Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mercredi matin, dans l'expectative des chiffres de la production industrielle régionale, sur fond de rumeurs tenaces de fin imminente des aides provenant des banques centrales.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,48%, le CAC 40 français de 0,53%, et le DAX 30 allemand de 0,26%.
Wolfgang Schäuble, ministre des finances de l'Allemagne, avait défendu hier le plan de rachats d'obligations de la Banque Centrale Européenne lors d'une audience devant la plus haute instance juridique du pays afin d'en déterminer la constitutionnalité.
La nervosité ambiante se trouvait toutefois exacerbée par les bruits évoquant une éventuelle diminution des injections de liquidités provenant de la Réserve Fédérale dans les mois à venir.
La finance était en forme, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 0,31 et 0,15%, suivis du français BNP Paribas avec 0,60%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,75 et 0,74%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,61 et 0,91%.
Mais tout n'était cependant pas rose, le modiste espagnol Inditex plongeant de 0,62% après avoir revendiqué 1,4% de profits supplémentaires pour atteindre 438 millions d'euros au premier trimestre, entraînant une déception marquée, les ventes des collections de printemps ayant subi un hiver persistant.
A Londres, le FTSE 100 grignotait 0,02%, tenu à bout de bras par les établissements bancaires de Grande-Bretagne.
Ceux-ci suivaient le chemin tracé par leurs homologues continentaux, Barclays arrachant 0,03%, HSBC Holdings 0,21% et Lloyds Banking 0,54%, avec la Royal Bank of Scotland en tête, bondissant de 1,66%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières avaient aussi le sourire, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,97 et 0,96%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,87%.
Severn Trent était en queue de peloton, dégringolant de 8% après que Borealis Infrastructure Management et ses partenaires koweïto-britanniques aient abandonné leur offre se montant à 5,3 milliards de GBP pour le fournisseur collectif d'eau britannique.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,46%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,50% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.
Les autorités du bloc euro révèleront pour leur part aujourd'hui le volume de la production industrielle régionale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,48%, le CAC 40 français de 0,53%, et le DAX 30 allemand de 0,26%.
Wolfgang Schäuble, ministre des finances de l'Allemagne, avait défendu hier le plan de rachats d'obligations de la Banque Centrale Européenne lors d'une audience devant la plus haute instance juridique du pays afin d'en déterminer la constitutionnalité.
La nervosité ambiante se trouvait toutefois exacerbée par les bruits évoquant une éventuelle diminution des injections de liquidités provenant de la Réserve Fédérale dans les mois à venir.
La finance était en forme, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank empochant respectivement 0,31 et 0,15%, suivis du français BNP Paribas avec 0,60%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,75 et 0,74%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,61 et 0,91%.
Mais tout n'était cependant pas rose, le modiste espagnol Inditex plongeant de 0,62% après avoir revendiqué 1,4% de profits supplémentaires pour atteindre 438 millions d'euros au premier trimestre, entraînant une déception marquée, les ventes des collections de printemps ayant subi un hiver persistant.
A Londres, le FTSE 100 grignotait 0,02%, tenu à bout de bras par les établissements bancaires de Grande-Bretagne.
Ceux-ci suivaient le chemin tracé par leurs homologues continentaux, Barclays arrachant 0,03%, HSBC Holdings 0,21% et Lloyds Banking 0,54%, avec la Royal Bank of Scotland en tête, bondissant de 1,66%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières avaient aussi le sourire, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassant 0,97 et 0,96%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 0,87%.
Severn Trent était en queue de peloton, dégringolant de 8% après que Borealis Infrastructure Management et ses partenaires koweïto-britanniques aient abandonné leur offre se montant à 5,3 milliards de GBP pour le fournisseur collectif d'eau britannique.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,46%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,50% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.
Les autorités du bloc euro révèleront pour leur part aujourd'hui le volume de la production industrielle régionale.