Investing.com - Les bourses asiatiques ont conclu en rang dispersé ce vendredi matin, les craintes persistantes au sujet de la croissance mondiale éclipsant les bons résultats de l'emploi américain dévoilés hier.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong grimpait de 0.71%, l'ASX/200 australien arrachait 0.07%, et le Nikkei 225 japonais laissait échapper 0.15%.
Des chiffres officiels ont en effet montré que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis avait plongé au cours de la semaine dernière à son plus bas niveau depuis février 2008.
Le département d'état au travail américain ainsi révélé que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage au cours de la semaine achevée le 6 octbre avait diminué de 30 000 unités pour en totaliser 339 000 après ajustement saisonnier, alors qu'un rabotage de 1 000 était envisagé pour aboutir à un total de 370 000.
Les 385 000 de la précédente ont par contre été revus à la hausse de 367 000 vers 369 000.
Mais le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro a ressurgi après que des économistes reconnus aient revu leurs prévisions de croissance pour l'Allemagne vers le bas, avertissant que la popularité de l'aide envers les pays en difficulté était en train de disparaître.
L'indice de Tokyo s'est retrouvé en difficulté en raison des inquiétudes concernant la croissance après que des informations émanant des autorités aient montré en début de matinée que l'activité tertiaire nippone avait moins augmenté aen août qu'espéré, grignotant 0.4% après avoir plongé de 1.9% le mois précédent.
Samsung Electronics a reculé de 0.6%, voyant les gains consécutifs à l'annulation par un tribunal américain de l'interdiction préventive de vente aux Etats-Unis de l'intelliphone Galaxy Nexus du contructeur sud-coréen dans le cadre de la guerre juridique l'opposant à Apple contrés.
Softbank s'est effondré de 16.87% après avoir annoncé être en pourperlers pour investir dans l'américain Sprint Nextel.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, Nippon Steel bondissant de 5.66% et Japan Steel Works de 2.42%, imités par Toyota Motor avec 1.07%.
Hong Kong n'était pas en reste, encouragée par la forme de son secteur financier.
La China Construction Bank s'est ainsi élevée de 1.41%, la Bank of China Hong Kong de 0.66% et l'Industrial and Commercial Bank of China de 1.88%.
Les producteurs d'or noir n'étaient pas en reste, PetroChina prenant 0.19%, suivi de China Shenhua et Sinopec avec respectivement 1.46 et 1.33%.
L'Australie était quand à elle en forme grâce à ses matières premières.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton engrangeaient du coup 1.77 et 0.87%.
Les magasins de vêtements de surf Billabong International ont toutefois dégringolé de 16.92%, après que le fonds d'investissement TPG ait retiré son offre à hauteur de 694 millions d'AUD.
Les valeurs européennes semblaient elles aussi s'acheminer vers des résultats mitigés, face à la résurgence du serpent de mer de la dette régionale.
Les options sur l'EURO STOXX 50 tablaient sur une avancée de 0.06%, celles sur le CAC 40 français comptant sur une poussée 0.47%, celles sur le DAX 30 allemand laissant à craindre un recul de 0.02% et celles sur le FTSE 100 britannique l'évaluant à 0.19%.
Les autorités de la zone euro comptaient faire connaître enn cours de journée le volume de la production industrielle.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la semaine avec leurs informations portant sur l'inflation des coûts de production, tandis que l'université du Michigan publiera son baromètre préliminaire du moral des consommateurs.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong grimpait de 0.71%, l'ASX/200 australien arrachait 0.07%, et le Nikkei 225 japonais laissait échapper 0.15%.
Des chiffres officiels ont en effet montré que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis avait plongé au cours de la semaine dernière à son plus bas niveau depuis février 2008.
Le département d'état au travail américain ainsi révélé que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage au cours de la semaine achevée le 6 octbre avait diminué de 30 000 unités pour en totaliser 339 000 après ajustement saisonnier, alors qu'un rabotage de 1 000 était envisagé pour aboutir à un total de 370 000.
Les 385 000 de la précédente ont par contre été revus à la hausse de 367 000 vers 369 000.
Mais le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro a ressurgi après que des économistes reconnus aient revu leurs prévisions de croissance pour l'Allemagne vers le bas, avertissant que la popularité de l'aide envers les pays en difficulté était en train de disparaître.
L'indice de Tokyo s'est retrouvé en difficulté en raison des inquiétudes concernant la croissance après que des informations émanant des autorités aient montré en début de matinée que l'activité tertiaire nippone avait moins augmenté aen août qu'espéré, grignotant 0.4% après avoir plongé de 1.9% le mois précédent.
Samsung Electronics a reculé de 0.6%, voyant les gains consécutifs à l'annulation par un tribunal américain de l'interdiction préventive de vente aux Etats-Unis de l'intelliphone Galaxy Nexus du contructeur sud-coréen dans le cadre de la guerre juridique l'opposant à Apple contrés.
Softbank s'est effondré de 16.87% après avoir annoncé être en pourperlers pour investir dans l'américain Sprint Nextel.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, Nippon Steel bondissant de 5.66% et Japan Steel Works de 2.42%, imités par Toyota Motor avec 1.07%.
Hong Kong n'était pas en reste, encouragée par la forme de son secteur financier.
La China Construction Bank s'est ainsi élevée de 1.41%, la Bank of China Hong Kong de 0.66% et l'Industrial and Commercial Bank of China de 1.88%.
Les producteurs d'or noir n'étaient pas en reste, PetroChina prenant 0.19%, suivi de China Shenhua et Sinopec avec respectivement 1.46 et 1.33%.
L'Australie était quand à elle en forme grâce à ses matières premières.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton engrangeaient du coup 1.77 et 0.87%.
Les magasins de vêtements de surf Billabong International ont toutefois dégringolé de 16.92%, après que le fonds d'investissement TPG ait retiré son offre à hauteur de 694 millions d'AUD.
Les valeurs européennes semblaient elles aussi s'acheminer vers des résultats mitigés, face à la résurgence du serpent de mer de la dette régionale.
Les options sur l'EURO STOXX 50 tablaient sur une avancée de 0.06%, celles sur le CAC 40 français comptant sur une poussée 0.47%, celles sur le DAX 30 allemand laissant à craindre un recul de 0.02% et celles sur le FTSE 100 britannique l'évaluant à 0.19%.
Les autorités de la zone euro comptaient faire connaître enn cours de journée le volume de la production industrielle.
Les Etats-Unis concluront quand à eux la semaine avec leurs informations portant sur l'inflation des coûts de production, tandis que l'université du Michigan publiera son baromètre préliminaire du moral des consommateurs.