Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a terminé la séance de mardi sur une belle progression de 2,32%, soutenu par des espoirs d'avancées vers un plan de sauvetage pour l'Espagne.
Selon l'agence Bloomberg, Berlin serait disposée à accepter le principe de l'octroi par le Mécanisme européen de stabilité (MES) d'une ligne de crédit préventive à l'Espagne. Le ministre des Finances Wolfgang Schäuble aurait ainsi totalement ravalé son opposition à un plan de renflouement de l'Espagne.
Sur le plan macroéconomique, la production industrielle aux Etats-Unis a rebondi de 0,4% en septembre, soit deux fois plus qu'attendu, après un recul de 1,4% en août.
Quant aux prix à la consommation, ils ont augmenté de 0,6% outre-Atlantique le mois dernier dans leur ensemble et de 0,1% hors alimentation et énergie. Les analystes tablaient sur des hausses de respectivement 0,5% et 0,2%.
Par ailleurs, l'indice ZEW du moral des investisseurs et analystes allemands s'est amélioré pour le deuxième mois consécutif pour ressortir à -11,5 points en octobre, contre -18,2 en septembre et -15 anticipés par le consensus.
Concernant la zone euro, l'excédent commercial a diminué à 6,6 milliards d'euros en août, après 14,7 milliards en juillet, tandis que le taux d'inflation annuel est resté stable à 2,6% le mois dernier.
En Grande-Bretagne, l'inflation a diminué de 0,1 point à 0,4% en septembre, et de 0,3 point à 2,5% par rapport à septembre 2011, soit son évolution annuelle la plus faible depuis novembre 2009. Les prix à la production ont quant à eux augmenté de 0,5% sur un mois et de 2,5% sur un an.
Du côté des valeurs, les banques restaient dans le vert, en fin de séance. Société Générale progressait de 4,11% à la fermeture du CAC 40, tandis que BNP Paribas et Crédit Agricole engrangeaient 4,41% et 5,50% respectivement.
Par ailleurs, Areva gagnait 3,62% à la fermeture du marché, après l'annonce hier par l'Elysée que le Commissariat à l'énergie atomique a mené avec EDF et Areva des négociations "en vue d'un partenariat global avec la Chine".
Egalement en forte hausse, Safran s'octroyait 1,77% en fin de journée, alors que le groupe a signé un accord définitif en vue du rachat de Goodrich Electric Power, qui regroupe les activités de systèmes électriques de Goodrich, filiale de United Technologies.
Safran précise aussi que le montant de la transaction s'élève à environ 310 millions d'euros et que les activités devraient générer un chiffre d'affaires de plus de 200 millions de dollars en 2012.
Quant à LVMH, il a effacé ses pertes de début de séance pour terminer sur une hausse de 2,91% à la clôture, après que le groupe a annoncé une progression de 15% de son chiffre d'affaires à 6,9 milliards d'euros au troisième trimestre.
En revanche, le taux de change constant, la croissance diminue à 6%, du jamais vu depuis 2009, contre 12% au deuxième trimestre et 14% au premier, en raison du net ralentissement observé dans la maroquinerie, ainsi que dans les montres et la joaillerie.
A l'inverse, le secteur automobile restait dans le rouge en fin de séance, plombé par la chute de 10,8% des immatriculations de voitures neuves en Europe occidentale le mois dernier. Sur les neuf premiers mois de l'année, la baisse est de 7,6% par rapport à la même période de 2011.
Renault abandonnait 1,51% à la fermeture du CAC et Peugeot lâchait 3,33%. Les ventes du groupe Renault ont chuté de 29,5% en septembre et celles de Peugeot ont diminué de 8,1%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 engrangait 2,53%, le DAX s'octroyait 1,56% et le Footsie 100 progressait de 1,11%.
Selon l'agence Bloomberg, Berlin serait disposée à accepter le principe de l'octroi par le Mécanisme européen de stabilité (MES) d'une ligne de crédit préventive à l'Espagne. Le ministre des Finances Wolfgang Schäuble aurait ainsi totalement ravalé son opposition à un plan de renflouement de l'Espagne.
Sur le plan macroéconomique, la production industrielle aux Etats-Unis a rebondi de 0,4% en septembre, soit deux fois plus qu'attendu, après un recul de 1,4% en août.
Quant aux prix à la consommation, ils ont augmenté de 0,6% outre-Atlantique le mois dernier dans leur ensemble et de 0,1% hors alimentation et énergie. Les analystes tablaient sur des hausses de respectivement 0,5% et 0,2%.
Par ailleurs, l'indice ZEW du moral des investisseurs et analystes allemands s'est amélioré pour le deuxième mois consécutif pour ressortir à -11,5 points en octobre, contre -18,2 en septembre et -15 anticipés par le consensus.
Concernant la zone euro, l'excédent commercial a diminué à 6,6 milliards d'euros en août, après 14,7 milliards en juillet, tandis que le taux d'inflation annuel est resté stable à 2,6% le mois dernier.
En Grande-Bretagne, l'inflation a diminué de 0,1 point à 0,4% en septembre, et de 0,3 point à 2,5% par rapport à septembre 2011, soit son évolution annuelle la plus faible depuis novembre 2009. Les prix à la production ont quant à eux augmenté de 0,5% sur un mois et de 2,5% sur un an.
Du côté des valeurs, les banques restaient dans le vert, en fin de séance. Société Générale progressait de 4,11% à la fermeture du CAC 40, tandis que BNP Paribas et Crédit Agricole engrangeaient 4,41% et 5,50% respectivement.
Par ailleurs, Areva gagnait 3,62% à la fermeture du marché, après l'annonce hier par l'Elysée que le Commissariat à l'énergie atomique a mené avec EDF et Areva des négociations "en vue d'un partenariat global avec la Chine".
Egalement en forte hausse, Safran s'octroyait 1,77% en fin de journée, alors que le groupe a signé un accord définitif en vue du rachat de Goodrich Electric Power, qui regroupe les activités de systèmes électriques de Goodrich, filiale de United Technologies.
Safran précise aussi que le montant de la transaction s'élève à environ 310 millions d'euros et que les activités devraient générer un chiffre d'affaires de plus de 200 millions de dollars en 2012.
Quant à LVMH, il a effacé ses pertes de début de séance pour terminer sur une hausse de 2,91% à la clôture, après que le groupe a annoncé une progression de 15% de son chiffre d'affaires à 6,9 milliards d'euros au troisième trimestre.
En revanche, le taux de change constant, la croissance diminue à 6%, du jamais vu depuis 2009, contre 12% au deuxième trimestre et 14% au premier, en raison du net ralentissement observé dans la maroquinerie, ainsi que dans les montres et la joaillerie.
A l'inverse, le secteur automobile restait dans le rouge en fin de séance, plombé par la chute de 10,8% des immatriculations de voitures neuves en Europe occidentale le mois dernier. Sur les neuf premiers mois de l'année, la baisse est de 7,6% par rapport à la même période de 2011.
Renault abandonnait 1,51% à la fermeture du CAC et Peugeot lâchait 3,33%. Les ventes du groupe Renault ont chuté de 29,5% en septembre et celles de Peugeot ont diminué de 8,1%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 engrangait 2,53%, le DAX s'octroyait 1,56% et le Footsie 100 progressait de 1,11%.