Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris était à l'équilibre à mi-séance vendredi, suivant la publication de statistiques relativement positives en provenance de la zone euro, tandis que les inquiétudes au sujet du "mur budgétaire" américain continuaient de peser.
Jeudi, le président républicain de la Chambre des Représentants, John Boehner, avait déclaré jeudi: "Le président n'est pas sérieux sur la baisse des dépenses. Pourtant le problème, ce sont les dépenses", révélant une fois de plus l'impasse dans laquelle se trouvent les négociations.
Barack Obama et John Boehner devaient se rencontrer à la Maison Blanche ce vendredi.
Sur le front macroéconomique, l'indice Markit flash PMI Composite est ressorti à 50,5 points en Allemagne, son premier passage au-dessus du seuil critique des 50 points depuis mai. L’indice pour la zone euro s’améliore à 47,3, soit un plus haut de neuf mois, tandis que celui pour la France ressort à 45 points, au plus haut depuis septembre, tout en se maintenant sous le seuil des 50 points pour le dixième mois consécutif.
En Chine, l'activité du secteur manufacturier a connu en décembre son rythme de croissance le plus marqué en 14 mois, selon le premier résultat d'une enquête menée auprès des directeurs d'achat.
Du côté des valeurs, Alcatel-Lucent signait la plus forte progression de l'indice parisien. A mi-séance, le titre engrangeait 11,37%, après avoir annoncé l'obtention des engagements de financement pluriannuels de Credit Suisse et Goldman Sachs portant sur des facilités de crédit d’un montant global de 1,615 milliard d’euros.
Egalement dans le vert, Lafarge gagnait 1,54% en milieu de séance, alors que Citigroup a relevé sa recommandation sur le titre de "neutre" à "achat".
Quant aux banques, elles évoluaient en ordre dispersé, vendredi. BNP Paribas s'octroyait 0,67% à la mi-journée et Société Générale grappillait 0,03%, tandis que Crédit Agricole pliait de 1,17%.
Reuters rapportait plus tôt que le courtier Newedge, filiale commune de BNP et Crédit Agricole, s'apprête à supprimer environ 450 postes, soit 16% de ses effectifs, sur les 18 prochains mois.
Par ailleurs, Renault s'appréciait de 0,19% en milieu de séance, alors que les immatriculations de voitures neuves ont chuté de 10,3% en novembre dans l’Union européenne, marquant le quatorzième mois consécutif de baisse, selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles. Les ventes de la marque au losange ont diminué de 27,7% le mois dernier.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,11%, le DAX s'appréciait de 0,23% et le Footsie 100 cédait 0,03%.
Deux statistiques américaines étaient attendues dans l’après-midi : les prix à la consommation de novembre et la production industrielle du même mois.
Jeudi, le président républicain de la Chambre des Représentants, John Boehner, avait déclaré jeudi: "Le président n'est pas sérieux sur la baisse des dépenses. Pourtant le problème, ce sont les dépenses", révélant une fois de plus l'impasse dans laquelle se trouvent les négociations.
Barack Obama et John Boehner devaient se rencontrer à la Maison Blanche ce vendredi.
Sur le front macroéconomique, l'indice Markit flash PMI Composite est ressorti à 50,5 points en Allemagne, son premier passage au-dessus du seuil critique des 50 points depuis mai. L’indice pour la zone euro s’améliore à 47,3, soit un plus haut de neuf mois, tandis que celui pour la France ressort à 45 points, au plus haut depuis septembre, tout en se maintenant sous le seuil des 50 points pour le dixième mois consécutif.
En Chine, l'activité du secteur manufacturier a connu en décembre son rythme de croissance le plus marqué en 14 mois, selon le premier résultat d'une enquête menée auprès des directeurs d'achat.
Du côté des valeurs, Alcatel-Lucent signait la plus forte progression de l'indice parisien. A mi-séance, le titre engrangeait 11,37%, après avoir annoncé l'obtention des engagements de financement pluriannuels de Credit Suisse et Goldman Sachs portant sur des facilités de crédit d’un montant global de 1,615 milliard d’euros.
Egalement dans le vert, Lafarge gagnait 1,54% en milieu de séance, alors que Citigroup a relevé sa recommandation sur le titre de "neutre" à "achat".
Quant aux banques, elles évoluaient en ordre dispersé, vendredi. BNP Paribas s'octroyait 0,67% à la mi-journée et Société Générale grappillait 0,03%, tandis que Crédit Agricole pliait de 1,17%.
Reuters rapportait plus tôt que le courtier Newedge, filiale commune de BNP et Crédit Agricole, s'apprête à supprimer environ 450 postes, soit 16% de ses effectifs, sur les 18 prochains mois.
Par ailleurs, Renault s'appréciait de 0,19% en milieu de séance, alors que les immatriculations de voitures neuves ont chuté de 10,3% en novembre dans l’Union européenne, marquant le quatorzième mois consécutif de baisse, selon l’Association des constructeurs européens d’automobiles. Les ventes de la marque au losange ont diminué de 27,7% le mois dernier.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 avançait de 0,11%, le DAX s'appréciait de 0,23% et le Footsie 100 cédait 0,03%.
Deux statistiques américaines étaient attendues dans l’après-midi : les prix à la consommation de novembre et la production industrielle du même mois.