Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture prudemment positive ce mercredi, les opérateurs guettant l'issue de la réunion d'orientation de la Réserve Fédérale de cet après-midi avec l'espoir d'accommodements supplémentaires destinés à renforcer la croissance.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
La banque centrale américaine devrait vraisemblablement annoncer de nouvelles mesures destinées à remplacer l'Opération Twist, qui prend fin ce mois-ci, en conclusion de sa prise de cap d'aujourd'hui.
La prudence restait cependant de circonstance, pardant les négociations à Washington destinées à contourner le problème du mur fiscal menaçant les Etats-Unis à l'oeil, en raison des risques que la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet à la nouvelle année fassent dérailler la relance économique nationale.
La grande distribution était sous les feux de l'actualité, après que le gouvernement indien ait révélé qu'une enquête était en cours concernant les méthodes d'influence politiques du mastodonte Wal-Mart Stores, après qu'il ait été rapporté qu'il avait pesé sur les élus américains afin de recevoir leur soutien dans la conquête de marchés étrangers.
Costco Wholesale trébuchait pour sa part de 0.66% en pré-ouverture, et ce malgré une envolée de 30% de ses bénéfices trimestriels, dépassant ainsi largement les espérances, grâce à un chiffre d'affaire et des tarifs d'abonnement en hausse.
Sprint Nextel semblait par contre promis à un avenir prometteur, aant déjà engrangé 0.36% après la clôture sur fond de rumeurs selon lesquelles ses parts de l'opérateur réseau mobile américain Clearwire seraient convoitées par Intel et Comcast.
Les hydrocarbures étaient aussi de la fête, Chesapeake Energy ayant accepté hier de vendre la plupart de ses installations de traitement et de stockage de gaz naturel restantes pour 2.16 milliards d'USD, lui faisant faire un bond de 1.35% après la cloche de fermeture.
La finance était aussi sur le devant de la scène, après que l'agence de presse Bloomberg ait fait savoir que JP Morgan subissait la pression des autorités boursières, désireuses d'encourager les déclarations des investisseurs concernant les transactions sur leurs propriétés près d'un an après qu'une erreur portant sur des produits dérivés de prêts lui aient coûté au moins 6.2 milliards d'USD.
Les bourses européennes évooluaient quand à elles en ordre dispersé, l'EURO STOXX 50 laissant échapper 0.04%, et le CAC 40 français 0.17%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.24% et le FTSE 100 britannique 0.2%.
L'autorité monétaire américaine devrait annoncer en fin de journée le taux appliqué aux fonds qu'elle alloue, et dévoilera son communiqué officiel sur le sujet, suivi d'une conférence de presse de son président Ben Bernanke, qui devrait être axée sur les décisions prises et sur les perspectives économiques.
Les Etats-Unis divulgueront également l'évolution de leurs prix à l'importation et leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.1%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
La banque centrale américaine devrait vraisemblablement annoncer de nouvelles mesures destinées à remplacer l'Opération Twist, qui prend fin ce mois-ci, en conclusion de sa prise de cap d'aujourd'hui.
La prudence restait cependant de circonstance, pardant les négociations à Washington destinées à contourner le problème du mur fiscal menaçant les Etats-Unis à l'oeil, en raison des risques que la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet à la nouvelle année fassent dérailler la relance économique nationale.
La grande distribution était sous les feux de l'actualité, après que le gouvernement indien ait révélé qu'une enquête était en cours concernant les méthodes d'influence politiques du mastodonte Wal-Mart Stores, après qu'il ait été rapporté qu'il avait pesé sur les élus américains afin de recevoir leur soutien dans la conquête de marchés étrangers.
Costco Wholesale trébuchait pour sa part de 0.66% en pré-ouverture, et ce malgré une envolée de 30% de ses bénéfices trimestriels, dépassant ainsi largement les espérances, grâce à un chiffre d'affaire et des tarifs d'abonnement en hausse.
Sprint Nextel semblait par contre promis à un avenir prometteur, aant déjà engrangé 0.36% après la clôture sur fond de rumeurs selon lesquelles ses parts de l'opérateur réseau mobile américain Clearwire seraient convoitées par Intel et Comcast.
Les hydrocarbures étaient aussi de la fête, Chesapeake Energy ayant accepté hier de vendre la plupart de ses installations de traitement et de stockage de gaz naturel restantes pour 2.16 milliards d'USD, lui faisant faire un bond de 1.35% après la cloche de fermeture.
La finance était aussi sur le devant de la scène, après que l'agence de presse Bloomberg ait fait savoir que JP Morgan subissait la pression des autorités boursières, désireuses d'encourager les déclarations des investisseurs concernant les transactions sur leurs propriétés près d'un an après qu'une erreur portant sur des produits dérivés de prêts lui aient coûté au moins 6.2 milliards d'USD.
Les bourses européennes évooluaient quand à elles en ordre dispersé, l'EURO STOXX 50 laissant échapper 0.04%, et le CAC 40 français 0.17%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.24% et le FTSE 100 britannique 0.2%.
L'autorité monétaire américaine devrait annoncer en fin de journée le taux appliqué aux fonds qu'elle alloue, et dévoilera son communiqué officiel sur le sujet, suivi d'une conférence de presse de son président Ben Bernanke, qui devrait être axée sur les décisions prises et sur les perspectives économiques.
Les Etats-Unis divulgueront également l'évolution de leurs prix à l'importation et leur inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières.