Investing.com - Les bourses européennes restaient mitigées ce jeudi après-midi, la prudence restant de mise malgré des statistiques régionales majoritairement positives.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.18%, le CAC 40 français arrachant 0.06%, et le DAX 30 allemand laissant échapper 0.12%.
Les statistiques d'activité de la part de l'Allemagne et du bloc euro diffusées de matin étaient plutôt positives, mais les informations concernant la France laissaient à redouter que la seconde économie régionale soit retombée en récession.
Il a en effet été révélé que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers germaniques était remonté de 46 vers 48.8 pour janvier, demeurant toutefois au-dessous des 50 dénotant une croissance du secteur.
Son équivalent tertiaire est quand à lui passé des 52 finaux de décembre à 55.3 dans le même temps, sa meilleure performance en plus d'un an.
Celui de la région entière a redressé la tête depuis 46.1 vers 47.5 pour ce mois-ci, son plus haut niveau en dix mois, et celui de ses services a aussi grimpé depuis les 47.8 finaux de décembre pour se retrouver à 48.3 pour la même période, au lieu des 48.1 espérés.
Celui des usines françaises a par contre plongé à 42.9, son plus bas niveau en quatre mois, tandis que celui des services se situait à 43.6.
La finance a nettement redressé la barre, les français BNP Paribas et Société Générale engrangeant respectivement 0.6 et 0.87%, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank étant bien lotis avec 0.43 et 0.14%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que le troisième se préparait à supprimer entre 4 000 et 6 000 emplois au cours des quatre années à venir, afin de réduire ses frais de fonctionnement et remplir ses objectifs de bénéfices.
Mais tout n'était pas rose, le faricant de téléphones finnois Nokia dégringolant de 4.87% après avoir prévenu de sa volonté de renoncer à fournir des dividendes, afin de se donner plus de temps pour mettre en place une restructuration, ayant arrêté d'être dans le rouge au quatrième trimestre, mettant ainsi fin à une série de déceptions.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.32%, tiré vers le haut par des extracteur et des exploitants en forme.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, avait en effet le sourire, raflant 0.25%, son rival BP le surpassant avec 0.65%.
Le mastodonte minier Rio Tinto leur emboîtait le pas avec 0.82%, et le cuivrier Xstrata aussi avec 0.37%, tandis que leurs concurrents Eurasian Natural Resources et Evraz s'effondraient de 1.35 et 1.21%.
La City n'était pas non plus unanime, HSBC Holdings grignotant 0.08%, et Lloyds Banking 0.62%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se repliaient de 0.25% et 0.26%.
Easyjet poursuivait par contre son ascension, empochant 4.33% après avoir revendiqué une augmentation de son chiffre d'affaires du premier trimestre fiscal.
Les perspectives des marchés américains évoluaient elles aussi en rangs dispersés: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.05%, celles sur le S&P 500 redoutant 0.19% de pertes et celles sur le Nasdaq 100 envisageant un effondrement de 1.32%.
Il avait d'autre part été annoncé à l'aube que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers établi par HSBC pour la Chine était remonté depuis une valeur finale de 51.5 jusqu'à 51.9 pour ce mois-ci, son plus haut niveau en deux ans, confirmant les autre signaux positifs émis par la seconde économie mondiale.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des demandeurs d'emploi nouvellement inscrits.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.18%, le CAC 40 français arrachant 0.06%, et le DAX 30 allemand laissant échapper 0.12%.
Les statistiques d'activité de la part de l'Allemagne et du bloc euro diffusées de matin étaient plutôt positives, mais les informations concernant la France laissaient à redouter que la seconde économie régionale soit retombée en récession.
Il a en effet été révélé que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers germaniques était remonté de 46 vers 48.8 pour janvier, demeurant toutefois au-dessous des 50 dénotant une croissance du secteur.
Son équivalent tertiaire est quand à lui passé des 52 finaux de décembre à 55.3 dans le même temps, sa meilleure performance en plus d'un an.
Celui de la région entière a redressé la tête depuis 46.1 vers 47.5 pour ce mois-ci, son plus haut niveau en dix mois, et celui de ses services a aussi grimpé depuis les 47.8 finaux de décembre pour se retrouver à 48.3 pour la même période, au lieu des 48.1 espérés.
Celui des usines françaises a par contre plongé à 42.9, son plus bas niveau en quatre mois, tandis que celui des services se situait à 43.6.
La finance a nettement redressé la barre, les français BNP Paribas et Société Générale engrangeant respectivement 0.6 et 0.87%, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank étant bien lotis avec 0.43 et 0.14%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que le troisième se préparait à supprimer entre 4 000 et 6 000 emplois au cours des quatre années à venir, afin de réduire ses frais de fonctionnement et remplir ses objectifs de bénéfices.
Mais tout n'était pas rose, le faricant de téléphones finnois Nokia dégringolant de 4.87% après avoir prévenu de sa volonté de renoncer à fournir des dividendes, afin de se donner plus de temps pour mettre en place une restructuration, ayant arrêté d'être dans le rouge au quatrième trimestre, mettant ainsi fin à une série de déceptions.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.32%, tiré vers le haut par des extracteur et des exploitants en forme.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, avait en effet le sourire, raflant 0.25%, son rival BP le surpassant avec 0.65%.
Le mastodonte minier Rio Tinto leur emboîtait le pas avec 0.82%, et le cuivrier Xstrata aussi avec 0.37%, tandis que leurs concurrents Eurasian Natural Resources et Evraz s'effondraient de 1.35 et 1.21%.
La City n'était pas non plus unanime, HSBC Holdings grignotant 0.08%, et Lloyds Banking 0.62%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland se repliaient de 0.25% et 0.26%.
Easyjet poursuivait par contre son ascension, empochant 4.33% après avoir revendiqué une augmentation de son chiffre d'affaires du premier trimestre fiscal.
Les perspectives des marchés américains évoluaient elles aussi en rangs dispersés: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.05%, celles sur le S&P 500 redoutant 0.19% de pertes et celles sur le Nasdaq 100 envisageant un effondrement de 1.32%.
Il avait d'autre part été annoncé à l'aube que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers établi par HSBC pour la Chine était remonté depuis une valeur finale de 51.5 jusqu'à 51.9 pour ce mois-ci, son plus haut niveau en deux ans, confirmant les autre signaux positifs émis par la seconde économie mondiale.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des demandeurs d'emploi nouvellement inscrits.