Investing.com - L’indice-phare de la Bourse de Paris progressait de 0,72% à mi-séance mercredi, soutenu par le feu vert donné par la cour constitutionnelle allemande au Mécanisme européen de stabilité (MES), tandis que le marché continuait de guetter les conclusions de la réunion mensuelle de la Réserve fédérale américaine.
Les huit juges suprêmes ont donné leur feu vert au président allemand Joachim Gauck pour signer les textes de loi sur le futur fonds de secours MES et le Pacte de stabilité adoptés par le parlement allemand fin juin.
Une limite a toutefois été fixée à l’implication financière de l’Allemagne dans le financement du fonds de secours, stipulant qu’elle ne devra pas excéder 190 milliards d’euros.
Par ailleurs, le président de la Commission européenne, Jose Manuel Barroso, a présenté son projet de supervision des banques de la zone euro par la Banque centrale européenne, qui constitue un pas supplémentaire vers une union bancaire.
Sur le front macroéconomique, la production industrielle a augmenté de 0,6% en juillet dans la zone euro, mais accuse un recul de 2,3% sur un an.
En France, le déficit des comptes courants s'est contracté à 2,5 milliards d'euros en juillet, contre 4,8 milliards en juin. Les prix à la consommation ont quant à eux augmenté de 0,7% dans l'Hexagone le mois dernier.
Du côté des valeurs, les banques étaient particulièrement recherchées mercredi, boostées par la décision allemande. A mi-séance, Crédit Agricole engrangeait 6,14%, Société Générale s’octroyait 1,82% et BNP Paribas avançait de 1,44%.
Crédit Suisse a, par ailleurs, relevé sa recommandation sur le titre du Crédit Agricole de ‘neutre’ à ‘surperformance’ et porté son objectif de cours de 4,20 à 6 euros.
Egalement dans le vert, STMicroelectronics s’adjugeait 2,44%, suivant les prévisions de Texas Instruments qui table sur un chiffre d'affaires supérieur au bas de la fourchette des prévisions des analystes.
Dans le secteur énergétique, EDF s’appréciait de 0,46%, tandis que GDF Suez gagnait 1,09% en milieu de séance. Le Figaro rapportait plus tôt que GDF a transmis à la commission de régulation de l'énergie une demande de majoration de 7% des tarifs du gaz pour le 1er octobre.
Le groupe réclame une hausse de 1% au titre de l'évolution de ses coûts d'approvisionnement et un ‘rattrapage’ de 6% après la revalorisation de seulement 2% validée par l'Etat en août.
LVMH grappillait 0,04% à mi-séance, effaçant les pertes enregistrées en début de matinée, alors que Bank of America Merrill Lynch a dégradé la valeur de ‘achat’ à ‘neutre’, au lendemain de l'avertissement du britannique Burberry.
Enfin, L’Oréal reculait de 0,61%, suivant une demande des autorités sanitaires américaines de mettre fin à l'utilisation dans ses publicités de certains termes de nature à les faire passer pour des médicaments.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s’octroyait 0,82%, le DAX gagnait 0,87% et le Footsie 100 s’appréciait de 0,23%.
Deux indicateurs américains étaient attendus dans l'après-midi: les prix du commerce extérieur d'août et les stocks des grossistes de juillet.
Les huit juges suprêmes ont donné leur feu vert au président allemand Joachim Gauck pour signer les textes de loi sur le futur fonds de secours MES et le Pacte de stabilité adoptés par le parlement allemand fin juin.
Une limite a toutefois été fixée à l’implication financière de l’Allemagne dans le financement du fonds de secours, stipulant qu’elle ne devra pas excéder 190 milliards d’euros.
Par ailleurs, le président de la Commission européenne, Jose Manuel Barroso, a présenté son projet de supervision des banques de la zone euro par la Banque centrale européenne, qui constitue un pas supplémentaire vers une union bancaire.
Sur le front macroéconomique, la production industrielle a augmenté de 0,6% en juillet dans la zone euro, mais accuse un recul de 2,3% sur un an.
En France, le déficit des comptes courants s'est contracté à 2,5 milliards d'euros en juillet, contre 4,8 milliards en juin. Les prix à la consommation ont quant à eux augmenté de 0,7% dans l'Hexagone le mois dernier.
Du côté des valeurs, les banques étaient particulièrement recherchées mercredi, boostées par la décision allemande. A mi-séance, Crédit Agricole engrangeait 6,14%, Société Générale s’octroyait 1,82% et BNP Paribas avançait de 1,44%.
Crédit Suisse a, par ailleurs, relevé sa recommandation sur le titre du Crédit Agricole de ‘neutre’ à ‘surperformance’ et porté son objectif de cours de 4,20 à 6 euros.
Egalement dans le vert, STMicroelectronics s’adjugeait 2,44%, suivant les prévisions de Texas Instruments qui table sur un chiffre d'affaires supérieur au bas de la fourchette des prévisions des analystes.
Dans le secteur énergétique, EDF s’appréciait de 0,46%, tandis que GDF Suez gagnait 1,09% en milieu de séance. Le Figaro rapportait plus tôt que GDF a transmis à la commission de régulation de l'énergie une demande de majoration de 7% des tarifs du gaz pour le 1er octobre.
Le groupe réclame une hausse de 1% au titre de l'évolution de ses coûts d'approvisionnement et un ‘rattrapage’ de 6% après la revalorisation de seulement 2% validée par l'Etat en août.
LVMH grappillait 0,04% à mi-séance, effaçant les pertes enregistrées en début de matinée, alors que Bank of America Merrill Lynch a dégradé la valeur de ‘achat’ à ‘neutre’, au lendemain de l'avertissement du britannique Burberry.
Enfin, L’Oréal reculait de 0,61%, suivant une demande des autorités sanitaires américaines de mettre fin à l'utilisation dans ses publicités de certains termes de nature à les faire passer pour des médicaments.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s’octroyait 0,82%, le DAX gagnait 0,87% et le Footsie 100 s’appréciait de 0,23%.
Deux indicateurs américains étaient attendus dans l'après-midi: les prix du commerce extérieur d'août et les stocks des grossistes de juillet.