Investing.com - Les places d'Asie étaient sur la défensive ce lundi matin, les inestisseurs ramassant leurs plus-values découlant du net rebond du nouvel an, ayant amené les cours à des sommets de plusieurs mois lors de la journée de cotation précédente.
Ils étaient par ailleurs peu enclins à prolonger cette ascension à l'approche du coup d'envoi demain de la saison des résultats aux Etats-Unis, dont les élus doivent par ailleurs se dépêtrer du problème du plafond d'endettement.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong se repliait de 0.1%, l'ASX/200 australien de 0.15% et le Nikkei 225 japonais de 0.8%.
La plupart des marchézs régionaux ont en effet commencé l'année avec de fortes progressions, après que le parlement américain ait enfin ratifié une loi de contournement du mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession national.
La nervosité concernant l'économie du pays demeurait exacerbée à l'horizon de février, anticipant les tractations visant à relever son plafond d'endettement maximal.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait constaté vendredi 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents, laissant redouter un ralentissement de la reprise du marché de l'emploi, le taux de chômage stagnant à 7.8%.
Tokyo est ainsi retombée depuis son plus haut niveau depuis mars 2011, les opérateurs clôturant leurs positions, estimant avoir atteint la surévaluation.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 22% au cours des six semaines passée, concluant vendredi au plus haut des 22 mois écoulés, dans l'expectative de mesures monétaires agressives de la part de la Banque du Japon, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Nomura Holdings, plus grosse banque d'affaires du pays, a du coup sombré de 5%, mettant ainsi fin à une envolée continue de 13 jours.
Les constructeurs automobiles Honda et Toyota ont aussi dérapé, glissant respectivement de 1.2 et 1.7%, suivis du fournisseur d'appareils photo numériques Canon avec 2.6% et le spécialiste de la robotique industrielle Fanuc avec 3.8%.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête, la perte de vitesse actuelle de la monnaie du pays du soleil levant renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger, celle-ci se retrouvant à 88.41 par dollar U.S. en fin de semaine, sa pire valeur depuis juillet 2010.
Hong Kong a mieux résisté au lendemain de son sommet des 19 mois écoulés, les yeux restant rivés sur les tracas économiques américains.
Les poids lourds des assurances progressaientt de nouveau, China Life Insurance et le Ping An Insurance Group engrangeant drespectivement 1.6 et 2.3%.
Le poids lourd bancaire HSBC n'était pas en reste avec 1.2%, le premier établissement financier d'Europe comptant pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Sydney est pour sa part redescendue après avoir culminé à l'aube au plus haut depuis mai 2011.
Le mastodonte minier Rio Tinto a ainsi fléchi de 1.6% et son collègue NEwcrest Mining de 1.2%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français tablant cependant sur 0.1% d'amélioration, celles sur le DAX 30 allemand n'évoluant pas de manière notable et celles sur le FTSE 100 britannique non plus.
Les autorités européennes comptaient pour leur part divulguer aujourd'hui leur inflation des prix à la production, ainsi qu'un rapport sur la confiance des investisseurs.
Ils étaient par ailleurs peu enclins à prolonger cette ascension à l'approche du coup d'envoi demain de la saison des résultats aux Etats-Unis, dont les élus doivent par ailleurs se dépêtrer du problème du plafond d'endettement.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong se repliait de 0.1%, l'ASX/200 australien de 0.15% et le Nikkei 225 japonais de 0.8%.
La plupart des marchézs régionaux ont en effet commencé l'année avec de fortes progressions, après que le parlement américain ait enfin ratifié une loi de contournement du mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession national.
La nervosité concernant l'économie du pays demeurait exacerbée à l'horizon de février, anticipant les tractations visant à relever son plafond d'endettement maximal.
Le département d'état au travail des Etats-Unis avait constaté vendredi 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents, laissant redouter un ralentissement de la reprise du marché de l'emploi, le taux de chômage stagnant à 7.8%.
Tokyo est ainsi retombée depuis son plus haut niveau depuis mars 2011, les opérateurs clôturant leurs positions, estimant avoir atteint la surévaluation.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 22% au cours des six semaines passée, concluant vendredi au plus haut des 22 mois écoulés, dans l'expectative de mesures monétaires agressives de la part de la Banque du Japon, sous la pression de Shinzo Abe, premier ministre sur le retour.
Nomura Holdings, plus grosse banque d'affaires du pays, a du coup sombré de 5%, mettant ainsi fin à une envolée continue de 13 jours.
Les constructeurs automobiles Honda et Toyota ont aussi dérapé, glissant respectivement de 1.2 et 1.7%, suivis du fournisseur d'appareils photo numériques Canon avec 2.6% et le spécialiste de la robotique industrielle Fanuc avec 3.8%.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient portées en tête, la perte de vitesse actuelle de la monnaie du pays du soleil levant renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger, celle-ci se retrouvant à 88.41 par dollar U.S. en fin de semaine, sa pire valeur depuis juillet 2010.
Hong Kong a mieux résisté au lendemain de son sommet des 19 mois écoulés, les yeux restant rivés sur les tracas économiques américains.
Les poids lourds des assurances progressaientt de nouveau, China Life Insurance et le Ping An Insurance Group engrangeant drespectivement 1.6 et 2.3%.
Le poids lourd bancaire HSBC n'était pas en reste avec 1.2%, le premier établissement financier d'Europe comptant pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Sydney est pour sa part redescendue après avoir culminé à l'aube au plus haut depuis mai 2011.
Le mastodonte minier Rio Tinto a ainsi fléchi de 1.6% et son collègue NEwcrest Mining de 1.2%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une baisse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français tablant cependant sur 0.1% d'amélioration, celles sur le DAX 30 allemand n'évoluant pas de manière notable et celles sur le FTSE 100 britannique non plus.
Les autorités européennes comptaient pour leur part divulguer aujourd'hui leur inflation des prix à la production, ainsi qu'un rapport sur la confiance des investisseurs.