Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur une hausse de 0,32% lundi, soutenu par des signes de progrès dans la gestion des crises financières en Grèce et en Espagne.
La Grèce a dévoilé lundi matin les modalités d’un plan de rachat d’obligations d’Etat de 10 milliards d’euros.
De son côté, l’Espagne a officiellement déposé une demande d’aide de 39,5 milliards d’euros pour son secteur bancaire. La semaine dernière, Bruxelles avait donné son feu vert à la restructuration des quatre banques espagnoles récemment nationalisées, ouvrant la voie au déblocage d’un plan de soutien financier de la zone euro via le Mécanisme européen de stabilité.
Sur le front macroéconomique, l’activité manufacturière a ralenti aux Etats-Unis le mois dernier, l’indice de l’Institue for Supply Management (ISM) reculant de 2,2 points à 49,5, son plus bas depuis juillet 2009, contre 51,3 anticipés par le consensus Thomson-Reuters.
En Chine, l’activité manufacturière s’est à nouveau améliorée en novembre, l’indice PMI établi par HSBC progressant de 1 point à 50,5, franchissant ainsi le seuil critique des 50 points, qui sépare expansion et contraction, pour la première fois depuis octobre 2011.
En Europe, l’indice manufacturier PMI Markit pour la zone euro s’est contracté pour le seizième mois d’affilée à 46,2 points, tout en affichant une hausse de 0,8 point par rapport à octobre. Celui de l’Allemagne s’améliore également à 46,8 points (+0,6) en novembre même s’il se maintient sous le seuil des 50 points pour le neuvième mois consécutif.
Enfin, l’indice PMI Markit pour la France se redresse à 44,5 points, son meilleur niveau depuis août, contre 43,7 en octobre.
Du côté des valeurs, Alcatel-Lucent restait en tête de l'indice parisien, en fin de séance. Le titre engrangeait 3,33% à la clôture, alors que le groupe a détaillé vendredi un plan de 1.353 suppressions de postes en France.
Egalement dans le vert, Total s'octroyait 0,44% à la fermeture du marché, après avoir annoncé une nouvelle découverte de pétrole en mer du Nord norvégienne.
EADS gagnait aussi du terrain et grimpait de 2,39% en fin de journée. Selon Les Echos, le groupe a confirmé que la France et l’Allemagne discutent actuellement d’une possible modification de la structure de son actionnariat.
ArcelorMittal s'appréciait de 1,41% à la clôture du CAC 40, alors que le sidérurgiste a accepté d’investir 180 millions d’euros sur cinq ans dans le site de Florange sans pour autant relancer les hauts-fourneaux.
Le gouvernement français, qui a finalement renoncé à la nationalisation, reste toutefois "vigilant" dans la mesure où il n’a pas confiance en Mittal, a déclaré Delphine Batho, la ministre de l’Ecologie.
A l'inverse, Renault reculait de 1,27% en fin de séance et Peugeot perdait 0,40%, alors que les immatriculations de voitures neuves ont chuté de 19,2% en novembre en données brutes et de 23% à jours ouvrables comparables.
Les ventes du groupe Renault ont diminué de 33,5% et celles de PSA Peugeot Citroën de 22,9%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,24%, le DAX gagnait 0,36% et le Footsie 100 grappillait 0,08%.
La Grèce a dévoilé lundi matin les modalités d’un plan de rachat d’obligations d’Etat de 10 milliards d’euros.
De son côté, l’Espagne a officiellement déposé une demande d’aide de 39,5 milliards d’euros pour son secteur bancaire. La semaine dernière, Bruxelles avait donné son feu vert à la restructuration des quatre banques espagnoles récemment nationalisées, ouvrant la voie au déblocage d’un plan de soutien financier de la zone euro via le Mécanisme européen de stabilité.
Sur le front macroéconomique, l’activité manufacturière a ralenti aux Etats-Unis le mois dernier, l’indice de l’Institue for Supply Management (ISM) reculant de 2,2 points à 49,5, son plus bas depuis juillet 2009, contre 51,3 anticipés par le consensus Thomson-Reuters.
En Chine, l’activité manufacturière s’est à nouveau améliorée en novembre, l’indice PMI établi par HSBC progressant de 1 point à 50,5, franchissant ainsi le seuil critique des 50 points, qui sépare expansion et contraction, pour la première fois depuis octobre 2011.
En Europe, l’indice manufacturier PMI Markit pour la zone euro s’est contracté pour le seizième mois d’affilée à 46,2 points, tout en affichant une hausse de 0,8 point par rapport à octobre. Celui de l’Allemagne s’améliore également à 46,8 points (+0,6) en novembre même s’il se maintient sous le seuil des 50 points pour le neuvième mois consécutif.
Enfin, l’indice PMI Markit pour la France se redresse à 44,5 points, son meilleur niveau depuis août, contre 43,7 en octobre.
Du côté des valeurs, Alcatel-Lucent restait en tête de l'indice parisien, en fin de séance. Le titre engrangeait 3,33% à la clôture, alors que le groupe a détaillé vendredi un plan de 1.353 suppressions de postes en France.
Egalement dans le vert, Total s'octroyait 0,44% à la fermeture du marché, après avoir annoncé une nouvelle découverte de pétrole en mer du Nord norvégienne.
EADS gagnait aussi du terrain et grimpait de 2,39% en fin de journée. Selon Les Echos, le groupe a confirmé que la France et l’Allemagne discutent actuellement d’une possible modification de la structure de son actionnariat.
ArcelorMittal s'appréciait de 1,41% à la clôture du CAC 40, alors que le sidérurgiste a accepté d’investir 180 millions d’euros sur cinq ans dans le site de Florange sans pour autant relancer les hauts-fourneaux.
Le gouvernement français, qui a finalement renoncé à la nationalisation, reste toutefois "vigilant" dans la mesure où il n’a pas confiance en Mittal, a déclaré Delphine Batho, la ministre de l’Ecologie.
A l'inverse, Renault reculait de 1,27% en fin de séance et Peugeot perdait 0,40%, alors que les immatriculations de voitures neuves ont chuté de 19,2% en novembre en données brutes et de 23% à jours ouvrables comparables.
Les ventes du groupe Renault ont diminué de 33,5% et celles de PSA Peugeot Citroën de 22,9%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,24%, le DAX gagnait 0,36% et le Footsie 100 grappillait 0,08%.