Investing.com - Les bourses européennes étaient plus nettement moroses ce mercredi matin, sur fond de craintes concernant la stabilité financière de la région où il a cours suite au sauvetage in extremis de Chypre et d'incertitudes politiques italiennes tenaces.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0.29%, le CAC 40 français de 0.18%, et le DAX 30 allemand de 0.05%.
L'atmosphère demeurait assombrie par l'épouvantail d'un précédent constitué par la méthode chypriote, et donc par la peur que d'éventuels sauvetages futurs des établissements financiers au sein du bloc euro risquent de se dérouler aux dépens directs des gros épargnants.
Le spectre de l'impasse à Rome s'est aussi trouvé ravivé par les commentaires d'un politicien de premier rang, semant le doute sur la formation d'une nouvelle équipe dirigeante.
Le trou dans lequel la monnaie unique avait déjà sombré s'est creusé après que Pier Luigi Bersani, chef de l'alliance de centre gauche, ait semblé exclure la formation d'un gouvernement de coalition, déclarant que "seul un fou" voudrait prendre la tête de l'Italie.
La finance était encore plus profondément affectée, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank reculant respectivement de 2.07 et 3.84%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 2.6 et 3.42%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant de 2.27 et 1.62%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2.14 et 2.16%.
Du côté aéronautique, le fournisseur de moteurs Safran plongeait de 2.72%, alors que la France s'apprêtait à en vendre 13 millions de parts.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a dérapé de 0.76%, après qu'une rétraction du produit intérieur brut de 0.3% ait été confirmée entre début octobre et fin décembre, conformément aux projections et aux évaluations préliminaires.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto arrachaient néanmoins 0.05 et 0.82%, mais Eurasian Natural Resources trébuchait de 0.08%, son avance ayant fondu.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata tenaient bon avec 1.75 et 0.81% d'amélioration.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, se repliait de 0.71% après l'offensive matinale, de même que ses concurrents BP et Petrofac avec 1.2 et 0.86%.
La City restait plutôt partagée, HSBC Holdings fléchissant de 0.38%,et la Royal Bank of Scotland de 1.01%, alors que Barclays émergeait de 0.18%, et Lloyds Banking de 2.06%.
Les perspectives des marchés américains suivaient le chemin du vieux continent: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.44%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.44% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.43%.
Une étude avait mis hier en relief un déclin de la confiance dans la région après quatre mois de progression, ravivant les craintes au sujet de sa situation économique.
L'indice du moral économique de la Commission Européenne a en effet trébuché de 1.1 points pour se situer à 90, subissant le coup de blues du secteur secondaire.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté achever la journée avec le nombre des ventes de logements en cours.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0.29%, le CAC 40 français de 0.18%, et le DAX 30 allemand de 0.05%.
L'atmosphère demeurait assombrie par l'épouvantail d'un précédent constitué par la méthode chypriote, et donc par la peur que d'éventuels sauvetages futurs des établissements financiers au sein du bloc euro risquent de se dérouler aux dépens directs des gros épargnants.
Le spectre de l'impasse à Rome s'est aussi trouvé ravivé par les commentaires d'un politicien de premier rang, semant le doute sur la formation d'une nouvelle équipe dirigeante.
Le trou dans lequel la monnaie unique avait déjà sombré s'est creusé après que Pier Luigi Bersani, chef de l'alliance de centre gauche, ait semblé exclure la formation d'un gouvernement de coalition, déclarant que "seul un fou" voudrait prendre la tête de l'Italie.
La finance était encore plus profondément affectée, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank reculant respectivement de 2.07 et 3.84%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 2.6 et 3.42%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA dérapant de 2.27 et 1.62%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2.14 et 2.16%.
Du côté aéronautique, le fournisseur de moteurs Safran plongeait de 2.72%, alors que la France s'apprêtait à en vendre 13 millions de parts.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a dérapé de 0.76%, après qu'une rétraction du produit intérieur brut de 0.3% ait été confirmée entre début octobre et fin décembre, conformément aux projections et aux évaluations préliminaires.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto arrachaient néanmoins 0.05 et 0.82%, mais Eurasian Natural Resources trébuchait de 0.08%, son avance ayant fondu.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata tenaient bon avec 1.75 et 0.81% d'amélioration.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, se repliait de 0.71% après l'offensive matinale, de même que ses concurrents BP et Petrofac avec 1.2 et 0.86%.
La City restait plutôt partagée, HSBC Holdings fléchissant de 0.38%,et la Royal Bank of Scotland de 1.01%, alors que Barclays émergeait de 0.18%, et Lloyds Banking de 2.06%.
Les perspectives des marchés américains suivaient le chemin du vieux continent: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.44%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.44% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.43%.
Une étude avait mis hier en relief un déclin de la confiance dans la région après quatre mois de progression, ravivant les craintes au sujet de sa situation économique.
L'indice du moral économique de la Commission Européenne a en effet trébuché de 1.1 points pour se situer à 90, subissant le coup de blues du secteur secondaire.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis comptaient de leur côté achever la journée avec le nombre des ventes de logements en cours.