Investing.com - Les bourses européennes ont retrouvé le sourire ce mardi, l'ambiance ayant profité de l'enthousiasme découlant du coup de fouet de la Banque du Japon.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,63%, le CAC 40 français de 0,53%, et le DAX 30 allemand de 0,50%.
La banque centrale nippone a en effet procédé hier à ses premiers rachats de bons du trésor, déclarant avoir acquis pour 1,2 billions de JPY en obligations courant sur cinq ans et plus.
Les valeurs européennes bénéficiaient du coup d'un effet de vases communicants, les taux européens diminuant alors que les investisseurs délaissaient leurs équivalents japonais afin de se concentrer sur des valeurs plus rémunératrices.
La finance avait le sourire, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 0,95 et 2,05%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1,28 et 0,96%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,04 et 0,46%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 4,92 et 1,28%.
En Espagne, le pétrolier Repsol bndissait de 0,93% après que son porte-parole Kristian Rix ait déclaré que la compagnie était tombée sur une colonne de gaz de 50 mètres dans la zone du sud-est d'Illizi, en Algérie.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,65%, tiré vers le haut par l'enthousiasme de ses exploitants et de ses extracteurs.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 2,10 et 3,54%, dépassés par leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Vedanta avec 4,19 et 3,87%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste avec 5,04 et 2,56%.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 3,07%, son concurrent BP avec 0,48% et Tullow Oil aussi avec 0,42%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings s'élevant de 0,40%, Lloyds Banking de 1,68%, Barclays et la Royal Bank of Scotland se portant en tête avec 2,52 et 2,61%.
Tout n'était cependant pas rose, le courtier ICAP s'effondrant de 3,45% après que les autorités boursières américaines aient émis des citations à comparaître à destination de ses opérateurs, et de pas moins de 15 banques de Wall Street, dans le cadre d'une enquête sur d'éventuelles manipulations des taux de base des couvertures de défaut.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,20%.
Mais la faiblesse des performances du commerce extérieur de l'Allemagne ont par contre fait craindre pour le futur de la première économie européenne.
Des informations gouvernementales ont ainsi souligné que le déficit de la balance commerciale allemande était passé de 15,6 à 17,1 milliards d'euros pour le second mois de l'année, alors qu'une limitation à 15 milliards était pressentie.
Elles précisaient que les importations avaient diminué de 1,5% en février, et les exportations de 3,8%.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,63%, le CAC 40 français de 0,53%, et le DAX 30 allemand de 0,50%.
La banque centrale nippone a en effet procédé hier à ses premiers rachats de bons du trésor, déclarant avoir acquis pour 1,2 billions de JPY en obligations courant sur cinq ans et plus.
Les valeurs européennes bénéficiaient du coup d'un effet de vases communicants, les taux européens diminuant alors que les investisseurs délaissaient leurs équivalents japonais afin de se concentrer sur des valeurs plus rémunératrices.
La finance avait le sourire, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 0,95 et 2,05%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 1,28 et 0,96%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,04 et 0,46%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 4,92 et 1,28%.
En Espagne, le pétrolier Repsol bndissait de 0,93% après que son porte-parole Kristian Rix ait déclaré que la compagnie était tombée sur une colonne de gaz de 50 mètres dans la zone du sud-est d'Illizi, en Algérie.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,65%, tiré vers le haut par l'enthousiasme de ses exploitants et de ses extracteurs.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto bondissaient de 2,10 et 3,54%, dépassés par leurs rivaux Eurasian Natural Resources et Vedanta avec 4,19 et 3,87%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste avec 5,04 et 2,56%.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 3,07%, son concurrent BP avec 0,48% et Tullow Oil aussi avec 0,42%.
La City suivait quand à elle le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings s'élevant de 0,40%, Lloyds Banking de 1,68%, Barclays et la Royal Bank of Scotland se portant en tête avec 2,52 et 2,61%.
Tout n'était cependant pas rose, le courtier ICAP s'effondrant de 3,45% après que les autorités boursières américaines aient émis des citations à comparaître à destination de ses opérateurs, et de pas moins de 15 banques de Wall Street, dans le cadre d'une enquête sur d'éventuelles manipulations des taux de base des couvertures de défaut.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,20%.
Mais la faiblesse des performances du commerce extérieur de l'Allemagne ont par contre fait craindre pour le futur de la première économie européenne.
Des informations gouvernementales ont ainsi souligné que le déficit de la balance commerciale allemande était passé de 15,6 à 17,1 milliards d'euros pour le second mois de l'année, alors qu'une limitation à 15 milliards était pressentie.
Elles précisaient que les importations avaient diminué de 1,5% en février, et les exportations de 3,8%.