Investing.com - Les bourses européennes restaient sur la défensive ce mercredi après-midi, dans le sillage de résultats peu reluisants pour le continent, la nervosité étant palpable dans l'expectative d'informations à propos du marché de l'emploi des Etats-Unis, sur fond de rumeurs concernant leur banque centrale.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 1,20%, le CAC 40 français de 1,20%, et le DAX 30 allemand de 1,05%.
Il avait en effet été signalé en fin de matinée que l'indice des directeurs des achats de la zone euro avait été revu vers le bas depuis les 47,5 évalués au préalable vers 47,2 pour mai, dépassant cependant modérément les 47,0.
Celui de l'Allemagne faisait de même depuis 49,8 vers 49,7 après révision, indiquant là aussi une embellie par rapport aux 49,6 d'avril.
Il était d'autre part à remarquer que les ventes au détail du bloc entier avaient plongé de 0,5% en avril, alors que 0,1% étaient déjà redoutés, sombrant de 1,1% d'une année sur l'autre.
La finance était morose, la Deutsche Bank allemande se repliant de 0,52%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec chacun 0,07 et 1,35%.
La périphérie était plus constrastée, l'espagnol Banco Santander et l'italien Unicredit encaissant 0,18 et 0,75%, alors que leurs compatriotes respectifs BBVA et Intesa Sanpaolo commettaient des faux pas de 0,27% et 0,62%.
A Paris, Les supermarchés Carrefour dégringolaient quand à eux de 4,51% après qu'il ait été affirmé qu'ils comptaient s'associer à la centrale de distribution CFAO, basée en Afrique, afin de renforcer sa présence sur le continent.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, glissait quand à lui de 1,36%, qu'il ait été noté que les activités de services britanniques avaient réalisé le mois passé leur plus forte progression depuis mars 2012.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières souffraient, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçant de 2,59 et 1,40%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 3,05%.
La City partageait ce pessimisme, Barclays laissant échapper 0,77%, et Lloyds Banking 0,85%, HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se retrouvant lanternes rouges avec 1,27 et 2,13%.
Tesco Plc, premier revendeur britannique, fondait de 4,08% suite à l'aveu de chiffres d'affaires par magasin inférieurs aux estimations.
Le gestionnaire de fortune Man Group Plc s'effondrait de 14,06% après avoir déploré une érosion du volume de son fonds principal.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément la morosité ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,45% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,35%.
Le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi privé aux Etats-Unis faisait désormais des gorges chaudes, en quête d'indices sur l'étude officielle sur la question qui sera publiée vendredi.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura pour sa part la journée avec ses informations sur l'état de leurs prestataires de services.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 1,20%, le CAC 40 français de 1,20%, et le DAX 30 allemand de 1,05%.
Il avait en effet été signalé en fin de matinée que l'indice des directeurs des achats de la zone euro avait été revu vers le bas depuis les 47,5 évalués au préalable vers 47,2 pour mai, dépassant cependant modérément les 47,0.
Celui de l'Allemagne faisait de même depuis 49,8 vers 49,7 après révision, indiquant là aussi une embellie par rapport aux 49,6 d'avril.
Il était d'autre part à remarquer que les ventes au détail du bloc entier avaient plongé de 0,5% en avril, alors que 0,1% étaient déjà redoutés, sombrant de 1,1% d'une année sur l'autre.
La finance était morose, la Deutsche Bank allemande se repliant de 0,52%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec chacun 0,07 et 1,35%.
La périphérie était plus constrastée, l'espagnol Banco Santander et l'italien Unicredit encaissant 0,18 et 0,75%, alors que leurs compatriotes respectifs BBVA et Intesa Sanpaolo commettaient des faux pas de 0,27% et 0,62%.
A Paris, Les supermarchés Carrefour dégringolaient quand à eux de 4,51% après qu'il ait été affirmé qu'ils comptaient s'associer à la centrale de distribution CFAO, basée en Afrique, afin de renforcer sa présence sur le continent.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, glissait quand à lui de 1,36%, qu'il ait été noté que les activités de services britanniques avaient réalisé le mois passé leur plus forte progression depuis mars 2012.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières souffraient, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçant de 2,59 et 1,40%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 3,05%.
La City partageait ce pessimisme, Barclays laissant échapper 0,77%, et Lloyds Banking 0,85%, HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se retrouvant lanternes rouges avec 1,27 et 2,13%.
Tesco Plc, premier revendeur britannique, fondait de 4,08% suite à l'aveu de chiffres d'affaires par magasin inférieurs aux estimations.
Le gestionnaire de fortune Man Group Plc s'effondrait de 14,06% après avoir déploré une érosion du volume de son fonds principal.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément la morosité ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,32%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,45% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,35%.
Le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur l'emploi privé aux Etats-Unis faisait désormais des gorges chaudes, en quête d'indices sur l'étude officielle sur la question qui sera publiée vendredi.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura pour sa part la journée avec ses informations sur l'état de leurs prestataires de services.