Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris avançait de 0,75% à mi-séance mardi, soutenu notamment par le rebond de STMicroelectronics et des valeurs bancaires, alors que les investisseurs continuaient toutefois de privilégier la prudence à quelques heures des élections présidentielles américaines.
Sur le front macroéconomique, l’activité dans les services a continué de se contracter en France, en Allemagne et dans la zone euro le mois dernier. L’indice PMI Markit ressort à un plus bas d’un an à 44,6 points dans l’Hexagone, il se contracte de 1,3 point à 48,4 outre-Rhin et de 0,4 point à 45,7 au sein des Dix-Sept.
Les indices composites, qui font la synthèse entre l’industrie et les services, se maintiennent en-deçà des 50 points. Celui concernant la zone euro recule pour le neuvième mois consécutif, laissant entrevoir une contraction de 0,5% du PIB de la zone au quatrième trimestre, selon le chef économiste de Markit.
En Grande-Bretagne, la production industrielle s’est contractée de 1,7% en septembre, et de 2,6% sur un an.
Du côté des valeurs, STMicroelectronics signait la plus belle performance de l'indice parisien, avec un rebond de 2,25% à mi-séance, dans le sillage de la progression de 1,63% de l’indice des semi-conducteurs de Philadelphie.
Les banques évoluaient elles aussi en forte hausse, mardi. En milieu de séance, BNP Paribas s'octroyait 0,93%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole engrangeaient 1,86% et 2,23% respectivement.
Quant aux valeurs cycliques, elles gagnaient également du terrain, à l'image d'ArcelorMittal, qui s'adjugeait 1,73% à la mi-journée, tandis que Lafarge prenait 1,25% et Vallourec progressait de 0,93%.
Dans le secteur automobile, Renault s'octroyait 1,60% en milieu de séance, alors que Nissan a pourtant abaissé de 20% son objectif de bénéfice net annuel en raison de la chute de ses ventes en Chine.
Contre la tendance, L'Oréal reculait de 0,54% à mi-séance, après que le directeur général du groupe pour la région Asie-Pacifique, Jochen Zaumseil, a déclaré à Reuters que la société de cosmétiques ressentait les effets du ralentissement économique en Chine et des conditions d’activité "brutales" en Corée du Sud et à Taiwan.
Le groupe publiera son chiffre d’affaires du troisième trimestre après la clôture.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'appréciait de 0,69%, le DAX s'octroyait 0,68% et le Footsie 100 progressait de 0,53%.
Aucun indicateur majeur en provenance des Etats-Unis n'est attendu dans la journée.
Sur le front macroéconomique, l’activité dans les services a continué de se contracter en France, en Allemagne et dans la zone euro le mois dernier. L’indice PMI Markit ressort à un plus bas d’un an à 44,6 points dans l’Hexagone, il se contracte de 1,3 point à 48,4 outre-Rhin et de 0,4 point à 45,7 au sein des Dix-Sept.
Les indices composites, qui font la synthèse entre l’industrie et les services, se maintiennent en-deçà des 50 points. Celui concernant la zone euro recule pour le neuvième mois consécutif, laissant entrevoir une contraction de 0,5% du PIB de la zone au quatrième trimestre, selon le chef économiste de Markit.
En Grande-Bretagne, la production industrielle s’est contractée de 1,7% en septembre, et de 2,6% sur un an.
Du côté des valeurs, STMicroelectronics signait la plus belle performance de l'indice parisien, avec un rebond de 2,25% à mi-séance, dans le sillage de la progression de 1,63% de l’indice des semi-conducteurs de Philadelphie.
Les banques évoluaient elles aussi en forte hausse, mardi. En milieu de séance, BNP Paribas s'octroyait 0,93%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole engrangeaient 1,86% et 2,23% respectivement.
Quant aux valeurs cycliques, elles gagnaient également du terrain, à l'image d'ArcelorMittal, qui s'adjugeait 1,73% à la mi-journée, tandis que Lafarge prenait 1,25% et Vallourec progressait de 0,93%.
Dans le secteur automobile, Renault s'octroyait 1,60% en milieu de séance, alors que Nissan a pourtant abaissé de 20% son objectif de bénéfice net annuel en raison de la chute de ses ventes en Chine.
Contre la tendance, L'Oréal reculait de 0,54% à mi-séance, après que le directeur général du groupe pour la région Asie-Pacifique, Jochen Zaumseil, a déclaré à Reuters que la société de cosmétiques ressentait les effets du ralentissement économique en Chine et des conditions d’activité "brutales" en Corée du Sud et à Taiwan.
Le groupe publiera son chiffre d’affaires du troisième trimestre après la clôture.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s'appréciait de 0,69%, le DAX s'octroyait 0,68% et le Footsie 100 progressait de 0,53%.
Aucun indicateur majeur en provenance des Etats-Unis n'est attendu dans la journée.