Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une légère hausse de 0,04% jeudi, après des statistiques américaines positives, même si les craintes de voir les banques centrales ralentir leurs programmes de soutien à l'économie continuaient de peser sur les marchés.
Sur le front macroéconomique, les ventes au détail aux Etats-Unis ont progressé de 0,6% dans leur ensemble en mai et de 0,3% hors automobile, alors que le marché tablait sur des hausses de respectivement 0,4% et 0,3%.
Les inscriptions au chômage ont quant à elles diminué de 12.000 à 334.000 la semaine dernière, contre 345.000 anticipées.
Capgemini restait en tête de l'indice parisien et s'octroyait 4,57% en fin de séance. Barclays a relevé son objectif de cours sur le titre de 16% à 50 euros, tout en maintenant son opinion à "surperformance".
Michelin gagnait aussi du terrain et s'octroyait 1,16% à la fermeture du marché, alors que le groupe a annoncé l’arrêt de ses activités en Colombie où le groupe ne parvient pas à être rentable en raison des pertes de sa filiale locale.
Par ailleurs, EDF a inversé ses pertes de première moitié de séance et engrangeait 2,85% en fin de journée. Les Echos rapportaient plus tôt que le groupe pourrait prendre jusqu’à 40% du capital de l’usine d’aluminium Rio Tinto de Saint-Jean-de-Maurienne aux côtés de l’allemand Trimet.
Le quotidien ajoute qu'Arnaud Montebourg prévoit de réunir les acteurs du dossier dans les deux prochaines semaines.
Quant aux banques, elles évoluaient en ordre dispersé à la clôture du CAC 40. BNP Paribas bondissait de 1,97% et Crédit Agricole s'adjugeait 0,97%, tandis que Société Générale reculait de 0,53%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,21% et le DAX pliait de 0,57%, tandis que le Footsie 100 avançait de 0,11%.
Sur le front macroéconomique, les ventes au détail aux Etats-Unis ont progressé de 0,6% dans leur ensemble en mai et de 0,3% hors automobile, alors que le marché tablait sur des hausses de respectivement 0,4% et 0,3%.
Les inscriptions au chômage ont quant à elles diminué de 12.000 à 334.000 la semaine dernière, contre 345.000 anticipées.
Capgemini restait en tête de l'indice parisien et s'octroyait 4,57% en fin de séance. Barclays a relevé son objectif de cours sur le titre de 16% à 50 euros, tout en maintenant son opinion à "surperformance".
Michelin gagnait aussi du terrain et s'octroyait 1,16% à la fermeture du marché, alors que le groupe a annoncé l’arrêt de ses activités en Colombie où le groupe ne parvient pas à être rentable en raison des pertes de sa filiale locale.
Par ailleurs, EDF a inversé ses pertes de première moitié de séance et engrangeait 2,85% en fin de journée. Les Echos rapportaient plus tôt que le groupe pourrait prendre jusqu’à 40% du capital de l’usine d’aluminium Rio Tinto de Saint-Jean-de-Maurienne aux côtés de l’allemand Trimet.
Le quotidien ajoute qu'Arnaud Montebourg prévoit de réunir les acteurs du dossier dans les deux prochaines semaines.
Quant aux banques, elles évoluaient en ordre dispersé à la clôture du CAC 40. BNP Paribas bondissait de 1,97% et Crédit Agricole s'adjugeait 0,97%, tandis que Société Générale reculait de 0,53%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,21% et le DAX pliait de 0,57%, tandis que le Footsie 100 avançait de 0,11%.