Investing.com - Les bourses européennes étaient en grande forme ce lundi matin, profitant toujours des propos tenus la semaine passée par le chef de l'autorité mon étaire régionale, malgré l'ombre d'une réduction prochaine des apports de capitaux de la Réserve Fédérale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,58%, le CAC 40 français de 1,53%, et le DAX 30 allemand de 1,57%.
Les cours gardaient la corde après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré la semaine passée que cette dernière ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
Il était aussi à noter que l'Allemagne avait déploré en début de journée un excédent décevant pour sa balance commerciale, avec 14,1 milliards d'euros en mai, les exportations subissant une érosion de 4,8% d'une année sur l'autre, et les importations de 2,6%, alors que les experts pensaient ainsi le voir s'élever à 17,5 milliards d'euros.
La finance était en forme, bien que la Deutsche Bank allemande laisse échapper 0,04%, les français BNP Paribas et Société Générale empochant respectivement au contraire 0,43 et 0,91%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,80 et 0,61%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,71 et 0,66%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Novartis bondissait de 1,26% après avoir annoncé que son traitement pour le psoriasis avoir atteint tous les objectifs primaires et secondaires des tests cliniques de niveau trois.
A Londres, le FTSE 100 conquuérait 1,06%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la plupart de leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland grimpait de 0,40%, et HSBC Holdings de 0,60%, Lloyds Banking et Barclays se plaçant en pointe avec 1,99 et 2,49%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavannt fait savoir que Mervyn Davies, président de Standard Chartered, serait en train de rassembler un groupe d'investisseurs afin de formuler une offre pour acquérir les parts de la troisième détenues par le gouvernement britannique.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient également de la fête, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 1,53 et 0,08%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 1,19%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.
Les autorités allemandes comptaient bientôt dévoiler le volume de la production industrielle, tandis que le groupe des ministres des finances du bloc euro procèdera pour sa part aujourd'hui à des pourparlers à Bruxelles.
Le chef de l'autorités monétaire de l'Europe comparaitra quand à lui devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen dans la capitale belge.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,58%, le CAC 40 français de 1,53%, et le DAX 30 allemand de 1,57%.
Les cours gardaient la corde après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré la semaine passée que cette dernière ne s'attendait pas à relever son taux d'intérêt directeur avant une période "prolongée".
Il était aussi à noter que l'Allemagne avait déploré en début de journée un excédent décevant pour sa balance commerciale, avec 14,1 milliards d'euros en mai, les exportations subissant une érosion de 4,8% d'une année sur l'autre, et les importations de 2,6%, alors que les experts pensaient ainsi le voir s'élever à 17,5 milliards d'euros.
La finance était en forme, bien que la Deutsche Bank allemande laisse échapper 0,04%, les français BNP Paribas et Société Générale empochant respectivement au contraire 0,43 et 0,91%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,80 et 0,61%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,71 et 0,66%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Novartis bondissait de 1,26% après avoir annoncé que son traitement pour le psoriasis avoir atteint tous les objectifs primaires et secondaires des tests cliniques de niveau trois.
A Londres, le FTSE 100 conquuérait 1,06%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la plupart de leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland grimpait de 0,40%, et HSBC Holdings de 0,60%, Lloyds Banking et Barclays se plaçant en pointe avec 1,99 et 2,49%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavannt fait savoir que Mervyn Davies, président de Standard Chartered, serait en train de rassembler un groupe d'investisseurs afin de formuler une offre pour acquérir les parts de la troisième détenues par le gouvernement britannique.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient également de la fête, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 1,53 et 0,08%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 1,19%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,29%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,35% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.
Les autorités allemandes comptaient bientôt dévoiler le volume de la production industrielle, tandis que le groupe des ministres des finances du bloc euro procèdera pour sa part aujourd'hui à des pourparlers à Bruxelles.
Le chef de l'autorités monétaire de l'Europe comparaitra quand à lui devant le comité économique aux affaires monétaires du parlement européen dans la capitale belge.