Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce mercredi matin, après qu'il ait été montré hier que la confiance économique allemande avait connu un regain inférieur aux espérances pour ce mois-ci, la prudence restant de mise sur fond d'incertitudes au sujet de la politique monétaire américaine.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,28%, le CAC 40 français de 0,22%, et le DAX 30 allemand de 0,33%.
L'indice du moral dans les entreprises germaniques établi par l'institut Ifo pour la recherche économique a en effet réalisé un saut de puce depuis les 107,6 d'août vers 107,7, son plus haut niveau depuis mars 2012, au lieu des 108,2 anticipés.
Les incertitudes sur les orientations de la banque centrale des Etats-Unis sont aussi revenues après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, en ait justifié le maintien.
Les valeurs de l'Europe ont retrouvé des couleurs après qu'Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait confirmé hier qu'il était encore trop tôt pour que celle-ci mette fin à ses mesures de crise.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,56%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,23 et 1,25%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,28 et 0,29%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,41 et 0,45%.
Nordea Bank s'effondrait même de 2,65% alors que la Suède mettait en vente ses 7% de parts restantes dans le plus gros établissement bancaire scandinave.
Tout n'était cependant pas désespéré, Enagas et Gas Natural bondissant de 0,84 et 1,41% après que Goldman Sachs en ait remonté les appréciations depuis la neutralité vers le conseil d'achat, estimant que les réformes imminentes de la législation gazière espagnole leur seraient profitables.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,33%, malgré les performances des exploitants et des extracteurs.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient de 0,73 et 1,45%, leurs rivaux Fresnillo et Polymetal n'étant pas en reste avec 1,57 et 3,55%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin inverse de celui tracé sur le continent,la Royal Bank of Scotland avançant de 0,30%, Lloyds Banking de 0,43% et Barclays de 1,20%, tandis que HSBC Holdings décevait avec un faux pas de 0,01%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,13%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes de logements neufs.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,28%, le CAC 40 français de 0,22%, et le DAX 30 allemand de 0,33%.
L'indice du moral dans les entreprises germaniques établi par l'institut Ifo pour la recherche économique a en effet réalisé un saut de puce depuis les 107,6 d'août vers 107,7, son plus haut niveau depuis mars 2012, au lieu des 108,2 anticipés.
Les incertitudes sur les orientations de la banque centrale des Etats-Unis sont aussi revenues après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, en ait justifié le maintien.
Les valeurs de l'Europe ont retrouvé des couleurs après qu'Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne, ait confirmé hier qu'il était encore trop tôt pour que celle-ci mette fin à ses mesures de crise.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,56%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,23 et 1,25%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,28 et 0,29%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,41 et 0,45%.
Nordea Bank s'effondrait même de 2,65% alors que la Suède mettait en vente ses 7% de parts restantes dans le plus gros établissement bancaire scandinave.
Tout n'était cependant pas désespéré, Enagas et Gas Natural bondissant de 0,84 et 1,41% après que Goldman Sachs en ait remonté les appréciations depuis la neutralité vers le conseil d'achat, estimant que les réformes imminentes de la législation gazière espagnole leur seraient profitables.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,33%, malgré les performances des exploitants et des extracteurs.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient de 0,73 et 1,45%, leurs rivaux Fresnillo et Polymetal n'étant pas en reste avec 1,57 et 3,55%.
La City suivait quand à elle majoritairement le chemin inverse de celui tracé sur le continent,la Royal Bank of Scotland avançant de 0,30%, Lloyds Banking de 0,43% et Barclays de 1,20%, tandis que HSBC Holdings décevait avec un faux pas de 0,01%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,13%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes de logements neufs.