Investing.com - Les bourses européennes étaient en petite forme ce jeudi, dans l'expectative d'une prise de cap très attendue aujourd'hui de la part de la Banque Centrale Européenne, la Réserve Fédérale s'étant abstenue de toute initiative immédiate.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.09%, le CAC 40 français de 0.16%, et le DAX 30 allemand de 0.01%.
L'attente d'une relance du programme d'achats de bons du trésor par la BCE afin d'abaisser les taux des dettes espagnoles et italiennnes s'est intensifiée depuis que Mario Draghi, son président, s'est engagé la semaine passée à préserver la monnaie unique par tous les moyens nécessaires.
Mais la prudence restait de mise, dans la crainte que des décisions décevantes n'entraînent une plongée générale.
Son homologue américaine s'est pour sa part retenue de mettre en place une troisième série d'assouplissements quantitatifs lors de sa réunion d'hier.
Elle a toutefois fait savoir qu'elle "surveillerait la situation économique de près" et "fournirait de nouvelles aides pour renforcer la relance et prolonger les améliorations du marché du travail".
La finance n'était pas à plaindre, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 1.95 et 0.44%, leurs collègues allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 0.08 et 0.24%.
BNP Paribas avait pourtant avoué une dégringolade de 13% de ses bénéfices pour le second trimestre, mais celle-ci demeurait inférieure aux craintes, la crise de la dette de la zone euro limitant les recettes issues de ses transactions.
La compagnie postale Deutsche Post a pour sa part bondi de 3.17% après avoir dépassé ses objectifs avec 543 millions d'euros de rentrées.
Tout n'était cependant pas rose, notamment en France, où Veolia a dérapé de 5.8% suite à l'aveu de sa volonté de sabrer 500 millions d'euros d'investissements pour cette année fiscale, afin de pouvoir confirmer ses prédictions annuelles, tout en indiquant 153 millions d'euros de bénéfices nets pour le premier semestre, au lieu des 67 millions de pertes de l'année dernière.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.27%, à l'approche de la révélation des performances du domaine du bâtiment.
Le spécialiste des équipements médicaux Smith & Nephew était en tête, engrangeant 2.62% alors qu'il se disait que la compagnie augmenterait son dividende dans le cadre d'une politique visant à le faire progresser, grâce au succès de sa récente restructuration.
BP, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 1.17% d'amélioration, bien que ses profits du second semestre aient plongé, de 5.4 milliards à 238 millions d'USD, en raison de coûts de dépréciation et de la décision de ne pas poursuivre un projet majeur de forages en Alaska.
La City était plus mitigée, HSBC Holdings grimpant de 0.65%, Barclays de 0.64%, et la Royal Bank of Scotland de 0.51%, tandis que Lloyds Banking glissait de 1.07% après qu'il ait été su que 5 milliards de ses GBP avaient été provisionnés afin d'aider les primo-acquéreurs de logements à entrer sur le marché immobilier d'ici la fin de l'année.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.16% également.
Des informations émanant des autorités espagnoles ont signalé de leur côté que le pays avait compté 27 800 chômeurs de moins en juillet, après en avoir déjà enregistré une diminution de 98 900 le mois précédent.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le volume des commandes auprès des usines.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.09%, le CAC 40 français de 0.16%, et le DAX 30 allemand de 0.01%.
L'attente d'une relance du programme d'achats de bons du trésor par la BCE afin d'abaisser les taux des dettes espagnoles et italiennnes s'est intensifiée depuis que Mario Draghi, son président, s'est engagé la semaine passée à préserver la monnaie unique par tous les moyens nécessaires.
Mais la prudence restait de mise, dans la crainte que des décisions décevantes n'entraînent une plongée générale.
Son homologue américaine s'est pour sa part retenue de mettre en place une troisième série d'assouplissements quantitatifs lors de sa réunion d'hier.
Elle a toutefois fait savoir qu'elle "surveillerait la situation économique de près" et "fournirait de nouvelles aides pour renforcer la relance et prolonger les améliorations du marché du travail".
La finance n'était pas à plaindre, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 1.95 et 0.44%, leurs collègues allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 0.08 et 0.24%.
BNP Paribas avait pourtant avoué une dégringolade de 13% de ses bénéfices pour le second trimestre, mais celle-ci demeurait inférieure aux craintes, la crise de la dette de la zone euro limitant les recettes issues de ses transactions.
La compagnie postale Deutsche Post a pour sa part bondi de 3.17% après avoir dépassé ses objectifs avec 543 millions d'euros de rentrées.
Tout n'était cependant pas rose, notamment en France, où Veolia a dérapé de 5.8% suite à l'aveu de sa volonté de sabrer 500 millions d'euros d'investissements pour cette année fiscale, afin de pouvoir confirmer ses prédictions annuelles, tout en indiquant 153 millions d'euros de bénéfices nets pour le premier semestre, au lieu des 67 millions de pertes de l'année dernière.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.27%, à l'approche de la révélation des performances du domaine du bâtiment.
Le spécialiste des équipements médicaux Smith & Nephew était en tête, engrangeant 2.62% alors qu'il se disait que la compagnie augmenterait son dividende dans le cadre d'une politique visant à le faire progresser, grâce au succès de sa récente restructuration.
BP, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste avec 1.17% d'amélioration, bien que ses profits du second semestre aient plongé, de 5.4 milliards à 238 millions d'USD, en raison de coûts de dépréciation et de la décision de ne pas poursuivre un projet majeur de forages en Alaska.
La City était plus mitigée, HSBC Holdings grimpant de 0.65%, Barclays de 0.64%, et la Royal Bank of Scotland de 0.51%, tandis que Lloyds Banking glissait de 1.07% après qu'il ait été su que 5 milliards de ses GBP avaient été provisionnés afin d'aider les primo-acquéreurs de logements à entrer sur le marché immobilier d'ici la fin de l'année.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.16% également.
Des informations émanant des autorités espagnoles ont signalé de leur côté que le pays avait compté 27 800 chômeurs de moins en juillet, après en avoir déjà enregistré une diminution de 98 900 le mois précédent.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part publier dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le volume des commandes auprès des usines.