Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce vendredi, soutenues par les indices d'une baisse des taux de la Banque Centrale Européenne, bien que le moral pâtisse toujours des inquiétudes au sujet de la croissance mondiale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,57%, le CAC 40 français de 0,73%, et le DAX 30 allemand de 0,31%.
Jens Weidmann, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, a en effet déclaré mercredi que cette dernière pourrait encore rabaisser ses taux au cas où la situation l'exigerait.
La nervosité était palpable après que le Fonds Monétaire International ait aussi affirmé la veille que les mesures stimulatrices prises par la Réserve Fédérale et la Banque du Japon encourageraient encore les économies dont elles ont la charge, mais que le bloc ayant adopté la monnaie unique demeurait le maîllon le plus faible de la relance.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,51 et 1,22%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,97 et 1,04%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,95 et 1,66%.
L'Oréal, ogre des cosmétiques, raflait 2,68% après avoir revendiqué 5,1% d'amélioration de ses revenus du premier trimestre, atteiagnant ainsi 5,93 milliards d'euros et dépassant du même coup les prédictions.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,25%, tiré vers le haut par ses exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 1,35 et 2,11%, leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Evraz faisant de même avec 4,05 et 4,60%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste avec 7,34 et 1,06%.
Anglo American suivait le même chemin avec 2,08% après avoir fait savoir que sa production de minerai de fer, de charbon et de cuivre avait augmenté au premier trimestre.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings gagnant 1,11 et 2,18%, Barclays se contentant de 0,1% et Lloyds Banking trébuchant de 0,13%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,(-% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,58%.
Une étude officielle avait auparavant fait savoir que les prix à la production allemands avaient diminué de 0,2% en mars, alors qu'un frémissement de 0,1% était envisagé, suite au faux pas de 0,1% précédent.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,57%, le CAC 40 français de 0,73%, et le DAX 30 allemand de 0,31%.
Jens Weidmann, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, a en effet déclaré mercredi que cette dernière pourrait encore rabaisser ses taux au cas où la situation l'exigerait.
La nervosité était palpable après que le Fonds Monétaire International ait aussi affirmé la veille que les mesures stimulatrices prises par la Réserve Fédérale et la Banque du Japon encourageraient encore les économies dont elles ont la charge, mais que le bloc ayant adopté la monnaie unique demeurait le maîllon le plus faible de la relance.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,51 et 1,22%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,97 et 1,04%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,95 et 1,66%.
L'Oréal, ogre des cosmétiques, raflait 2,68% après avoir revendiqué 5,1% d'amélioration de ses revenus du premier trimestre, atteiagnant ainsi 5,93 milliards d'euros et dépassant du même coup les prédictions.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,25%, tiré vers le haut par ses exploitants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 1,35 et 2,11%, leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Evraz faisant de même avec 4,05 et 4,60%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste avec 7,34 et 1,06%.
Anglo American suivait le même chemin avec 2,08% après avoir fait savoir que sa production de minerai de fer, de charbon et de cuivre avait augmenté au premier trimestre.
La City était plus mitigée, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings gagnant 1,11 et 2,18%, Barclays se contentant de 0,1% et Lloyds Banking trébuchant de 0,13%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,(-% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,58%.
Une étude officielle avait auparavant fait savoir que les prix à la production allemands avaient diminué de 0,2% en mars, alors qu'un frémissement de 0,1% était envisagé, suite au faux pas de 0,1% précédent.