Investing.com - L’indice-phare de la Bourse de Paris perdait 0,58% à mi-séance jeudi, dans l’attente de nouvelles mesures de la part des banques centrales, un jour avant un discours très attendu du président Ben Bernanke de la Réserve fédérale américaine.
Dans son Livre Beige, publié mercredi soir, la Fed a évoqué une poursuite graduelle de la croissance de l’économie américaine en juillet et début août, laissant ainsi les investisseurs dans l’incertitude étant donné que de bonnes perspectives économiques peuvent conduire la banque centrale à reporter la mise en œuvre de nouvelles mesures d’assouplissement.
L’incertitude domine également dans la zone euro, notamment en ce qui concerne les futures décisions de la Banque centrale européenne, certains analystes estimant qu’aucune décision majeure ne sera prise lors de la réunion de politique monétaire de la BCE, le 6 septembre prochain.
En Italie, le Trésor a adjugé, jeudi matin, pour 7,29 milliards d’euros de dette à moyen et long terme à des rendements en baisse. Celui du papier à cinq ans recule à 4,73%, contre 5,29% le 30 juillet, et celui des bons à dix ans diminue à 5,82%, contre 5,96%.
Sur le front macroéconomique, l’indice de sentiment économique dans la zone euro, établi par Eurostat, a reculé de 1,8 point à 86,1 au mois d’août. L’indice du climat des affaires s’améliore en revanche de 0,6 point à -1,21, alors que celui mesurant la confiance du consommateur a reculé de 3,1 points à -24,6.
Par ailleurs, le nombre de demandeurs d’emploi en Allemagne a augmenté de 9.000 à 2,9 millions en août, s’inscrivant ainsi en hausse pour le cinquième mois consécutif. Le taux de chômage, lui, est resté stable à 6,8%.
Les valeurs cycliques étaient en difficulté jeudi. A mi-séance, Peugeot abandonnait 2,74% et Renault reculait de 2,49%, tandis que les groupes EDF et Total pliaient de 0,55% et de 0,61% respectivement.
Total a, par ailleurs, fait savoir jeudi matin qu’il compte renforcer sa présence en Birmanie, en misant sur l’ouverture politique récente. Il s’agira de la première initiative du groupe pétrolier sur place depuis 1998, date de la fin des travaux de construction controversés d’un gazoduc entre le gisement de Yadana et la Thaïlande.
A l’inverse, Carrefour affichait l’une des plus belles performances du CAC 40, en hausse de 8,29% à mi-séance, alors que le groupe de distribution a annoncé une baisse moins forte que prévu de 8% de son résultat opérationnel courant au premier semestre.
Egalement dans le vert, Vivendi progressait de 2,65% après avoir annoncé un recul de 12,7% de son résultat opérationnel ajusté, pénalisé en partie par la baisse de la contribution de SFR.
Quant aux valeurs bancaires, elles s’inscrivaient en ordre dispersé. En milieu de séance, BNP Paribas reculait de 1,22% et Société Générale perdait 1,37%, tandis que Crédit Agricole avançait de 0,21%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,73%, le DAX abandonnait 0,87% et le Footsie 100 perdait 0,20%.
Deux statistiques américaines étaient attendues dans l’après-midi: les revenus et dépenses des ménages de juillet et les inscriptions hebdomadaires au chômage.
Dans son Livre Beige, publié mercredi soir, la Fed a évoqué une poursuite graduelle de la croissance de l’économie américaine en juillet et début août, laissant ainsi les investisseurs dans l’incertitude étant donné que de bonnes perspectives économiques peuvent conduire la banque centrale à reporter la mise en œuvre de nouvelles mesures d’assouplissement.
L’incertitude domine également dans la zone euro, notamment en ce qui concerne les futures décisions de la Banque centrale européenne, certains analystes estimant qu’aucune décision majeure ne sera prise lors de la réunion de politique monétaire de la BCE, le 6 septembre prochain.
En Italie, le Trésor a adjugé, jeudi matin, pour 7,29 milliards d’euros de dette à moyen et long terme à des rendements en baisse. Celui du papier à cinq ans recule à 4,73%, contre 5,29% le 30 juillet, et celui des bons à dix ans diminue à 5,82%, contre 5,96%.
Sur le front macroéconomique, l’indice de sentiment économique dans la zone euro, établi par Eurostat, a reculé de 1,8 point à 86,1 au mois d’août. L’indice du climat des affaires s’améliore en revanche de 0,6 point à -1,21, alors que celui mesurant la confiance du consommateur a reculé de 3,1 points à -24,6.
Par ailleurs, le nombre de demandeurs d’emploi en Allemagne a augmenté de 9.000 à 2,9 millions en août, s’inscrivant ainsi en hausse pour le cinquième mois consécutif. Le taux de chômage, lui, est resté stable à 6,8%.
Les valeurs cycliques étaient en difficulté jeudi. A mi-séance, Peugeot abandonnait 2,74% et Renault reculait de 2,49%, tandis que les groupes EDF et Total pliaient de 0,55% et de 0,61% respectivement.
Total a, par ailleurs, fait savoir jeudi matin qu’il compte renforcer sa présence en Birmanie, en misant sur l’ouverture politique récente. Il s’agira de la première initiative du groupe pétrolier sur place depuis 1998, date de la fin des travaux de construction controversés d’un gazoduc entre le gisement de Yadana et la Thaïlande.
A l’inverse, Carrefour affichait l’une des plus belles performances du CAC 40, en hausse de 8,29% à mi-séance, alors que le groupe de distribution a annoncé une baisse moins forte que prévu de 8% de son résultat opérationnel courant au premier semestre.
Egalement dans le vert, Vivendi progressait de 2,65% après avoir annoncé un recul de 12,7% de son résultat opérationnel ajusté, pénalisé en partie par la baisse de la contribution de SFR.
Quant aux valeurs bancaires, elles s’inscrivaient en ordre dispersé. En milieu de séance, BNP Paribas reculait de 1,22% et Société Générale perdait 1,37%, tandis que Crédit Agricole avançait de 0,21%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,73%, le DAX abandonnait 0,87% et le Footsie 100 perdait 0,20%.
Deux statistiques américaines étaient attendues dans l’après-midi: les revenus et dépenses des ménages de juillet et les inscriptions hebdomadaires au chômage.