Wall Street s'en tire bien, le profil de la séance consiste en un bel exemple de reprise en 'V' avec des score finaux comparables aux scores initiaux: le S&P500 et le Dow Jones affichent +0,8% et +0,72%, le Nasdaq engrange +1,05%%, le Dow Transport reprend +0,9% et revient au contact de l'ex-support des 7.000Pts.
Les 'sherpas' n'ont pas laissé la situation déraper à la mi-séance, alors que le 'S&P' ou le Dow Jones affichaient -0,5% et menaçaient de revenir tester des planchers graphiques jugés critiques de lundi après-midi.
Le catalyseur de la baisse de la matinée ? C'est le même que la veille et le même depuis le 4 janvier: la débâcle du pétrole prend la tournure d'un krach pour nombre d'opérateurs qui avaient fait du pétrole un de leurs actif de réserve à moyen ou long terme.
Et le baril de 'WTI' vient d'enfoncer brièvement le seuil des 30$ pour s'inscrire à 29,93$ à New York, sa marque la plus basse depuis décembre 2003.
Le pétrole affichait à ce moment -20% depuis le 31/12/2015 et -68% sur 12 mois.
Un tel scénario ressemble beaucoup à une capitulation finale: c'est peut être le cas mais il est toujours difficile de quantifier ce genre de spirale baissière... beaucoup d'opérateurs envisagent un cours de 25$ dans le cadre d'une accélération des 'ventes à tout prix' de Hedge Funds à cours de liquidités.
Parallèlement, tous les conglomérats extrayant du pétrole, du charbon, des métaux industriels sont laminés: Peabody (N:BTU) (N°1 du charbon aux USA) plonge de -16% (son principal concurrent Arch Coal dépose le bilan), Williams (gaz naturel) de -11,5%, Southwest Energy (N:SWN) -9,2%.
Devon affiche -4,7%, Marathon Oil -4,5%, Kinder Morgan (N:KMI) -4%, Cabot -3,3%, Chesapeake (N:CHK) -2,8%, Conoco Philips -2,1%.
Parmi les hausses marquantes qui ont soutenu le Nasdaq, on notait Apple (O:AAPL) +1,45%, Micron (O:MU) +1,5%, Intel (O:INTC) +1,9%, Alexion (O:ALXN) +2,8%, Akamai +3,1%, Celgene +3,7%, Cognizant +6,3%.
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Les 'sherpas' n'ont pas laissé la situation déraper à la mi-séance, alors que le 'S&P' ou le Dow Jones affichaient -0,5% et menaçaient de revenir tester des planchers graphiques jugés critiques de lundi après-midi.
Le catalyseur de la baisse de la matinée ? C'est le même que la veille et le même depuis le 4 janvier: la débâcle du pétrole prend la tournure d'un krach pour nombre d'opérateurs qui avaient fait du pétrole un de leurs actif de réserve à moyen ou long terme.
Et le baril de 'WTI' vient d'enfoncer brièvement le seuil des 30$ pour s'inscrire à 29,93$ à New York, sa marque la plus basse depuis décembre 2003.
Le pétrole affichait à ce moment -20% depuis le 31/12/2015 et -68% sur 12 mois.
Un tel scénario ressemble beaucoup à une capitulation finale: c'est peut être le cas mais il est toujours difficile de quantifier ce genre de spirale baissière... beaucoup d'opérateurs envisagent un cours de 25$ dans le cadre d'une accélération des 'ventes à tout prix' de Hedge Funds à cours de liquidités.
Parallèlement, tous les conglomérats extrayant du pétrole, du charbon, des métaux industriels sont laminés: Peabody (N:BTU) (N°1 du charbon aux USA) plonge de -16% (son principal concurrent Arch Coal dépose le bilan), Williams (gaz naturel) de -11,5%, Southwest Energy (N:SWN) -9,2%.
Devon affiche -4,7%, Marathon Oil -4,5%, Kinder Morgan (N:KMI) -4%, Cabot -3,3%, Chesapeake (N:CHK) -2,8%, Conoco Philips -2,1%.
Parmi les hausses marquantes qui ont soutenu le Nasdaq, on notait Apple (O:AAPL) +1,45%, Micron (O:MU) +1,5%, Intel (O:INTC) +1,9%, Alexion (O:ALXN) +2,8%, Akamai +3,1%, Celgene +3,7%, Cognizant +6,3%.
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