Investing.com - Les bourses européennes étaient en recul ce mercredi matin, l'expansion économiquue mondiale semblant de plus en plus fugace après que le Fonds Monétaire International ait revu ses prévisions à la baisse, malgré les résultats positifs des Etats-Unis.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,13%, le CAC 40 français de 0,34%, et le DAX 30 allemand de 0,22%.
Le FMI a ainsi réduit ses projections de croissance planétaire depuis 3,5 vers 3,3% pour 2013, et de 4,1 à 4,0% pour 2014.
Le moral profitait néanmoins des bonnes surprises constituées par les résultats américains, étouffant les craintes concernant la vigueur de la reprise économique outre-Atlantique.
La finance était en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank laissant respectivement échapper 0,34 et 0,64%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0,20 et 0,31%.
La périphérie n'était cependant pas unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de 0,95 et 0,31%, alors que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit tiraient leur épingle du jeu en empochant 0,73 et 0,81%.
ASML, fournisseur d'outils pour l'élaboration de semiconducteurs, bondissait de 1,97% grâce à un chiffre d'affaires dépassant les espérances avec 892 millions d'euros pour le premier trimestre.
Un programme de rachat de ses actions à hauteur de 1 milliard d'euros a aussi été annoncé, de même que le remplacement en juillet de son directeur généal Eric Meurice.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a chuté de 0,50%, tiré vers le bas par des exploitants en retrait.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 2,17 et 2,50%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 3,33 et 2,48%.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 1,39%, et son concurrent BP aussi avec 0,64%.
La City sauvait plutôt difficilement la face, la Royal Bank of Scotland grignotant 0,25%, Barclays 0,23% et Lloyds Banking 0,46%, tandis quee HSBC Holdings trébuchait de 0,32%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry s'envolait par contre de 5,21% après avoir revendiqué 503 millions de GBP de revenus au quatrième trimestre, battant ainsi les estimations des experts.
Les perspectives des marchés américains partageaient la morosité ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,27%.
L'Allemagne comptait de son côté procéder en fin de matinée à des enchères d'obligations décennales.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,13%, le CAC 40 français de 0,34%, et le DAX 30 allemand de 0,22%.
Le FMI a ainsi réduit ses projections de croissance planétaire depuis 3,5 vers 3,3% pour 2013, et de 4,1 à 4,0% pour 2014.
Le moral profitait néanmoins des bonnes surprises constituées par les résultats américains, étouffant les craintes concernant la vigueur de la reprise économique outre-Atlantique.
La finance était en berne, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank laissant respectivement échapper 0,34 et 0,64%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0,20 et 0,31%.
La périphérie n'était cependant pas unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA se repliant de 0,95 et 0,31%, alors que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit tiraient leur épingle du jeu en empochant 0,73 et 0,81%.
ASML, fournisseur d'outils pour l'élaboration de semiconducteurs, bondissait de 1,97% grâce à un chiffre d'affaires dépassant les espérances avec 892 millions d'euros pour le premier trimestre.
Un programme de rachat de ses actions à hauteur de 1 milliard d'euros a aussi été annoncé, de même que le remplacement en juillet de son directeur généal Eric Meurice.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a chuté de 0,50%, tiré vers le bas par des exploitants en retrait.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 2,17 et 2,50%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'étant pas en reste avec 3,33 et 2,48%.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 1,39%, et son concurrent BP aussi avec 0,64%.
La City sauvait plutôt difficilement la face, la Royal Bank of Scotland grignotant 0,25%, Barclays 0,23% et Lloyds Banking 0,46%, tandis quee HSBC Holdings trébuchait de 0,32%.
Le revendeur d'articles de luxe Burberry s'envolait par contre de 5,21% après avoir revendiqué 503 millions de GBP de revenus au quatrième trimestre, battant ainsi les estimations des experts.
Les perspectives des marchés américains partageaient la morosité ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,27%.
L'Allemagne comptait de son côté procéder en fin de matinée à des enchères d'obligations décennales.