Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce jeudi, les opérateurs marchant sur des oeufs avant les propos très attendu que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, tiendra vendredi.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.4% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.42%.
La prudence restait de mise dans l'expectative des propos que le chef de la Fed tiendra dans le Wyoming, sur fond de rumeurs concernant la propension de celle-ci à procéder à des encouragements supplémentaires.
Les chiffres officiels révisés avaient en effet révélé hier que le produit intérieur brut national avait comme prévu augmenté de 1.7% après ajustement saisonnier d'avril à juin, au lieu des 1.5% préalablement évalués, grâce à une augmentation des dépenses de la part des consommateurs.
Il était d'autre part à noter que les ventes de logements en cours aux Etats-Unis s'étaient élevées en juillet vers leur plus haut niveau depuis avril 2010, gagnant 2.4% après avoir fondu de 1.4% le mois précédent.
La technologie était attendue sur le devant de la scène après que Samsung Electronics soit devenu le premier fabricant de téléphones à annoncer un intelliphone utilisant le dernier système d'exploitation de Microsoft, coupant ainsi l'herbe sous le pied de Nokia, qui comptait faire de même dans quelques cours, provoquant du même coup un fléchissement de 0.5% de leur rival Apple en pré-ouverture.
L'industrie pharmaceutique n'était pas à négliger, Genmab ayant trouvé un accord concernant un traitement contre le cancer avec Johnson & Johnson, pour une somme évaluée à plus de 1.1 milliards d'USD, donnant à la compagnie américaine 10.7% de parts dans son collègue biotechnologique danois.
Parmi les autres entreprises faisant l'actualité, la banque Citigroup aurait accepté de payer 590 millions d'USD pour l'abandon de poursuites d'actionnaires l'accusant d'avoir camouflé des dizaines de milliards de dollars de prêts toxiques.
Cet arrangement serait l'un des plus importants découlant de la crise financière actuelle, et a fait dégringoler ses actions de 0.7% avant l'ouverture.
Parmi les résultats proclamés, le diffuseur de radios par Internet Pandora Media a déclaré dans la soirée d'hier ne pas avoir connu de pertes sur la base de ses bénéfices par actions, faisant du coup s'envoler ces dernières de 12.6% avant les premières transactions.
TiVo, pionnier de l'enregistrement télévisuel numérique, a pour sa part engrangé 5.77% avant le début des échanges, suite à des pertes du second trimestre inférieures aux estimations des spécialistes, grâce à un afflux de nouveaux abonnés.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.69%, le CAC 40 français de 0.53%, le DAX 30 allemand de 0.84% et le FTSE 100 britannique de 0.2%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 1.19%, et le Nikkei 225 japonais de 0.95%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer cet après-midi leur volume des revenus individuels et leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.4% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.42%.
La prudence restait de mise dans l'expectative des propos que le chef de la Fed tiendra dans le Wyoming, sur fond de rumeurs concernant la propension de celle-ci à procéder à des encouragements supplémentaires.
Les chiffres officiels révisés avaient en effet révélé hier que le produit intérieur brut national avait comme prévu augmenté de 1.7% après ajustement saisonnier d'avril à juin, au lieu des 1.5% préalablement évalués, grâce à une augmentation des dépenses de la part des consommateurs.
Il était d'autre part à noter que les ventes de logements en cours aux Etats-Unis s'étaient élevées en juillet vers leur plus haut niveau depuis avril 2010, gagnant 2.4% après avoir fondu de 1.4% le mois précédent.
La technologie était attendue sur le devant de la scène après que Samsung Electronics soit devenu le premier fabricant de téléphones à annoncer un intelliphone utilisant le dernier système d'exploitation de Microsoft, coupant ainsi l'herbe sous le pied de Nokia, qui comptait faire de même dans quelques cours, provoquant du même coup un fléchissement de 0.5% de leur rival Apple en pré-ouverture.
L'industrie pharmaceutique n'était pas à négliger, Genmab ayant trouvé un accord concernant un traitement contre le cancer avec Johnson & Johnson, pour une somme évaluée à plus de 1.1 milliards d'USD, donnant à la compagnie américaine 10.7% de parts dans son collègue biotechnologique danois.
Parmi les autres entreprises faisant l'actualité, la banque Citigroup aurait accepté de payer 590 millions d'USD pour l'abandon de poursuites d'actionnaires l'accusant d'avoir camouflé des dizaines de milliards de dollars de prêts toxiques.
Cet arrangement serait l'un des plus importants découlant de la crise financière actuelle, et a fait dégringoler ses actions de 0.7% avant l'ouverture.
Parmi les résultats proclamés, le diffuseur de radios par Internet Pandora Media a déclaré dans la soirée d'hier ne pas avoir connu de pertes sur la base de ses bénéfices par actions, faisant du coup s'envoler ces dernières de 12.6% avant les premières transactions.
TiVo, pionnier de l'enregistrement télévisuel numérique, a pour sa part engrangé 5.77% avant le début des échanges, suite à des pertes du second trimestre inférieures aux estimations des spécialistes, grâce à un afflux de nouveaux abonnés.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.69%, le CAC 40 français de 0.53%, le DAX 30 allemand de 0.84% et le FTSE 100 britannique de 0.2%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 1.19%, et le Nikkei 225 japonais de 0.95%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer cet après-midi leur volume des revenus individuels et leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.