Investing.com - Les bourses européennes ont regagné la forme mardi après-midi, les résultats régionaux décevants ayant conforté l'hypothèse d'une éventuelle diminution des taux de la Banque Centrale Européenne.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,85%, le CAC 40 français de 2,21%, et le DAX 30 allemand de 1,03%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet annoncé que la première estimation de son baromètre de l'activité du secteur manufacturier allemand s'était rétractée des 49,0 précédents vers 47,9, bien au-dessous des 50 dénotant une expansion.
Son équivalent pour les services suivait le même chemin, passant de 50,9 à 49,2, sa pire contraction en six mois.
Ces contre-performances laissaient redouter une régression de la première économie régionale sur les trois premiers mois de l'année, alimentant les rumeurs de rabaissement des taux européens.
Celui pour les usines du bloc entier était quand à lui en repli depuis 46,8 vers 46,6, mais celui des services a par contre suivi les attentes en frémissant de 46,4 jusqu'à 46,6.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,96%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,95 et 2,96%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 2,84 et 1,86%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,23 et 1,74%.
Mais tout n'était cependant pas rose, le fabricant de pneumatiques Michelin dérapant de 0,52% après avoir déploré une érosion de 8,1% de ses revenus au premier trimestre, accusant la diminution des ventes automobiles européennes de nuire à la demande.
A Londres, le FTSE 100 engrangeait 1,11%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays s'élevait de 0,50%, et la Royal Bank of Scotland de 1,21%, Lloyds Banking et Barclays se portant en tête de peloton avec 1,75 et 1,81%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,09 et 0,10%, Antofagasta et Randgold Resources leur emboîtant le pas avec 0,95 et 1,63%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,06%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,12%, alors que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,06%.
Il avait aussi été noté à l'aube que l'évaluation préliminaire de l'indice manufacturier chinois établi par HSBC avait reculé depuis 51,6 définitifs vers 50,5 pour avril.
Cette information laisse à redouter une évolution ralentie pour le secteur secondaire de la deuxième économie mondiale entre début avril et fin juin.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le nombre officiel des ventes d'habitations neuves.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,85%, le CAC 40 français de 2,21%, et le DAX 30 allemand de 1,03%.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet annoncé que la première estimation de son baromètre de l'activité du secteur manufacturier allemand s'était rétractée des 49,0 précédents vers 47,9, bien au-dessous des 50 dénotant une expansion.
Son équivalent pour les services suivait le même chemin, passant de 50,9 à 49,2, sa pire contraction en six mois.
Ces contre-performances laissaient redouter une régression de la première économie régionale sur les trois premiers mois de l'année, alimentant les rumeurs de rabaissement des taux européens.
Celui pour les usines du bloc entier était quand à lui en repli depuis 46,8 vers 46,6, mais celui des services a par contre suivi les attentes en frémissant de 46,4 jusqu'à 46,6.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,96%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 2,95 et 2,96%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 2,84 et 1,86%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,23 et 1,74%.
Mais tout n'était cependant pas rose, le fabricant de pneumatiques Michelin dérapant de 0,52% après avoir déploré une érosion de 8,1% de ses revenus au premier trimestre, accusant la diminution des ventes automobiles européennes de nuire à la demande.
A Londres, le FTSE 100 engrangeait 1,11%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays s'élevait de 0,50%, et la Royal Bank of Scotland de 1,21%, Lloyds Banking et Barclays se portant en tête de peloton avec 1,75 et 1,81%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,09 et 0,10%, Antofagasta et Randgold Resources leur emboîtant le pas avec 0,95 et 1,63%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,06%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,12%, alors que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,06%.
Il avait aussi été noté à l'aube que l'évaluation préliminaire de l'indice manufacturier chinois établi par HSBC avait reculé depuis 51,6 définitifs vers 50,5 pour avril.
Cette information laisse à redouter une évolution ralentie pour le secteur secondaire de la deuxième économie mondiale entre début avril et fin juin.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le nombre officiel des ventes d'habitations neuves.