Investing.com - Les bourses européennes contre-attaquaient ce mardi matin, rebondissant hors de leur creux causé la semaine passée par le chef de la banque centrale des Etats-Unis, rappelant qu'elle pourrait commencer à limiter ses rachats d'actifs dès cette année.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,02%, le CAC 40 français de 1,13%, et le DAX 30 allemand de 1%.
Les cours avaient sombré après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et d'y mettre fin dès la mi-2014 au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a depuis confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
La prudence restait de mise, sur fond de spectre d'instabilité financière de la Chine, les valeurs boursières du pays ayant subi lundi leurs pires pertes journalières en près de quatre ans.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,46%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,32 et 1,28%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,65 et 1,91%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,27 et 2,04%.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0,73%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland bondissait de 1,16% et Lloyds Banking de 1,52%, HSBC Holdings et Barclays se plaçant en tête avec 1,64 et 1,72%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières en profitaient aussi, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 1,39 et 1,37%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Vedanta Resources n'étant pas en reste avec 1,81 et 2,24%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,47%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,56% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,54%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,02%, le CAC 40 français de 1,13%, et le DAX 30 allemand de 1%.
Les cours avaient sombré après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait affirmé mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et d'y mettre fin dès la mi-2014 au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
Narayana Kocherlakota, président de la réserve fédérale de Minneapolis, a depuis confirmé hier que la banque centrale des Etats-Unis demeurait engagée dans son programme de rachats d'actifs jusqu'à ce que le chômage américain soit ramené à un niveau bien plus bas que l'actuel.
La prudence restait de mise, sur fond de spectre d'instabilité financière de la Chine, les valeurs boursières du pays ayant subi lundi leurs pires pertes journalières en près de quatre ans.
La finance était en forme, la Deutsche Bank allemande empochant 0,46%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,32 et 1,28%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,65 et 1,91%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,27 et 2,04%.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0,73%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland bondissait de 1,16% et Lloyds Banking de 1,52%, HSBC Holdings et Barclays se plaçant en tête avec 1,64 et 1,72%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières en profitaient aussi, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 1,39 et 1,37%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Vedanta Resources n'étant pas en reste avec 1,81 et 2,24%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,47%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,56% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,54%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté achever la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi qu'avec deux études sur la confiance des ménages et les ventes de logements neufs.