Investing.com - Les bourses européennes n'ont guère évolué lors des échanges dans direction claire de ce mardi matin, dans le sillage de bons résultats allemands, la circonspection restant cependant à l'ordre du jour à la veille de la publication des statistiques de la croissance américaine.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.04%, le CAC 40 français restait stable, et le DAX 30 allemand grignotait 0.04%.
Le groupe de recherches économiques Gfk vient en effet de faire savoir que son baromètre de l'humeur des consommateurs d'Allemagne avait frémi depuis 5.7 vers 5.8 pour janvier, alors qu'une stagnation était envisagée.
La prudence restait de mise à l'approche d'évènements économiques américains majeurs, avec la prise de cap de la Réserve Fédérale et les chiffres de la croissance des Etats-Unis attendus demain, tandis que le rapport sur l'emploi hors agriculture national sera publié vendredi.
La finance était largement en forme, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.42 et 0.15%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.6 et 0.14%.
Philips, grand fabricant d'éclairages, grimpait de 0.48% grâce à des bénéfices supérieurs aux estimations pour le quatrième trimestre, en raison des besoins pour ses équipements médicaux et de licenciements.
Tout n'était cependant pas rose, Sandvik, premier fabricant mondial d'outils de découpe métallique, plongeant de 0.94% suite à des profits décevants sur la même période.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a avancé de 0.18%, tiré vers le haut par des exploitants gardant le sourire.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto se sont élevés de 0.63 et 0.25%, leur rival Evraz les dépassant largement avec 2.06%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste, avec 1.17 et 0.15%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, engrangeait 1.18% après avoir déclaré compter dévaluer son installation brésilienne d'extraction de minerai de fer de Minas-Rio de 4 milliards d'USD, et remonter ses estimations d'investissements pour la sixième fois, après que des excès aient forcé sa directrice générale Cynthia Carroll à démissioner.
La City était par contre en difficulté, Barclays glissant de 0.24%, Lloyds Banking de 0.75% et la Royal Bank of Scotland de 2.16%, tandis que HSBC Holdings gardait la tête hors de l'eau en arrachant 0.33%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt divisées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.03%, celles sur le S&P 500 estimant subir un faus pas de 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.08%.
L'après-midi devrait de son côté voir la publication d'un rapport sur l'humeur des consommateurs des Etats-Unis, et d'un autre sur l'inflation des coûts des logements du pays.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.04%, le CAC 40 français restait stable, et le DAX 30 allemand grignotait 0.04%.
Le groupe de recherches économiques Gfk vient en effet de faire savoir que son baromètre de l'humeur des consommateurs d'Allemagne avait frémi depuis 5.7 vers 5.8 pour janvier, alors qu'une stagnation était envisagée.
La prudence restait de mise à l'approche d'évènements économiques américains majeurs, avec la prise de cap de la Réserve Fédérale et les chiffres de la croissance des Etats-Unis attendus demain, tandis que le rapport sur l'emploi hors agriculture national sera publié vendredi.
La finance était largement en forme, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.42 et 0.15%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.6 et 0.14%.
Philips, grand fabricant d'éclairages, grimpait de 0.48% grâce à des bénéfices supérieurs aux estimations pour le quatrième trimestre, en raison des besoins pour ses équipements médicaux et de licenciements.
Tout n'était cependant pas rose, Sandvik, premier fabricant mondial d'outils de découpe métallique, plongeant de 0.94% suite à des profits décevants sur la même période.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a avancé de 0.18%, tiré vers le haut par des exploitants gardant le sourire.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto se sont élevés de 0.63 et 0.25%, leur rival Evraz les dépassant largement avec 2.06%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étaient pas en reste, avec 1.17 et 0.15%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, engrangeait 1.18% après avoir déclaré compter dévaluer son installation brésilienne d'extraction de minerai de fer de Minas-Rio de 4 milliards d'USD, et remonter ses estimations d'investissements pour la sixième fois, après que des excès aient forcé sa directrice générale Cynthia Carroll à démissioner.
La City était par contre en difficulté, Barclays glissant de 0.24%, Lloyds Banking de 0.75% et la Royal Bank of Scotland de 2.16%, tandis que HSBC Holdings gardait la tête hors de l'eau en arrachant 0.33%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt divisées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.03%, celles sur le S&P 500 estimant subir un faus pas de 0.02% et celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0.08%.
L'après-midi devrait de son côté voir la publication d'un rapport sur l'humeur des consommateurs des Etats-Unis, et d'un autre sur l'inflation des coûts des logements du pays.