Tout comme sur les place européennes, Wall Street qui est demeuré longtemps hésitant, s'est offert un dernier coup de reins au cours des 5 dernières minutes afin de célébrer dignement, et par un gain de +0,5%, le 7ème anniversaire du 'bull market' et le Dow Jones qui grappille +0,21% affiche une clôture très symbolique à 17.000,36Pts (3 jours après le remarquable 1999.99 du 'S&P' à la veille du weekend).
Ce sont de nouveau les valeurs pétrolières qui ont animé cette séance avec une monopole des principaux écarts à la hausse (la veille, c'était à la baisse) qui permettent au S&P500 d'engranger +0,5% à 1.989Pts.
Les chiffres US du jour n'ont été d'aucun soutien pour Wall Street: les stocks des grossistes gonflent de +0,3% tandis que les ventes ont chuté de -1,3% au mois de janvier, trahissant une consommation faiblarde en ce début d'année.
Autre surprise -mais comportementale-, la divulgation de stocks de pétrole hebdomadaires progressant de 3,9 millions de barils aux Etats Unis -contre +3Mns de barils attendus- semble constituer l'occasion d'infliger un nouveau contrepied aux vendeurs: le baril grimpe de +4,85% à 38,25$ et reprend le terrain perdu la veille.
C'est ce qui explique l'envol de Chesapeake (NYSE:CHK) +7,5%, Devon +6,85%, Newfield +5,8%, Freeport Mac Moran +5,7%, Marathon Petroleum +5,5%, Chevron (NYSE:CVX) +4,6%, Noble +4,3%, Valero (NYSE:VLO) +4%, Anadarko (NYSE:APC) +2,9%... et hors catégorie, Peabody (NYSE:BTU) -longtemps soupçonné de frôler la faillite- a explosé de +29,5% à 5.88$ (le titre revient d'un plancher historique de 2,01$ mi-février).
Le Nasdaq a été soutenu par Symantec +3,8%, Applied Materials +2,1%, Cisco et Baidu +2,1%, Netflix +1,8%, Yahoo +1,7%, Facebook (NASDAQ:FB) +1,5%.
Tout comme mardi, le secteur des 'biotechs' a souffert: Regeneron perd -5,1%, Vertex (NASDAQ:VRTX) et Amgen -2,6%, Biogen -2,2%, Celgene -1,5%.
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Ce sont de nouveau les valeurs pétrolières qui ont animé cette séance avec une monopole des principaux écarts à la hausse (la veille, c'était à la baisse) qui permettent au S&P500 d'engranger +0,5% à 1.989Pts.
Les chiffres US du jour n'ont été d'aucun soutien pour Wall Street: les stocks des grossistes gonflent de +0,3% tandis que les ventes ont chuté de -1,3% au mois de janvier, trahissant une consommation faiblarde en ce début d'année.
Autre surprise -mais comportementale-, la divulgation de stocks de pétrole hebdomadaires progressant de 3,9 millions de barils aux Etats Unis -contre +3Mns de barils attendus- semble constituer l'occasion d'infliger un nouveau contrepied aux vendeurs: le baril grimpe de +4,85% à 38,25$ et reprend le terrain perdu la veille.
C'est ce qui explique l'envol de Chesapeake (NYSE:CHK) +7,5%, Devon +6,85%, Newfield +5,8%, Freeport Mac Moran +5,7%, Marathon Petroleum +5,5%, Chevron (NYSE:CVX) +4,6%, Noble +4,3%, Valero (NYSE:VLO) +4%, Anadarko (NYSE:APC) +2,9%... et hors catégorie, Peabody (NYSE:BTU) -longtemps soupçonné de frôler la faillite- a explosé de +29,5% à 5.88$ (le titre revient d'un plancher historique de 2,01$ mi-février).
Le Nasdaq a été soutenu par Symantec +3,8%, Applied Materials +2,1%, Cisco et Baidu +2,1%, Netflix +1,8%, Yahoo +1,7%, Facebook (NASDAQ:FB) +1,5%.
Tout comme mardi, le secteur des 'biotechs' a souffert: Regeneron perd -5,1%, Vertex (NASDAQ:VRTX) et Amgen -2,6%, Biogen -2,2%, Celgene -1,5%.
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