Legrand surperforme le marché parisien et figure dans le top 5 des plus fortes hausses de l'indice phare.
Peu avant 15h00, le titre engrange 1,4% à 40,7 euros alors que Jefferies a opté pour une recommandation 'conserver', assortie d'un objectif de cours de 44 euros.
Dans une étude portant sur douze groupes européens, l'analyste souligne la bonne santé financière de l'entreprise française, dont les retours aux actionnaires sont supérieurs à ceux des autres sociétés du secteur et qui a déployé une stratégie convaincante axée sur une croissance portée à la fois par les ventes organiques et par les acquisitions.
Jefferies est plus réservé sur le 'cas' Schneider Electric, valeur sur laquelle l'intermédiaire est 'à sous-performer', avec un target price de 52 euros.
Il s'attend à ce que la marge d'Ebita ajusté du groupe reste dans le bas de la fourchette de 13 à 17% et, comme pour ABB, voit un risque à ce que Schneider Electric reprenne une politique d'acquisitions.
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Peu avant 15h00, le titre engrange 1,4% à 40,7 euros alors que Jefferies a opté pour une recommandation 'conserver', assortie d'un objectif de cours de 44 euros.
Dans une étude portant sur douze groupes européens, l'analyste souligne la bonne santé financière de l'entreprise française, dont les retours aux actionnaires sont supérieurs à ceux des autres sociétés du secteur et qui a déployé une stratégie convaincante axée sur une croissance portée à la fois par les ventes organiques et par les acquisitions.
Jefferies est plus réservé sur le 'cas' Schneider Electric, valeur sur laquelle l'intermédiaire est 'à sous-performer', avec un target price de 52 euros.
Il s'attend à ce que la marge d'Ebita ajusté du groupe reste dans le bas de la fourchette de 13 à 17% et, comme pour ABB, voit un risque à ce que Schneider Electric reprenne une politique d'acquisitions.
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