Investing.com - Les bourses d'Asie étaient plutôt en forme ce lundi matin, les valeurs japonaises rebondissant après qu'un premier jet d'un communiqué du groupe des 20 pays les plus développés ait évité de mettre nommément le Japon sur la sellette malgré le récent affaiblissement de sa devise.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.6%, le Hang Seng de Hong Kong trébuchait de 0.2% et le Nikkei 225 japonais engrangeait 2.1%.
Les membres du G20 se sont en effet engagés à "éviter les dévaluations destinées à doper la compétitivité", sans toutefois viser un pays en particulier.
Sydney s'est pour sa part hissée au plus haut niveau depuis septembre 2008, l'ambiance y profitant de belles performances.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter le mastodonte minier BHP Billiton, l'extracteur de pétrole Woodside Petroleum et l'assureur QBE Insurance Group, dont les résultats sont attendus cette semaine.
Le sidérurgiste BlueScope Steel s'est carrément envolé de 15.4% après avoir déploré 12 millions d'AUD sur le premier semestre fiscal, au lieu des 30 millions de l'année précédente, espérant toutefois une poursuite de l'amélioration de ses résultats pour l'année à venir.
La finance était aussi de la fête, la bande des quatre plus grosses banques du pays étant majoritairement à l'offensive, le Westpac Banking Group empochant 3.6%, l'ANZ Banking Group 2.6% et la National Australia Bank 2.2%.
La Commonwealth Bank of Australia, premier prêteur national, a cependant dérapé de 1.8% suite à l'encaisement de plus-values faisant suite à sa récente poussée jusqu'à un sommet historique.
Hong Kong était par contre en retrait, les places de Chine continentale reprenant du service suite à la semaine de festivités en l'honneur du nouvel an lunaire.
Li & Fung, premier fournisseur de jouets aux principaux revendeurs américains, parmi lesquels Wal-Mart, glissait de 1.45% après qu'il ait été rapporté qu'un haut dirigeant de ce dernier avait déclaré dans un courrier électronique que ses ventes de février avaient été "un désastre total".
Tokyo restait quand à elle proche d'un de son sommet de quatre ans établi la semaine passée, les investisseurs estimant que le silence du G20 valait son consentement au sujet de la politique monétaire du pays, laissant ainsi à Shinzo Abe, son premier ministre sur le retour, les coudées franches pour poursuivre son programme.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 31% depuis la mi-novembre, à partir du moment où le M. Abe, alors seulement candidat, commençait à exhorter la Banque du Japon à prendre des mesures plus agressives.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient du coup portées en tête de peloton.
L'USD/JPY s'est ainsi hissé à 94.2 en début de journée, se rapprochant à nouveau de son pic de 33 mois à 94.45 datant de la semaine passée, la perte de vitesse de l'unité monétaire de l'archipel renforçant les perspectives de revenus à l'étranger pour les grands noms de l'exportation.
Les constructeurs automobiles Nissan et Toyota accéléraient ainsi respectivement de 1.9 et 1.3%, les fournisseurs de matériel électronique grand public Sharp et Sony les imitant avec 2.9 et 1.2%.
Les mégabanques nationales n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, plus important d'entre eux, arrachant 4.9%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group lui emboîtaient le pas de 4.1 et 5%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement sans éclat, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant nulle, celles sur le DAX 30 allemand à 0.1% et sur le FTSE 100 britannique à 0.1% également.
Les transactions semblaient devoir rester éparses aujourd'hui en raison de la clôture des places américaines pour cause de fête du président.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0.6%, le Hang Seng de Hong Kong trébuchait de 0.2% et le Nikkei 225 japonais engrangeait 2.1%.
Les membres du G20 se sont en effet engagés à "éviter les dévaluations destinées à doper la compétitivité", sans toutefois viser un pays en particulier.
Sydney s'est pour sa part hissée au plus haut niveau depuis septembre 2008, l'ambiance y profitant de belles performances.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter le mastodonte minier BHP Billiton, l'extracteur de pétrole Woodside Petroleum et l'assureur QBE Insurance Group, dont les résultats sont attendus cette semaine.
Le sidérurgiste BlueScope Steel s'est carrément envolé de 15.4% après avoir déploré 12 millions d'AUD sur le premier semestre fiscal, au lieu des 30 millions de l'année précédente, espérant toutefois une poursuite de l'amélioration de ses résultats pour l'année à venir.
La finance était aussi de la fête, la bande des quatre plus grosses banques du pays étant majoritairement à l'offensive, le Westpac Banking Group empochant 3.6%, l'ANZ Banking Group 2.6% et la National Australia Bank 2.2%.
La Commonwealth Bank of Australia, premier prêteur national, a cependant dérapé de 1.8% suite à l'encaisement de plus-values faisant suite à sa récente poussée jusqu'à un sommet historique.
Hong Kong était par contre en retrait, les places de Chine continentale reprenant du service suite à la semaine de festivités en l'honneur du nouvel an lunaire.
Li & Fung, premier fournisseur de jouets aux principaux revendeurs américains, parmi lesquels Wal-Mart, glissait de 1.45% après qu'il ait été rapporté qu'un haut dirigeant de ce dernier avait déclaré dans un courrier électronique que ses ventes de février avaient été "un désastre total".
Tokyo restait quand à elle proche d'un de son sommet de quatre ans établi la semaine passée, les investisseurs estimant que le silence du G20 valait son consentement au sujet de la politique monétaire du pays, laissant ainsi à Shinzo Abe, son premier ministre sur le retour, les coudées franches pour poursuivre son programme.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 31% depuis la mi-novembre, à partir du moment où le M. Abe, alors seulement candidat, commençait à exhorter la Banque du Japon à prendre des mesures plus agressives.
Les entreprises tournées vers l'extérieur s'étaient du coup portées en tête de peloton.
L'USD/JPY s'est ainsi hissé à 94.2 en début de journée, se rapprochant à nouveau de son pic de 33 mois à 94.45 datant de la semaine passée, la perte de vitesse de l'unité monétaire de l'archipel renforçant les perspectives de revenus à l'étranger pour les grands noms de l'exportation.
Les constructeurs automobiles Nissan et Toyota accéléraient ainsi respectivement de 1.9 et 1.3%, les fournisseurs de matériel électronique grand public Sharp et Sony les imitant avec 2.9 et 1.2%.
Les mégabanques nationales n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, plus important d'entre eux, arrachant 4.9%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group lui emboîtaient le pas de 4.1 et 5%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement sans éclat, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant nulle, celles sur le DAX 30 allemand à 0.1% et sur le FTSE 100 britannique à 0.1% également.
Les transactions semblaient devoir rester éparses aujourd'hui en raison de la clôture des places américaines pour cause de fête du président.