Investing.com - Les bourses européennes gardaient majoritairement la forme ce mercredi après-midi, dans le sillage des chiffres positifs de la production industrielle régionale, sur fond de rumeurs tenaces de fin imminente des aides provenant des banques centrales.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,40%, le CAC 40 français de 0,37%, et le DAX 30 allemand de 0,13%.
Une étude officielle avait souligné en fin de matinée que la production industrielle du bloc ayant adopté la monnaie unique avait augmenté de 0,4% en avril, au lieu de subir une érosion de 0,2% comme prédit, après qu'elle ait augmenté de 0,9% en mars.
Wolfgang Schäuble, ministre des finances de l'Allemagne, avait défendu hier le plan de rachats d'obligations de la Banque Centrale Européenne lors d'une audience devant la plus haute instance juridique du pays afin d'en déterminer la constitutionnalité.
La nervosité ambiante se trouvait toutefois exacerbée par les bruits évoquant une éventuelle diminution des injections de liquidités provenant de la Réserve Fédérale dans les mois à venir.
La finance était partagée, l'allemand Commerzbank emmpochant 0,36%, alors que son compatriote Deutsche Bank sombrait de 1,05%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,50 et 0,36%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,51 et 2,06%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,61 et 0,41%.
Kabel Deutschland bndissait pour sa part de 8,32% à Francfort, après que Vodafone, premier opérateur mondial de téléphonie mobile, ait confirmé avoir étudié l'acquisition de l'opérateur câblé allemand afin de se diversifier sur le marché de la fourniture de télévision et de l'accès à Internet à haut débit.
A Londres, le FTSE 100 grignotait 0,15%, après que des chiffres officiels aient montré pour le mois dernier la plus belle embellie du marché du travail britannique des deux dernières années.
La City suivait globalement le chemin tracé par leurs homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland arrachant 0,66%, Lloyds Banking 0,41% et HSBC Holdings 0,58%, alors que Barclays commettait un faux pas de 0,61%.
BSkyB, premier fournisseur de programmes télévisés payants du pays, engrangeait par contre 2,15% après que Banco Espirito Santo ait annoncé dans un article que News Corp., l'empire médiatique de Rupert Murdoch, pourrait lui formuler une nouvelle offre une fois que ses actionnaires auraient donné leur feu vert au plan consistant à former une entité séparée avec sa branche presse.
Severn Trent aggravait encore son cas en queue de peloton, dégringolant de 8,79% après que Borealis Infrastructure Management et ses partenaires koweïto-britanniques aient laissé expirer leur offre se montant à 5,3 milliards de GBP pour le fournisseur collectif d'eau britannique.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,52%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,58% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,47%.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,40%, le CAC 40 français de 0,37%, et le DAX 30 allemand de 0,13%.
Une étude officielle avait souligné en fin de matinée que la production industrielle du bloc ayant adopté la monnaie unique avait augmenté de 0,4% en avril, au lieu de subir une érosion de 0,2% comme prédit, après qu'elle ait augmenté de 0,9% en mars.
Wolfgang Schäuble, ministre des finances de l'Allemagne, avait défendu hier le plan de rachats d'obligations de la Banque Centrale Européenne lors d'une audience devant la plus haute instance juridique du pays afin d'en déterminer la constitutionnalité.
La nervosité ambiante se trouvait toutefois exacerbée par les bruits évoquant une éventuelle diminution des injections de liquidités provenant de la Réserve Fédérale dans les mois à venir.
La finance était partagée, l'allemand Commerzbank emmpochant 0,36%, alors que son compatriote Deutsche Bank sombrait de 1,05%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,50 et 0,36%.
La périphérie était plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,51 et 2,06%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,61 et 0,41%.
Kabel Deutschland bndissait pour sa part de 8,32% à Francfort, après que Vodafone, premier opérateur mondial de téléphonie mobile, ait confirmé avoir étudié l'acquisition de l'opérateur câblé allemand afin de se diversifier sur le marché de la fourniture de télévision et de l'accès à Internet à haut débit.
A Londres, le FTSE 100 grignotait 0,15%, après que des chiffres officiels aient montré pour le mois dernier la plus belle embellie du marché du travail britannique des deux dernières années.
La City suivait globalement le chemin tracé par leurs homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland arrachant 0,66%, Lloyds Banking 0,41% et HSBC Holdings 0,58%, alors que Barclays commettait un faux pas de 0,61%.
BSkyB, premier fournisseur de programmes télévisés payants du pays, engrangeait par contre 2,15% après que Banco Espirito Santo ait annoncé dans un article que News Corp., l'empire médiatique de Rupert Murdoch, pourrait lui formuler une nouvelle offre une fois que ses actionnaires auraient donné leur feu vert au plan consistant à former une entité séparée avec sa branche presse.
Severn Trent aggravait encore son cas en queue de peloton, dégringolant de 8,79% après que Borealis Infrastructure Management et ses partenaires koweïto-britanniques aient laissé expirer leur offre se montant à 5,3 milliards de GBP pour le fournisseur collectif d'eau britannique.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,52%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,58% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,47%.