Investing.com - La Bourse de Paris s’inscrivait dans le vert mardi, affichant une hausse de 0,94% à mi-séance, alors que la prudence restait toutefois de mise en raison d’un regain de craintes de contagion de la crise de la dette dans la zone euro.
Lundi, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a présenté la démission de son gouvernement après l'échec des négociations avec le Parti de la Liberté sur l’instauration de nouvelles mesures d’austérité.
L’événement a été qualifié de négatif pour la note triple A du pays par l’agence de notation Moody's, qui a toutefois indiqué que la perspective restait stable.
Amsterdam est parvenu à placer 2 milliards d'euros d'obligations d'échéance 2012 et 2037 ans, contre un maximum de 2,5 milliards espéré. Le rendement du papier à deux ans est de 0,523%, contre 0,664% sur le marché secondaire hier. Celui de l'obligation à vingt-cinq ans est de 2,782%, contre 2,773% lundi.
Sur le front macroéconomique, la confiance des ménages français s'est améliorée en avril, l'indicateur synthétique de l'Insee progressant de 1 point à 88, tout en se maintenant nettement en-dessous de sa moyenne de longue période calée à 100.
Michelin affichait la plus forte progression de l’indice parisien mardi, s’envolant de 7,40% à mi-séance, alors que le fabricant de pneumatiques a vu son chiffre d'affaires progresser de 5,1% à 5,3 milliards d'euros au premier trimestre.
Par ailleurs, le groupe a confirmé ses prévisions de volumes de ventes stables, d'un surcoût des matières premières de 300 à 350 millions d'euros et d'un résultat opérationnel en forte hausse. HSBC a relevé sa recommandation sur le titre de ‘neutre’ à ‘surpondérer’, tandis que Morgan Stanley a porté son objectif de cours de 52 à 55 euros.
STMicroelectronics s’appréciait aussi de 4,53% mardi, bien que le fabricant de semi-conducteurs ait accusé une perte de 176 millions de dollars au premier trimestre, affecté par le recul de ses ventes de produits pour téléphones mobiles et le versement de 59 millions de dollars à NXP Semiconductors dans le cadre d'un litige.
Le chiffre d'affaires est ressorti à 2,02 milliards de dollars, en repli de 8% par rapport aux trois derniers mois de 2011.
Du côté des banques, la tendance était également à la hausse. A mi-séance, BNP Paribas engrangeait 1,13%, Société Générale 2,14% et Crédit Agricole 1,74%.
Enfin, Capgemini s’octroyait 2,08% après qu'UBS a estimé que le titre offre la meilleure opportunité à court terme parmi les sociétés de services informatiques européennes suivant une récente baisse.
L'intermédiaire a, par ailleurs, réitéré sa recommandation d'achat sur la valeur. Le titre avait chuté de près de 17% depuis début avril.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,74%, le DAX avançait de 0,59% et le Footsie 100 engrangeait 0,35%.
Trois statistiques américaines étaient attendues dans l'après-midi: l'indice S&P Case-Shiller du prix des maisons dans 20 métropoles, suivi de l'indice de confiance du consommateur du Conference Board pour le mois d'avril et les ventes de logements neufs de mars.
Lundi, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a présenté la démission de son gouvernement après l'échec des négociations avec le Parti de la Liberté sur l’instauration de nouvelles mesures d’austérité.
L’événement a été qualifié de négatif pour la note triple A du pays par l’agence de notation Moody's, qui a toutefois indiqué que la perspective restait stable.
Amsterdam est parvenu à placer 2 milliards d'euros d'obligations d'échéance 2012 et 2037 ans, contre un maximum de 2,5 milliards espéré. Le rendement du papier à deux ans est de 0,523%, contre 0,664% sur le marché secondaire hier. Celui de l'obligation à vingt-cinq ans est de 2,782%, contre 2,773% lundi.
Sur le front macroéconomique, la confiance des ménages français s'est améliorée en avril, l'indicateur synthétique de l'Insee progressant de 1 point à 88, tout en se maintenant nettement en-dessous de sa moyenne de longue période calée à 100.
Michelin affichait la plus forte progression de l’indice parisien mardi, s’envolant de 7,40% à mi-séance, alors que le fabricant de pneumatiques a vu son chiffre d'affaires progresser de 5,1% à 5,3 milliards d'euros au premier trimestre.
Par ailleurs, le groupe a confirmé ses prévisions de volumes de ventes stables, d'un surcoût des matières premières de 300 à 350 millions d'euros et d'un résultat opérationnel en forte hausse. HSBC a relevé sa recommandation sur le titre de ‘neutre’ à ‘surpondérer’, tandis que Morgan Stanley a porté son objectif de cours de 52 à 55 euros.
STMicroelectronics s’appréciait aussi de 4,53% mardi, bien que le fabricant de semi-conducteurs ait accusé une perte de 176 millions de dollars au premier trimestre, affecté par le recul de ses ventes de produits pour téléphones mobiles et le versement de 59 millions de dollars à NXP Semiconductors dans le cadre d'un litige.
Le chiffre d'affaires est ressorti à 2,02 milliards de dollars, en repli de 8% par rapport aux trois derniers mois de 2011.
Du côté des banques, la tendance était également à la hausse. A mi-séance, BNP Paribas engrangeait 1,13%, Société Générale 2,14% et Crédit Agricole 1,74%.
Enfin, Capgemini s’octroyait 2,08% après qu'UBS a estimé que le titre offre la meilleure opportunité à court terme parmi les sociétés de services informatiques européennes suivant une récente baisse.
L'intermédiaire a, par ailleurs, réitéré sa recommandation d'achat sur la valeur. Le titre avait chuté de près de 17% depuis début avril.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,74%, le DAX avançait de 0,59% et le Footsie 100 engrangeait 0,35%.
Trois statistiques américaines étaient attendues dans l'après-midi: l'indice S&P Case-Shiller du prix des maisons dans 20 métropoles, suivi de l'indice de confiance du consommateur du Conference Board pour le mois d'avril et les ventes de logements neufs de mars.