Investing.com - Les bourses européennes restaient en difficulté ce mercredi après-midi, l'expansion économique mondiale semblant de plus en plus fugace après que le Fonds Monétaire International ait revu ses prévisions à la baisse, bien que les résultats positifs des Etats-Unis apportent une touche d'espoir.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 1,33%, le CAC 40 français de 1,59%, et le DAX 30 allemand de 1,63%.
Le FMI a ainsi réduit ses projections de croissance planétaire depuis 3,5 vers 3,3% pour 2013, et de 4,1 à 4,0% pour 2014.
Le moral profitait néanmoins des bonnes surprises constituées par les résultats américains, étouffant les craintes concernant la vigueur de la reprise économique outre-Atlantique.
La finance était toujours en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank laissant respectivement échapper 1,19 et 1,92%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1,77 et 1,72%.
La périphérie n'était cependant pas unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de 1,53 et 0,59%, alors que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit tiraient leur épingle du jeu en empochant 0,73 et 0,23%.
ASML, fournisseur d'outils pour l'élaboration de semiconducteurs, poursuivait son ascension matinale jusqu'à 8,45% grâce à un chiffre d'affaires dépassant les espérances avec 892 millions d'euros pour le premier trimestre.
Un programme de rachat de ses actions à hauteur de 1 milliard d'euros a aussi été annoncé, de même que le remplacement en juillet de son directeur généal Eric Meurice.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a chuté de 0,64%, tiré vers le bas par des exploitants en retrait, après que le compte-rendu de la dernière réunion de la Banque d'Angleterre ait souligné la persistance des divisions de ses décideurs au sujet de la politique monétaire à adopter.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 1,97 et 1,99%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 3,15 et 2%.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 1,56%, et son concurrent BP aussi avec 0,77%.
La City était plus mitigée, Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland grignotant 0,21 et 0,48%, alors que HSBC Holdings et Barclays trébuchaient de 0,69 et 0,76%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry s'envolait par contre de 4,34% après avoir revendiqué 503 millions de GBP de revenus au quatrième trimestre, battant ainsi les estimations des experts.
Les perspectives des marchés américains partageaient la morosité ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,27%.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 1,33%, le CAC 40 français de 1,59%, et le DAX 30 allemand de 1,63%.
Le FMI a ainsi réduit ses projections de croissance planétaire depuis 3,5 vers 3,3% pour 2013, et de 4,1 à 4,0% pour 2014.
Le moral profitait néanmoins des bonnes surprises constituées par les résultats américains, étouffant les craintes concernant la vigueur de la reprise économique outre-Atlantique.
La finance était toujours en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank laissant respectivement échapper 1,19 et 1,92%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1,77 et 1,72%.
La périphérie n'était cependant pas unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de 1,53 et 0,59%, alors que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit tiraient leur épingle du jeu en empochant 0,73 et 0,23%.
ASML, fournisseur d'outils pour l'élaboration de semiconducteurs, poursuivait son ascension matinale jusqu'à 8,45% grâce à un chiffre d'affaires dépassant les espérances avec 892 millions d'euros pour le premier trimestre.
Un programme de rachat de ses actions à hauteur de 1 milliard d'euros a aussi été annoncé, de même que le remplacement en juillet de son directeur généal Eric Meurice.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a chuté de 0,64%, tiré vers le bas par des exploitants en retrait, après que le compte-rendu de la dernière réunion de la Banque d'Angleterre ait souligné la persistance des divisions de ses décideurs au sujet de la politique monétaire à adopter.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 1,97 et 1,99%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 3,15 et 2%.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 1,56%, et son concurrent BP aussi avec 0,77%.
La City était plus mitigée, Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland grignotant 0,21 et 0,48%, alors que HSBC Holdings et Barclays trébuchaient de 0,69 et 0,76%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry s'envolait par contre de 4,34% après avoir revendiqué 503 millions de GBP de revenus au quatrième trimestre, battant ainsi les estimations des experts.
Les perspectives des marchés américains partageaient la morosité ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,27%.