Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt en forme malgré leurs divisions ce lundi, bien que des chiffres officiels aient pointé un produit intérieur brut chinois inférieur aux espérances, faisant planer une ombre sur la croissannce mondiale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,49%, le CAC 40 français de 0,42%, et le DAX 30 allemand de 0,30%.
L'atmosphère s'est en effet assombrie après qu'il ait été révélé que l'économie de la Chine n'avait gonflé que de 7,7% d'une année sur l'autre du début janvier à la fin mars, suite au 7,9% enregistrés pour le trimestre précédent, alors que 8% étaient espérés
Il était également à noter que la production industrielle du pays avait aussi été inférieure aux attentes, alors que les ventes au détail dépassaient par contre légèrement les projections.
Ces informations ont contribué à raviver l'angoisse d'un ralentissement de l'expansion économique récente après qu'il ait déjà été montré vendredi que les ventes auprès des particuliers américains avaient été érodées de 0,4% en mars, leur pire déconvenue en neuf mois.
La finance était souriante, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 0,17 et 0,58%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0,66 et 0,45%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,33 et 0,59%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,73 et 0,34%.
Deutsche Telekom bondissait pour sa part de 1.34% alors qu'il se disait que Dish Network Corp. lui avait proposé une fusion avec sa branche américaine.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a dérapé de 0,19%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 1,98 et 2,50%, leurs rivaux Plymetal et Randgold Resources faisant encore pire avec 4,10 et 6,10%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata ont pour leur part coulé de 6,03 et 2.16%.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 2,51%, accompagné de Petrofac avec 0,41%.
La City était plus mitigée, Barclays térbuchant de 0,19%, HSBC Holdings de 0,60%, alors que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland émergeaient de 0,21 et 0,23%.
Les perspectives des marchés américains étaient néanmoins plutôt pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,08%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres de l'activité manufacturière dans la région de New York, après que le bloc euro ait dévoilé le solde de sa balance commerciale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,49%, le CAC 40 français de 0,42%, et le DAX 30 allemand de 0,30%.
L'atmosphère s'est en effet assombrie après qu'il ait été révélé que l'économie de la Chine n'avait gonflé que de 7,7% d'une année sur l'autre du début janvier à la fin mars, suite au 7,9% enregistrés pour le trimestre précédent, alors que 8% étaient espérés
Il était également à noter que la production industrielle du pays avait aussi été inférieure aux attentes, alors que les ventes au détail dépassaient par contre légèrement les projections.
Ces informations ont contribué à raviver l'angoisse d'un ralentissement de l'expansion économique récente après qu'il ait déjà été montré vendredi que les ventes auprès des particuliers américains avaient été érodées de 0,4% en mars, leur pire déconvenue en neuf mois.
La finance était souriante, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 0,17 et 0,58%, suivis des français BNP Paribas et Société Générale avec 0,66 et 0,45%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,33 et 0,59%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,73 et 0,34%.
Deutsche Telekom bondissait pour sa part de 1.34% alors qu'il se disait que Dish Network Corp. lui avait proposé une fusion avec sa branche américaine.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a dérapé de 0,19%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient de 1,98 et 2,50%, leurs rivaux Plymetal et Randgold Resources faisant encore pire avec 4,10 et 6,10%.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata ont pour leur part coulé de 6,03 et 2.16%.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivait le même chemin avec 2,51%, accompagné de Petrofac avec 0,41%.
La City était plus mitigée, Barclays térbuchant de 0,19%, HSBC Holdings de 0,60%, alors que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland émergeaient de 0,21 et 0,23%.
Les perspectives des marchés américains étaient néanmoins plutôt pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,22% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,08%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les chiffres de l'activité manufacturière dans la région de New York, après que le bloc euro ait dévoilé le solde de sa balance commerciale.