Investing.com - Les bourses européennes étaient dans une forme mitigée ce jeudi, le moral étant revenu avec un regain d'espoir de nouvelles initiatives stimulatrices de la part de la Chine et de la Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.28% et le CAC 40 français de 0.36%, le DAX 30 allemand laissant échapper 0.2%.
Le moral s'est d'autre part trouvé regonflé par des informations montrant que l'inflation annuelle des prix au détail de la Chine avait plongé à son plus bas niveau en trente mois, laissant à penser que la banque centrale du pays aurait davantage les coudées franches pour procéder à des assouplissements monétaires.
L'espoir d'une initiative de la BCE destinée à réduire les coûts des emprunts de l'Espagne et de l'Italie contribuait lui aussi à cette tendance positive, après qu'elle ait laissé entendre la semaine dernière qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor.
La finance redressait largement la tête, les français Société Générale et BNP Paribas engrangeant respectivement 1.38 et 1.18%, suivis par la Deutsche Bank allemande avec 0.74%.
Il en était de même dans la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo n'étant pas en reste avec 1.42 et 0.74%, les espagnols Banco Santander et BBVA se contentant de 1.25 et 0.52%.
Nestlé a pour sa part raflé 1.24% après avoir enregistré une croissance de ses ventes dépassant les projections pour le premier semestre.
Deutsche Telekom avancé de 0.65% de son côté, grâce à des revenus du second trimestre supérieurs aux attentes.
Tout n'était cependant pas rose, le géant des services collectifs français GDF Suez dégringolant de 1.93% suite à la diffusion de la nouvelle suivant laquelle un des sept réacteurs nucléaires belges aurait été mis hors circuit dans la crainte qu'un de ses composants soit fêlé.
La compagnie, qui le gère à travers sa filiale Electrabel, a confirmé que l'interruption de service se poursuivrait.
A Londres, le FTSE 100 a arraché 0.04%, dans l'attente des chiffres du commerce extérieur britannique.
Standard CHartered connaissait sa seconde journée de rebond d'affilée avec 3.46%, alors qu'elle s'était effondrée en début de semaine, son directeur général Peter Sands ayant contredit les accusations des autorités financières américaines suivant lesquelles la banque aurait violé l'embargo américain imposé à l'Iran, estimant qu'il n'y avait "pas de raisons" de retirer sa licence bancaire à l'établissement.
Celui-ci aurait en effet conspiré avec le gouvernement iranien afin de blanchir des milliards de dollars qui auraient pu alimenter des activités terroristes.
Le reste de la City faisait plutôt grise mine, la Royal Bank of Scotland plongeant de 0.83%, Lloyds Banking de 0.48% et Barclays de 0.17%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre servi de locomotives, Rangold Resources s'élevant de 3.39%, Evraz Plc de 1.61% et le cuivrier Xstrata de 0.27%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.27%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.35%.
La Banque Centrale Européenne publiera aujourd'hui son bulletin mensuel, tandis que les Etats-Unis rendront dans l'après-midi un rapport sur l'état de leur balance commerciale, ainsi que le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.28% et le CAC 40 français de 0.36%, le DAX 30 allemand laissant échapper 0.2%.
Le moral s'est d'autre part trouvé regonflé par des informations montrant que l'inflation annuelle des prix au détail de la Chine avait plongé à son plus bas niveau en trente mois, laissant à penser que la banque centrale du pays aurait davantage les coudées franches pour procéder à des assouplissements monétaires.
L'espoir d'une initiative de la BCE destinée à réduire les coûts des emprunts de l'Espagne et de l'Italie contribuait lui aussi à cette tendance positive, après qu'elle ait laissé entendre la semaine dernière qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor.
La finance redressait largement la tête, les français Société Générale et BNP Paribas engrangeant respectivement 1.38 et 1.18%, suivis par la Deutsche Bank allemande avec 0.74%.
Il en était de même dans la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo n'étant pas en reste avec 1.42 et 0.74%, les espagnols Banco Santander et BBVA se contentant de 1.25 et 0.52%.
Nestlé a pour sa part raflé 1.24% après avoir enregistré une croissance de ses ventes dépassant les projections pour le premier semestre.
Deutsche Telekom avancé de 0.65% de son côté, grâce à des revenus du second trimestre supérieurs aux attentes.
Tout n'était cependant pas rose, le géant des services collectifs français GDF Suez dégringolant de 1.93% suite à la diffusion de la nouvelle suivant laquelle un des sept réacteurs nucléaires belges aurait été mis hors circuit dans la crainte qu'un de ses composants soit fêlé.
La compagnie, qui le gère à travers sa filiale Electrabel, a confirmé que l'interruption de service se poursuivrait.
A Londres, le FTSE 100 a arraché 0.04%, dans l'attente des chiffres du commerce extérieur britannique.
Standard CHartered connaissait sa seconde journée de rebond d'affilée avec 3.46%, alors qu'elle s'était effondrée en début de semaine, son directeur général Peter Sands ayant contredit les accusations des autorités financières américaines suivant lesquelles la banque aurait violé l'embargo américain imposé à l'Iran, estimant qu'il n'y avait "pas de raisons" de retirer sa licence bancaire à l'établissement.
Celui-ci aurait en effet conspiré avec le gouvernement iranien afin de blanchir des milliards de dollars qui auraient pu alimenter des activités terroristes.
Le reste de la City faisait plutôt grise mine, la Royal Bank of Scotland plongeant de 0.83%, Lloyds Banking de 0.48% et Barclays de 0.17%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre servi de locomotives, Rangold Resources s'élevant de 3.39%, Evraz Plc de 1.61% et le cuivrier Xstrata de 0.27%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.27%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.16% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.35%.
La Banque Centrale Européenne publiera aujourd'hui son bulletin mensuel, tandis que les Etats-Unis rendront dans l'après-midi un rapport sur l'état de leur balance commerciale, ainsi que le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.