Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris progressait de 0,65% à mi-séance mardi, soutenu par les espoirs de progrès dans la gestion des crises financières en Grèce et en Espagne, même si les inquiétudes entourant le mur budgétaire américain continuaient de peser.
Le moral des investisseurs s'est amélioré lorsque la Grèce a dévoilé lundi matin les modalités d’un plan de rachat d’obligations d’Etat de 10 milliards d’euros.
De son côté, Madrid a officiellement déposé une demande d’aide de 39,5 milliards d’euros pour son secteur bancaire. La semaine dernière, Bruxelles avait donné son feu vert à la restructuration des quatre banques espagnoles récemment nationalisées, ouvrant la voie au déblocage d’un plan de soutien financier de la zone euro via le Mécanisme européen de stabilité.
La prudence restait toutefois de mise face à l'impasse des négociations sur le "fiscal cliff" américain. La maison Blanche a en effet rejeté les propositions républicaines de réforme fiscale et de réduction des dépenses, jugeant qu’elles ne permettent pas au président Barack Obama de tenir son engagement d’augmenter les impôts des Américains les plus riches.
Sur le front des statistiques, les prix à la production ont augmenté de 0,1% dans la zone euro en octobre et de 2,6% sur un an, après des hausses de respectivement 0,2% en septembre et de 2,7% en glissement annuel.
Du côté des valeurs, EADS affichait la plus belle performance de l'indice parisien. A mi-séance, le titre engrangeait 2,84%, alors que le groupe vise une marge opérationnelle de 10% d’ici à 2015 hors coûts de développement du futur long-courrier A350 sur la base d’un euro à 1,30 dollar.
Par ailleurs, la recomposition de l’actionnariat du groupe devait être annoncée plus tard dans la journée, selon La Tribune.
Les banques évoluaient elles aussi dans le vert grâce aux récentes annonces grecque et espagnole. BNP Paribas s'octroyait 1,81% en milieu de séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole avançaient de 1,91% et de 2,49% respectivement.
Egalement en hausse, ArcelorMittal s'adjugeait 1,31% à la mi-journée. Reuters rapportait plus tôt que le sidérurgiste sud-coréen Posco a été sélectionné pour entrer en négociations exclusives en vue de prendre une participation de 15% dans le producteur de minerai de fer ArcelorMittal Mines Canada.
Contre la tendance, EDF pliait de 2,41% en milieu de séance, alors que l’électricien a annoncé que le coût de construction de l’EPR de Flamanville avait augmenté de 2 milliards d’euros à 8,5 milliards, contre 3,3 milliards initialement prévus en 2005.
Enfin, Renault restait dans le rouge pour la deuxième séance consécutive, en repli de 0,96% à mi-séance, au lendemain de l’annonce d’une chute des immatriculations en France, en Espagne et en Italie le mois dernier.
Par ailleurs, Nissan Motor a annoncé une baisse de 29,8% sur un an de ses ventes en Chine le mois dernier. En octobre, elles avaient diminué de 41%. Sur les onze premiers mois de l’année, elles reculent de 3,3% par rapport à la même période de 2011.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,66%, le DAX s'appréciait de 0,28% et le Footsie 100 gagnait 0,15%.
Aucune statistique majeure n'était attendue en provenance des Etats-Unis.
Le moral des investisseurs s'est amélioré lorsque la Grèce a dévoilé lundi matin les modalités d’un plan de rachat d’obligations d’Etat de 10 milliards d’euros.
De son côté, Madrid a officiellement déposé une demande d’aide de 39,5 milliards d’euros pour son secteur bancaire. La semaine dernière, Bruxelles avait donné son feu vert à la restructuration des quatre banques espagnoles récemment nationalisées, ouvrant la voie au déblocage d’un plan de soutien financier de la zone euro via le Mécanisme européen de stabilité.
La prudence restait toutefois de mise face à l'impasse des négociations sur le "fiscal cliff" américain. La maison Blanche a en effet rejeté les propositions républicaines de réforme fiscale et de réduction des dépenses, jugeant qu’elles ne permettent pas au président Barack Obama de tenir son engagement d’augmenter les impôts des Américains les plus riches.
Sur le front des statistiques, les prix à la production ont augmenté de 0,1% dans la zone euro en octobre et de 2,6% sur un an, après des hausses de respectivement 0,2% en septembre et de 2,7% en glissement annuel.
Du côté des valeurs, EADS affichait la plus belle performance de l'indice parisien. A mi-séance, le titre engrangeait 2,84%, alors que le groupe vise une marge opérationnelle de 10% d’ici à 2015 hors coûts de développement du futur long-courrier A350 sur la base d’un euro à 1,30 dollar.
Par ailleurs, la recomposition de l’actionnariat du groupe devait être annoncée plus tard dans la journée, selon La Tribune.
Les banques évoluaient elles aussi dans le vert grâce aux récentes annonces grecque et espagnole. BNP Paribas s'octroyait 1,81% en milieu de séance, tandis que Société Générale et Crédit Agricole avançaient de 1,91% et de 2,49% respectivement.
Egalement en hausse, ArcelorMittal s'adjugeait 1,31% à la mi-journée. Reuters rapportait plus tôt que le sidérurgiste sud-coréen Posco a été sélectionné pour entrer en négociations exclusives en vue de prendre une participation de 15% dans le producteur de minerai de fer ArcelorMittal Mines Canada.
Contre la tendance, EDF pliait de 2,41% en milieu de séance, alors que l’électricien a annoncé que le coût de construction de l’EPR de Flamanville avait augmenté de 2 milliards d’euros à 8,5 milliards, contre 3,3 milliards initialement prévus en 2005.
Enfin, Renault restait dans le rouge pour la deuxième séance consécutive, en repli de 0,96% à mi-séance, au lendemain de l’annonce d’une chute des immatriculations en France, en Espagne et en Italie le mois dernier.
Par ailleurs, Nissan Motor a annoncé une baisse de 29,8% sur un an de ses ventes en Chine le mois dernier. En octobre, elles avaient diminué de 41%. Sur les onze premiers mois de l’année, elles reculent de 3,3% par rapport à la même période de 2011.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,66%, le DAX s'appréciait de 0,28% et le Footsie 100 gagnait 0,15%.
Aucune statistique majeure n'était attendue en provenance des Etats-Unis.