Au titre de son premier semestre, Laurent-Perrier affiche un résultat net part du groupe en hausse de 27,7% à 10,4 millions d'euros, et un résultat opérationnel en progression de plus de 15% à 19,7 millions, soit une marge en hausse de deux points à 20,9%.
Grâce à un effet prix/mix toujours positif, le chiffre d'affaires a augmenté de 4,8% à 94,4 millions d'euros. Il a également bénéficié de la progression de la part de l'export, de la bonne tenue des hausses tarifaires du début d'exercice, des ventes réalisées par le millésime 2002 de la marque Salon, et d'un effet devises redevenu favorable.
L'effet prix/mix a aussi contribué à une nouvelle progression de la marge brute du groupe de maisons de champagne, tandis que ses charges sont restées bien maîtrisées, avec un recul de 3,3% des frais généraux qui a compensé en partie la hausse des investissements en communication et développement de marque.
Laurent-Perrier indique avoir engagé la première phase de l'important programme pluriannuel d'investissements destiné à accroître la centralisation des capacités de production du groupe et à améliorer l'accueil à Tours-sur-Marne.
Les performances du premier semestre ne sont pas extrapolables au second, du fait de la forte saisonnalité de l'activité. Si les grands marchés européens ne montrent pas de signe de reprise, la demande en provenance des pays situés hors d'Europe reste soutenue. Le groupe entend continuer à accélérer son développement sur ces marchés.
Copyright (c) 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Grâce à un effet prix/mix toujours positif, le chiffre d'affaires a augmenté de 4,8% à 94,4 millions d'euros. Il a également bénéficié de la progression de la part de l'export, de la bonne tenue des hausses tarifaires du début d'exercice, des ventes réalisées par le millésime 2002 de la marque Salon, et d'un effet devises redevenu favorable.
L'effet prix/mix a aussi contribué à une nouvelle progression de la marge brute du groupe de maisons de champagne, tandis que ses charges sont restées bien maîtrisées, avec un recul de 3,3% des frais généraux qui a compensé en partie la hausse des investissements en communication et développement de marque.
Laurent-Perrier indique avoir engagé la première phase de l'important programme pluriannuel d'investissements destiné à accroître la centralisation des capacités de production du groupe et à améliorer l'accueil à Tours-sur-Marne.
Les performances du premier semestre ne sont pas extrapolables au second, du fait de la forte saisonnalité de l'activité. Si les grands marchés européens ne montrent pas de signe de reprise, la demande en provenance des pays situés hors d'Europe reste soutenue. Le groupe entend continuer à accélérer son développement sur ces marchés.
Copyright (c) 2014 CercleFinance.com. Tous droits réservés.