Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur un repli de 0,50% mercredi, après la publication de statistiques mitigées en provenance des Etats-Unis, alors que les investisseurs guettaient la déclaration de politique monétaire de la Réserve fédérale.
Sur le front macroéconomique, l’économie américaine a accusé une contraction de 0,1% en rythme annualisé au quatrième trimestre 2012, la première depuis la période avril-juin 2009, alors que le marché tablait sur une croissance de 1,1%.
Par ailleurs, les créations d’emplois ont augmenté à 192.000 dans le secteur privé en janvier, contre 185.000 le mois précédent et 165.000 anticipés par les analystes.
Dans la zone euro, l’indice du sentiment économique a progressé de 1,4 point à 89,2, tandis que celui du climat des affaires s’est apprécié de 0,2 point à -1,09 et celui mesurant la confiance du consommateur a augmenté de 2,4 points à -23,9.
En revanche, le produit intérieur brut de l'Espagne s'est contracté plus fortement que prévu au quatrième trimestre, de 0,7% par rapport au trimestre précédent, selon les données provisoires publiées par l'Institut national de la statistique.
Les économistes tablaient en moyenne sur une contraction de 0,6%, après -0,3% au troisième trimestre.
Du côté des valeurs, Technip restait en forte baisse en fin de séance. Le titre abandonnait 7,34% à la clôture, suivant l’avertissement sur résultats annoncé mardi soir par l’italien Saipem, qui prévoit une année 2013 difficile avant un rebond significatif en 2014.
Egalement dans le rouge, Saint-Gobain pliait de 2,76%, après que HSBC a dégradé le titre du fabricant de matériaux de construction de "surpondérer" à "sous-pondérer".
Les banques restaient elles aussi en terrain négatif en fin de journée. BNP Paribas reculait de 2,35%, tandis que Crédit Agricole et Société Générale lâchaient 2,12% et 1,68% respectivement.
A l'inverse, Sanofi s'octroyait 0,25% à la fermeture du marché, alors que le groupe, sa filiale Genzyme et Isis Pharmaceuticals ont annoncé que les autorités sanitaires américaines ont approuvé la demande d’enregistrement du Kynamro pour le traitement d’une maladie génétique rare provoquant des taux de cholestérol LDL dangereusement élevés.
Le fabricant de semi-conducteurs STMicroelectronics gagnait aussi du terrain avant de publier ses résultats 2012 après la fermeture de Wall Street. Le titre engrangeait 0,79% à la mi-journée.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,57%, le DAX lâchait 0,49% et le Footsie 100 cédait 0,29%.
Autre information de la journée, l'Italie a émis pour 6,5 milliards d’euros d’obligations à moyen-long terme, soit le haut de la fourchette visée. Le rendement moyen de l’emprunt à 10 ans s'est détendu à 4,17%, au plus bas depuis octobre 2010, contre 4,48% lors d’une émission similaire fin décembre. Celui de l’échéance 2017 a diminué à 2,94%, contre 3,26% précédemment.
Sur le front macroéconomique, l’économie américaine a accusé une contraction de 0,1% en rythme annualisé au quatrième trimestre 2012, la première depuis la période avril-juin 2009, alors que le marché tablait sur une croissance de 1,1%.
Par ailleurs, les créations d’emplois ont augmenté à 192.000 dans le secteur privé en janvier, contre 185.000 le mois précédent et 165.000 anticipés par les analystes.
Dans la zone euro, l’indice du sentiment économique a progressé de 1,4 point à 89,2, tandis que celui du climat des affaires s’est apprécié de 0,2 point à -1,09 et celui mesurant la confiance du consommateur a augmenté de 2,4 points à -23,9.
En revanche, le produit intérieur brut de l'Espagne s'est contracté plus fortement que prévu au quatrième trimestre, de 0,7% par rapport au trimestre précédent, selon les données provisoires publiées par l'Institut national de la statistique.
Les économistes tablaient en moyenne sur une contraction de 0,6%, après -0,3% au troisième trimestre.
Du côté des valeurs, Technip restait en forte baisse en fin de séance. Le titre abandonnait 7,34% à la clôture, suivant l’avertissement sur résultats annoncé mardi soir par l’italien Saipem, qui prévoit une année 2013 difficile avant un rebond significatif en 2014.
Egalement dans le rouge, Saint-Gobain pliait de 2,76%, après que HSBC a dégradé le titre du fabricant de matériaux de construction de "surpondérer" à "sous-pondérer".
Les banques restaient elles aussi en terrain négatif en fin de journée. BNP Paribas reculait de 2,35%, tandis que Crédit Agricole et Société Générale lâchaient 2,12% et 1,68% respectivement.
A l'inverse, Sanofi s'octroyait 0,25% à la fermeture du marché, alors que le groupe, sa filiale Genzyme et Isis Pharmaceuticals ont annoncé que les autorités sanitaires américaines ont approuvé la demande d’enregistrement du Kynamro pour le traitement d’une maladie génétique rare provoquant des taux de cholestérol LDL dangereusement élevés.
Le fabricant de semi-conducteurs STMicroelectronics gagnait aussi du terrain avant de publier ses résultats 2012 après la fermeture de Wall Street. Le titre engrangeait 0,79% à la mi-journée.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,57%, le DAX lâchait 0,49% et le Footsie 100 cédait 0,29%.
Autre information de la journée, l'Italie a émis pour 6,5 milliards d’euros d’obligations à moyen-long terme, soit le haut de la fourchette visée. Le rendement moyen de l’emprunt à 10 ans s'est détendu à 4,17%, au plus bas depuis octobre 2010, contre 4,48% lors d’une émission similaire fin décembre. Celui de l’échéance 2017 a diminué à 2,94%, contre 3,26% précédemment.