Investing.com - Les bourses européennes étaient partagées ce lundi après-midi, dans l'attente des prises de cap de plusieurs banques centrales devant avoir lieu dans la semaine.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,09%, le CAC 40 français de 0,06%, et le DAX 30 allemand de 0,28%.
Les piètres résultats économiques locaux ravivaient les espoirs de nouveaux rabotages des taux de la Banque Centrale Européenne.
Un rapport émanant des autorités avait souligné jeudi que les prix à la consommation du bloc ayant adopté la monnaie unique avaient connu un rabougrissement mensuel de 0,1% en avril, le taux d'inflation annuelle passant du même coup de 1,7 à 1,2%.
Il avait aussi été noté la veille que son l'économie avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
La finance gadait la forme, la Commerzbank allemande empochant 3,81%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,86 et 1,81%.
Il n'en était cependant pas de même à la périphérie, l'espagnol BBVA subissant un revers de 0,81%, tandis que son compatriote Banco Santander arachait 0,36%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 1,15 et 0,69%.
Electricité de France avançait pour sa part de 1,18%, bétonannt encore sa position après avoir vu le Crédit Suisse Group en remonter l'appréciation.
A Londres, le FTSE 100 laissait par contre échapper 0,13%, malgré des établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin majoritairement tracé sur le continent.
Lloyds Banking prenait ainsi 0,37%, et HSBC Holdings 0,67%, tandis que la Royal Bank of Scotland se portait en tête avec 3,31% et que Barclays décevait avec un faux pas de 0,02%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçant de 0,88 et 0,80%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 2,15%.
Randgold Resources n'échappait pas à la tendance, dégringolant de 2,98% dans le sillage des prix de l'or.
Les perspectives des marchés américains adoptaient de leur côté un pessimisme modéré: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,01% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,à3%.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,09%, le CAC 40 français de 0,06%, et le DAX 30 allemand de 0,28%.
Les piètres résultats économiques locaux ravivaient les espoirs de nouveaux rabotages des taux de la Banque Centrale Européenne.
Un rapport émanant des autorités avait souligné jeudi que les prix à la consommation du bloc ayant adopté la monnaie unique avaient connu un rabougrissement mensuel de 0,1% en avril, le taux d'inflation annuelle passant du même coup de 1,7 à 1,2%.
Il avait aussi été noté la veille que son l'économie avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
La finance gadait la forme, la Commerzbank allemande empochant 3,81%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,86 et 1,81%.
Il n'en était cependant pas de même à la périphérie, l'espagnol BBVA subissant un revers de 0,81%, tandis que son compatriote Banco Santander arachait 0,36%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 1,15 et 0,69%.
Electricité de France avançait pour sa part de 1,18%, bétonannt encore sa position après avoir vu le Crédit Suisse Group en remonter l'appréciation.
A Londres, le FTSE 100 laissait par contre échapper 0,13%, malgré des établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin majoritairement tracé sur le continent.
Lloyds Banking prenait ainsi 0,37%, et HSBC Holdings 0,67%, tandis que la Royal Bank of Scotland se portait en tête avec 3,31% et que Barclays décevait avec un faux pas de 0,02%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçant de 0,88 et 0,80%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 2,15%.
Randgold Resources n'échappait pas à la tendance, dégringolant de 2,98% dans le sillage des prix de l'or.
Les perspectives des marchés américains adoptaient de leur côté un pessimisme modéré: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,01% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,à3%.