le volume des transactions d'aujourd'hui semblait devoir rester limité en l'absence de résultats économiques majeurs provenant des Etats-Unis.