Investing.com - Les bourses européennes étaient en retrait ce mardi matin, la circonspection restant de mise à l'approche du sommet du G20, dont le coup d'envoi devrait être donné vendredi.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.31%, le CAC 40 français de 0.24%, et le DAX 30 allemand de 0.25%.
L'ambiance s'est en effet nettement assourdie après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré jeudi que cette dernière scruterait l'impact économique du renforcement de sa monnaie, alimentant les rumeurs selon lesquelles une baisse des taux d'intérêt ne serait pas exclue.
La finance était largement sur la défensive, les français BNP Paribas et Société Générale chutant respectivement de 0.27 et 0.7%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.73 et 0.44%.
Il en était de même à la périphérien, les espagnols Banco Santander et BBVA leur emboîtant le pas de 0.68 et 0.14%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit faisant bien pire avec 1.17 et 1.52%.
Le fabricant de pneumatiques Michelin, basé en France, a pour sa part dégringolé de 3.44% suite à l'aveu de profits opérationnels limités à 2.42 milliards d'euros, et donc inférieurs aux estimations des analystes.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, L'Oréal, premier fabricant de cosmétiques au monde, raflant 3.71% grâce à un bond de 12% pour ses revenus de l'année 2012 et à l'annonce du rachat de 500 milions de ses actions au cours du premier semestre.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a trébuché de 0.15%, tiré vers le bas par des exploitants en berne.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi fondu de 0.86 et 0.22%, es cuivrier Kazakhmys n'étant pas en reste avec un faux pas de 1% et l'extracteur aurifère Randgold Resource non plus avec 1.28%.
La City était toutefois moins unanime, Barclays et Lloyds Banking émergeant de 0.86 et 1.02%, tandis que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings se rétractaient de 0.06 et 0.46%.
Parmi les mouvements négatifs, on pouvait noter que le courtier interbancaire ICAP plongeait de 2.92% après que le Wall Street Journal ait rapporté qu'il faisait désormais l'objet d'une enquête des autorités américaines découlant d'un scandale de manipulation des taux d'intérêt d'ampleur mondiale, en plus d'avoir déjà avoué le mois dernier être sous la surveillance de leurs homologues britanniques.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
Il était d'autre part prévu que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, s'adresse aujourd'hui au parlement espagnol à Madrid, tandis que le Conseil aux Affaires Economiques et Financières se réunira en vue de pourparlers à Bruxelles, après quoi les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec le solde du budget fédéral.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.31%, le CAC 40 français de 0.24%, et le DAX 30 allemand de 0.25%.
L'ambiance s'est en effet nettement assourdie après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré jeudi que cette dernière scruterait l'impact économique du renforcement de sa monnaie, alimentant les rumeurs selon lesquelles une baisse des taux d'intérêt ne serait pas exclue.
La finance était largement sur la défensive, les français BNP Paribas et Société Générale chutant respectivement de 0.27 et 0.7%, suivis des allemands Commerzbank et Deutsche Bank avec 0.73 et 0.44%.
Il en était de même à la périphérien, les espagnols Banco Santander et BBVA leur emboîtant le pas de 0.68 et 0.14%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit faisant bien pire avec 1.17 et 1.52%.
Le fabricant de pneumatiques Michelin, basé en France, a pour sa part dégringolé de 3.44% suite à l'aveu de profits opérationnels limités à 2.42 milliards d'euros, et donc inférieurs aux estimations des analystes.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, L'Oréal, premier fabricant de cosmétiques au monde, raflant 3.71% grâce à un bond de 12% pour ses revenus de l'année 2012 et à l'annonce du rachat de 500 milions de ses actions au cours du premier semestre.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a trébuché de 0.15%, tiré vers le bas par des exploitants en berne.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi fondu de 0.86 et 0.22%, es cuivrier Kazakhmys n'étant pas en reste avec un faux pas de 1% et l'extracteur aurifère Randgold Resource non plus avec 1.28%.
La City était toutefois moins unanime, Barclays et Lloyds Banking émergeant de 0.86 et 1.02%, tandis que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings se rétractaient de 0.06 et 0.46%.
Parmi les mouvements négatifs, on pouvait noter que le courtier interbancaire ICAP plongeait de 2.92% après que le Wall Street Journal ait rapporté qu'il faisait désormais l'objet d'une enquête des autorités américaines découlant d'un scandale de manipulation des taux d'intérêt d'ampleur mondiale, en plus d'avoir déjà avoué le mois dernier être sous la surveillance de leurs homologues britanniques.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
Il était d'autre part prévu que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, s'adresse aujourd'hui au parlement espagnol à Madrid, tandis que le Conseil aux Affaires Economiques et Financières se réunira en vue de pourparlers à Bruxelles, après quoi les Etats-Unis concluront quand à eux la journée avec le solde du budget fédéral.