Investing.com - Les bourses européennes restaient positives ce jeudi après-midi, la forte demande rencontrée par les enchères d'emprunts de l'Italie ayant quelque peu occulté l'angoisse dûe à son impasse politique.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.39%, le CAC 40 français de 0.39%, et le DAX 30 allemand de 0.7%.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a en effet rappelé hier que la responsabilité de la résolution des problèmes de la région reposait dans les mains des gouvernements, devant mettre en place des réformes économiques et ramener le calme sur les marchés financiers.
Mais l'ambiance restait assombrie par l'hypothèse de nouvelles élections en Italie après que les espoirs de formation d'une coalition se soient amenuisés.
La finance était du coup moins unanime, l'allemand Commerzbank se repliant de 0.35% et son compatriote Deutsche Bank arrachant 0.37%, tandis que le français BNP Paribas coulait de 0.81% alors que Société Générale bondissait de 0.93%.
En Allemagne, l'opérateur Deutsche Telekom a plongé de 1.55% en raison de rentrées inférieures aux attentes pour le quatrième trimestre.
Mais tout n'était pas désespéré, son collègue espagnol Telefonica s'élevant de 1.63% grâce au dépassement des estimations de recettes consécutif à un chiffre d'affaires en Amérique Latine permettant de compenser les difficultés locales.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.41%, tiré vers le haut par des établissements bancaires suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a ainsi encaissé 1.37%, et HSBC Holdings 1.36%, améliorant encore leurs performances matinale, Lloyds Banking se contentant de 1.53%.
La Royal Bank of Scotland subissait par contre un passage à vide de 4.22% dans le sillage de pertes annuelles dûes au provisionnement de 1.1 milliards de GBP destinés à indemnisés ses clients victimes de ventes d'assurances et de couvertures de défaillances frauduleuses.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également continué à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0.88 et 0.52%, imité par les cuivriers Kazakhmys et Xstrata avec 5.21 et 0.82%.
Anglo Ameraican, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste, avec un dérapage de 1.68%, Petrofac, fournisseur d'infrastructures intégrées axées sur la production et la gestion du pétrole, du gaz et de l'énergie, lui emboîtant le pas de 3.34%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
Une étude officielle avait révélé ce matin 3 000 demandeurs d'emploi en moins en Allemagne, pour un total de 2.9 millions en février, une légère déception par rapport aux 5 000 espérés, tandis que le taux de chômage national stagnait à 6.9%.
Parmi les autres faits marquants dans la région, des informations révisées montraient que l'économie espagnole avait reculé de 0.8% au quatrième trimestre, au lieu des 0.7% estimés auparavant, constituant du coup un repli annuel de 1.9%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres révisés de leur croissance du début octobre à la fin décembre et le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.39%, le CAC 40 français de 0.39%, et le DAX 30 allemand de 0.7%.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a en effet rappelé hier que la responsabilité de la résolution des problèmes de la région reposait dans les mains des gouvernements, devant mettre en place des réformes économiques et ramener le calme sur les marchés financiers.
Mais l'ambiance restait assombrie par l'hypothèse de nouvelles élections en Italie après que les espoirs de formation d'une coalition se soient amenuisés.
La finance était du coup moins unanime, l'allemand Commerzbank se repliant de 0.35% et son compatriote Deutsche Bank arrachant 0.37%, tandis que le français BNP Paribas coulait de 0.81% alors que Société Générale bondissait de 0.93%.
En Allemagne, l'opérateur Deutsche Telekom a plongé de 1.55% en raison de rentrées inférieures aux attentes pour le quatrième trimestre.
Mais tout n'était pas désespéré, son collègue espagnol Telefonica s'élevant de 1.63% grâce au dépassement des estimations de recettes consécutif à un chiffre d'affaires en Amérique Latine permettant de compenser les difficultés locales.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.41%, tiré vers le haut par des établissements bancaires suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a ainsi encaissé 1.37%, et HSBC Holdings 1.36%, améliorant encore leurs performances matinale, Lloyds Banking se contentant de 1.53%.
La Royal Bank of Scotland subissait par contre un passage à vide de 4.22% dans le sillage de pertes annuelles dûes au provisionnement de 1.1 milliards de GBP destinés à indemnisés ses clients victimes de ventes d'assurances et de couvertures de défaillances frauduleuses.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également continué à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 0.88 et 0.52%, imité par les cuivriers Kazakhmys et Xstrata avec 5.21 et 0.82%.
Anglo Ameraican, poids lourd des hydrocarbures, n'était pas en reste, avec un dérapage de 1.68%, Petrofac, fournisseur d'infrastructures intégrées axées sur la production et la gestion du pétrole, du gaz et de l'énergie, lui emboîtant le pas de 3.34%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
Une étude officielle avait révélé ce matin 3 000 demandeurs d'emploi en moins en Allemagne, pour un total de 2.9 millions en février, une légère déception par rapport aux 5 000 espérés, tandis que le taux de chômage national stagnait à 6.9%.
Parmi les autres faits marquants dans la région, des informations révisées montraient que l'économie espagnole avait reculé de 0.8% au quatrième trimestre, au lieu des 0.7% estimés auparavant, constituant du coup un repli annuel de 1.9%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres révisés de leur croissance du début octobre à la fin décembre et le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.