Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en retrait ce mardi après-midi, toujours tirées vers le bas par les craintes concernant la politique fiscale américaine, tandis que le moral subissait un nouveau coup au regard de la gestion du problème du surendettement de la Grèce.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.4%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.52% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.53%.
Les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International n'ont en effet pas réussi à se mettre d'accord hier à Bruxelles sur un plan de réduction à long terme des dettes de la Grèce, lui bloquant du même coup l'accès au aides d'urgence.
Ils ont laissé à Athènes jusqu'à 2016 pour réduire son déficit à 20% du produit intérieur brut, mais ont repoussé jusqu'au 20 novembre toute prise de décision concernant une somme qui pourrait atteindre 32.6 milliards d'euros dont elle a besoin, tout en entretenant le flou sur la poursuite de la participation du FMI.
La nervosité restait aussi de mise face au mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant avoir lieu d'ici le premier janvier, et qui pourrait mettre un frein l'expansion économique du pays et donc du monde entier.
La technologie était à l'honneur, alors que Microsoft et Motorola Mobility, appartenant désormais à Google, s'apprêtaient cet après-midi à s'affronter au cours d'un procès stratégique dans la guerre des brevets liés aux intelliphones, et qui pourrait les forcer à révéler des informations financières habituellement jalousement gardées.
La premier protagoniste a du coup plongé de 1.84% en pré-ouverture.
Vodafone semblait aussi devoir se situer sur une pente descendante, s'effondrant de 4.17% avant les premiers échanges après avoir déploré une chute de 1.4% de son chiffre d'affaires nominal au second trimestre fiscal, en raison d'une forte diminution de ses activités dans le sud de l'Europe.
L'opérateur téléphonique britannique a ainsi rabaissé de 9.3 milliards d'USD la valeur de ses opérations en Espagne et en Italie et raboté ses projections annuelles.
Du côté financier, Goldman Sachs a pour sa part annoncé l'abandon de sa branche de gestion de capitaux en Corée du Sud, à peine cinq ans après son entrée sur ce marché très compétitif.
Il était aussi à noter que PepsiCo serait en train de négocier la signature d'un accord de mise en bouteilles en Birmanie, intensifiant du même coup son offensive contre Coca-Cola.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Cisco Systems, The Home Depot et The TJX Companies, dont les performances devraient être proclamées en fin de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.45%, le CAC 40 français de 0.57%, le DAX 30 allemand de 0.71% et le FTSE 100 britannique de 0.65%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait fléchi de 1.13%, et le Nikkei 225 japonais de 0.18%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la session avec le solde officiel de leur budget fédéral.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.4%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.52% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.53%.
Les membres de l'Eurogroupe et le Fonds Monétaire International n'ont en effet pas réussi à se mettre d'accord hier à Bruxelles sur un plan de réduction à long terme des dettes de la Grèce, lui bloquant du même coup l'accès au aides d'urgence.
Ils ont laissé à Athènes jusqu'à 2016 pour réduire son déficit à 20% du produit intérieur brut, mais ont repoussé jusqu'au 20 novembre toute prise de décision concernant une somme qui pourrait atteindre 32.6 milliards d'euros dont elle a besoin, tout en entretenant le flou sur la poursuite de la participation du FMI.
La nervosité restait aussi de mise face au mur fiscal américain, causé par la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant avoir lieu d'ici le premier janvier, et qui pourrait mettre un frein l'expansion économique du pays et donc du monde entier.
La technologie était à l'honneur, alors que Microsoft et Motorola Mobility, appartenant désormais à Google, s'apprêtaient cet après-midi à s'affronter au cours d'un procès stratégique dans la guerre des brevets liés aux intelliphones, et qui pourrait les forcer à révéler des informations financières habituellement jalousement gardées.
La premier protagoniste a du coup plongé de 1.84% en pré-ouverture.
Vodafone semblait aussi devoir se situer sur une pente descendante, s'effondrant de 4.17% avant les premiers échanges après avoir déploré une chute de 1.4% de son chiffre d'affaires nominal au second trimestre fiscal, en raison d'une forte diminution de ses activités dans le sud de l'Europe.
L'opérateur téléphonique britannique a ainsi rabaissé de 9.3 milliards d'USD la valeur de ses opérations en Espagne et en Italie et raboté ses projections annuelles.
Du côté financier, Goldman Sachs a pour sa part annoncé l'abandon de sa branche de gestion de capitaux en Corée du Sud, à peine cinq ans après son entrée sur ce marché très compétitif.
Il était aussi à noter que PepsiCo serait en train de négocier la signature d'un accord de mise en bouteilles en Birmanie, intensifiant du même coup son offensive contre Coca-Cola.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Cisco Systems, The Home Depot et The TJX Companies, dont les performances devraient être proclamées en fin de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.45%, le CAC 40 français de 0.57%, le DAX 30 allemand de 0.71% et le FTSE 100 britannique de 0.65%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait fléchi de 1.13%, et le Nikkei 225 japonais de 0.18%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la session avec le solde officiel de leur budget fédéral.