Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce lundi matin, après que Lawrence Summers se soit retiré de la course au poste de président de la Réserve Fédérale, dans l'attente du discours de celui occupant le poste équivalent pour le bloc euro.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,79%, le CAC 40 français de 0,81%, et le DAX 30 allemand de 1,05%.
Les cours sont en effet remontés après que M. Summers ait jeté l'éponge, apaisant l'angoisse d'un durcissement monétaire bien plus rapide de sa part que de celle de sa principale rivale, Janet Yellen.
Les observateurs guettaient aussi les conclusions de la réunion que la banque centrale des Etats-Unis tiendra mercredi, les piètres résultats économiques récemment enregistrés ayant semé le doute sur sa volonté de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,92%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,16 et 1,71%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,42% chacun, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,99 et 1,28%.
Royal KPN arrachait 0,65% malgré le trou de 3,7 milliards d'euros qui devrait apparaître dans sa coptabilité suite à la vente de sa branche de téléphonie mobile alleande à l'espagnol Telefonica, réduisant du coup les ipôts sur ses bénéfices à venir.
Le fripier suédois Hennes & Mauritz n'était pas on plus à plaindre, s'envolant de 4,77% grâce à 4% de ventes supplémentaires enregistrées en août pour ses magasins ouverts depuis au moins un an.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,69%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings fémissait de 0,19% et Barclays de 1,04%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking se plaçaient en pointe avec 1,08 et 1,65%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient plus mitigées, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,45 et 0,68%, leurs rivaux Fresnillo et Polymetal s'effondrant par contre de 10,93 et 7,07%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme abiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,89%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,95% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,86%.
Le bloc ayant adopté la monnaie unique fera connaître aujourd'hui l'évolution des prix proposés aux particuliers, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prendra la parole à Berlin.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste avec leur indice manufacturier de la région de New York, sans oublier le volume de la production industrielle et le taux d'utilisation des capacités.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,79%, le CAC 40 français de 0,81%, et le DAX 30 allemand de 1,05%.
Les cours sont en effet remontés après que M. Summers ait jeté l'éponge, apaisant l'angoisse d'un durcissement monétaire bien plus rapide de sa part que de celle de sa principale rivale, Janet Yellen.
Les observateurs guettaient aussi les conclusions de la réunion que la banque centrale des Etats-Unis tiendra mercredi, les piètres résultats économiques récemment enregistrés ayant semé le doute sur sa volonté de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,92%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,16 et 1,71%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,42% chacun, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,99 et 1,28%.
Royal KPN arrachait 0,65% malgré le trou de 3,7 milliards d'euros qui devrait apparaître dans sa coptabilité suite à la vente de sa branche de téléphonie mobile alleande à l'espagnol Telefonica, réduisant du coup les ipôts sur ses bénéfices à venir.
Le fripier suédois Hennes & Mauritz n'était pas on plus à plaindre, s'envolant de 4,77% grâce à 4% de ventes supplémentaires enregistrées en août pour ses magasins ouverts depuis au moins un an.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,69%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
HSBC Holdings fémissait de 0,19% et Barclays de 1,04%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking se plaçaient en pointe avec 1,08 et 1,65%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient plus mitigées, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto amassant 0,45 et 0,68%, leurs rivaux Fresnillo et Polymetal s'effondrant par contre de 10,93 et 7,07%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme abiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,89%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,95% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,86%.
Le bloc ayant adopté la monnaie unique fera connaître aujourd'hui l'évolution des prix proposés aux particuliers, après quoi Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, prendra la parole à Berlin.
Les Etats-Unis ne seront pas en reste avec leur indice manufacturier de la région de New York, sans oublier le volume de la production industrielle et le taux d'utilisation des capacités.