Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a effacé ses pertes de première moitié de séance et a clôturé sur une hausse de 0,31% mercredi, malgré le regain de craintes au sujet des perspectives de croissance mondiale.
Mardi, la Banque mondiale a très nettement réduit ses prévisions de croissance mondiale pour 2013, à 2,4%, alors qu'en juin elle prédisait une progression de 3,0% pour 2013.
La Banque invoque notamment des performances médiocres à attendre en provenance des pays développés.
Par ailleurs, le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a estimé que l'euro était "trop forte" et risquait de pénaliser la croissance du continent.
Sur le front des statistiques, la production industrielle a, comme prévu, progressé de 0,3% en décembre aux Etats-Unis, tandis que les prix à la consommation sont restés inchangés. Hors alimentation et énergie, ils ont augmenté de 0,1%. Le consensus Thomson Reuters tablait sur une stabilisation des prix dans leur ensemble et sur une hausse de 0,2% hors éléments volatils.
Dans la zone euro, l’inflation a augmenté de 0,4% en décembre et de 2,2% sur un an, alors que les analystes tablaient sur des hausses de respectivement 0,3% et 2,2%.
Du côté des valeurs, les banques restaient en forte baisses en fin de séance, malgré les résultats trimestriels encourageant des géants financiers américains Goldman Sachs et JP Morgan.
A la clôture, BNP Paribas rcédait 0,07%, tandis que Crédit Agricole et Société Générale abandonnaient 2,35% et 3,05% respectivement.
CA Cheuvreux a dégradé Société Générale de "surperformance" à "sous-performance", mais a maintenu son objectif de cours à 32 euros.
Egalement dans le rouge, Renault pliait de 1,64% à la fermeture du marché, après l’annonce d’une baisse de 16,3% des immatriculations de voitures neuves dans l’Union européenne en décembre, soit la quinzième baisse consécutive.
Sur l’année 2012, les ventes ont diminué de 8,2%, selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles.
Contre la tendance, Safran s'octroyait 2,01% en fin de séance, alors que Credit Suisse a intégré le titre du grouupe à sa liste de valeurs préférées.
De même, Lafarge gagnait 2,21% après que Jefferies a relevé son objectif de cours sur le titre de 53 à 59 euros, ainsi que sur Sanofi, de 82 à 83 euros, qui avançait de 0,29% en milieu de séance.
Enfin, EADS gagnait aussi du terrain et progressait de 1,01% à la clôture du CAC 40. Plus tôt dans la journée, la compagnie tunisienne Syphax Airlines a annoncé une commande de dix Airbus pour un montant de 600 millions de dollars. Selon Les Echos, le contrat porte sur trois A320 et trois A320neo, ainsi que des options sur quatre appareils supplémentaires.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 grappillait 0,02%, le DAX avançait de 0,17% et le Footsie 100 cédait 0,21%.
Plus tard dans la journée, la Réserve fédérale devait encore publier son Livre Beige.
Mardi, la Banque mondiale a très nettement réduit ses prévisions de croissance mondiale pour 2013, à 2,4%, alors qu'en juin elle prédisait une progression de 3,0% pour 2013.
La Banque invoque notamment des performances médiocres à attendre en provenance des pays développés.
Par ailleurs, le président de l'Eurogroupe, Jean-Claude Juncker, a estimé que l'euro était "trop forte" et risquait de pénaliser la croissance du continent.
Sur le front des statistiques, la production industrielle a, comme prévu, progressé de 0,3% en décembre aux Etats-Unis, tandis que les prix à la consommation sont restés inchangés. Hors alimentation et énergie, ils ont augmenté de 0,1%. Le consensus Thomson Reuters tablait sur une stabilisation des prix dans leur ensemble et sur une hausse de 0,2% hors éléments volatils.
Dans la zone euro, l’inflation a augmenté de 0,4% en décembre et de 2,2% sur un an, alors que les analystes tablaient sur des hausses de respectivement 0,3% et 2,2%.
Du côté des valeurs, les banques restaient en forte baisses en fin de séance, malgré les résultats trimestriels encourageant des géants financiers américains Goldman Sachs et JP Morgan.
A la clôture, BNP Paribas rcédait 0,07%, tandis que Crédit Agricole et Société Générale abandonnaient 2,35% et 3,05% respectivement.
CA Cheuvreux a dégradé Société Générale de "surperformance" à "sous-performance", mais a maintenu son objectif de cours à 32 euros.
Egalement dans le rouge, Renault pliait de 1,64% à la fermeture du marché, après l’annonce d’une baisse de 16,3% des immatriculations de voitures neuves dans l’Union européenne en décembre, soit la quinzième baisse consécutive.
Sur l’année 2012, les ventes ont diminué de 8,2%, selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles.
Contre la tendance, Safran s'octroyait 2,01% en fin de séance, alors que Credit Suisse a intégré le titre du grouupe à sa liste de valeurs préférées.
De même, Lafarge gagnait 2,21% après que Jefferies a relevé son objectif de cours sur le titre de 53 à 59 euros, ainsi que sur Sanofi, de 82 à 83 euros, qui avançait de 0,29% en milieu de séance.
Enfin, EADS gagnait aussi du terrain et progressait de 1,01% à la clôture du CAC 40. Plus tôt dans la journée, la compagnie tunisienne Syphax Airlines a annoncé une commande de dix Airbus pour un montant de 600 millions de dollars. Selon Les Echos, le contrat porte sur trois A320 et trois A320neo, ainsi que des options sur quatre appareils supplémentaires.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 grappillait 0,02%, le DAX avançait de 0,17% et le Footsie 100 cédait 0,21%.
Plus tard dans la journée, la Réserve fédérale devait encore publier son Livre Beige.